| Blaise Pascal - 1842 - 560 páginas
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| Simon Charles Henri Cros - 1842 - 412 páginas
...décrit; et qu'il » s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même » qu'un point très délicat, à l'égard de celui que » les astres qui roulent dans le firmament em» brassent. Mais si notre vue s'arrête là , que » l'imagination passe outre : elle se lassera... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - 576 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat, à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que notre imagination passe outre, elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point très-délicat, à l'égard 'de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête-là, que l'imagination passe outre; elle se lassera plutôt de concevoir, que là nature... | |
| Démonstrations - 1843 - 680 páginas
...art. 19, § 19 ( пай. de 181'jj. de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrélc là.quel'irnagination passe outre. Elle se lassera plus tôlde concevoir que la nature de... | |
| Victor Cousin - 1843 - 534 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue (Port-Royal, ch. xxn. Connoissance générale de l'homme.) La première chose qui s offre à l'homme... | |
| Amedee Duquesnel - 1844 - 400 páginas
...vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roule/H dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête...plutôt de Concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée... | |
| Victor Cousin - 1844 - 590 páginas
...firmament embrassent. Mais si notre vue 278 APPENDICE N° t. MANUSCRIT AUTOGRAPHE DE PASCAL, P. 347-361 . s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle...plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein ' de la nature. Nulle idée n'en... | |
| Victor Cousin - 1844 - 610 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue MANUSCRIT AUTOGRAPHE DE PASCAL, P. 347-361. s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle se... | |
| Blaise Pascal - 1844 - 448 páginas
...phrase : « et connaissant quelle proportion il ya » qu'il a interrompu pour barrer tout le paragraphe. si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plutôt de concevoir 1 que la nature de fournir. Tout ce monde visible 2 n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein... | |
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