| Solémy de Palmas - 1863 - 368 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plus tôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| P. Barrère - 1863 - 576 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres, qui roulent dans le firmament, embrassent. Mais si votre vue s'arrête Va, que l'imagination passe outre ; elle se lassera plutôt de concevoir que la... | |
| Franc̨ois Marie Pérennès - 1864 - 772 páginas
...astre décrit; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plus lot de concevoir que la nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible... | |
| A P Le Page - 1864 - 500 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point très-délicat, à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais, si notre vue s'arrête-là que l'imagination passe outre, elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de... | |
| Blaise Pascal - 1864 - 444 páginas
...astre décrit; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si nôtre vue s'arrête là , que l'imagination passe outre: elle se lassera plus tôt de concevoir que... | |
| Abbé Augustin Sénac - 1865 - 442 páginas
...astre décrit ; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la... | |
| Jean de La Bruyère - 1865 - 730 páginas
...astre décrit ; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-mf me n'est qu'iiu point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imaginaPour aider seulement votre imagination à se la représenter, supposons une meule de moulin... | |
| Abbé Augustin Sénac - 1865 - 442 páginas
...astre décrit ; et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais'si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre, elle se lassera plutôt de concevoir... | |
| Blaise Pascal - 1866 - 850 páginas
...astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans...là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plus tôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible... | |
| Blaise Pascal - 1866 - 514 páginas
...supposition que c'est le soleil et les étoiles qui tournent autour de la terre. (Note de M. Ilavet.) licalà l'égard de celui que les astres, qui roulent dans...firmament, embrassent. Mais si notre vue s'arrête la, que l'imagination passe outre : elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir.... | |
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