 | Julie-Victoire Daubié - 1866 - 514 páginas
...s'exprimait ainsi dans la déclaration des droits de l'homme : « La loi ne connaît » pas de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de » soins et de reconnaissance, entre l'homme qui travaille et » celui qui l'emploie. » Cette affirmation, dont on ne peut méconnaître... | |
 | 1880 - 492 páginas
...vendu, » sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne connaît » pas de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de » soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui » qui l'emploie. » L'article 352 de la Constitution de l'an XII est... | |
 | Charles Aimé Dauban - 1868 - 710 páginas
...vendu. Sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. XIX. Nul ne peut être privé de la moindre portion de... | |
 | 1870 - 782 páginas
...être vendu; >a personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne connaît pas de domesticité : il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance, entre l'homme qui travaillée! celui qui l'emploie. Art. {3. Nul ne peut être privé de la moindre portion... | |
 | Benoît Malon - 1872 - 308 páginas
...que l'a proposé Proudhon. pas une propriété aliénable. La loi ne connaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. ART. 19. Nul ne peut être privé de la moindre portion... | |
 | Louis Antoine de Salinis - 1877 - 414 páginas
...vendu : sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne connaît point de domesticité : il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. » (Art. 18.) Jusqu'à présent, nous avons rencontré... | |
 | Emile Acollas - 1877 - 546 páginas
...être vendu ; sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne connaît pas de domesticité; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. principe, je n'ai pas besoin de le redire, contient toute... | |
 | France, Louis Tripier - 1879 - 700 páginas
...jouer.... personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. — C. 5 "~~~ frucj. an m, déclaration des droits, art.... | |
 | Joseph Adolphe Petit - 1881 - 424 páginas
...vendu : sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne connaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. Art. 19. Nul ne peut être privé de la moindre portion... | |
 | France - 1884 - 96 páginas
...vendu. Sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité. Il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance, entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie. I 9 . Nul ne peut être privé de la moindre portion... | |
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Tout homme peut engager ses services , son temps , mais il ne peut se vendre ni être vendu ; sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance... 
