| P. L. Lezaud - 1851 - 312 páginas
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible, dans l'ample sein de la nature. Nulleidée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...c'est un des plus grands caractères sensibles de la toute-puissance de Dieu , que notre imagination se perde dans cette pensée. Que l'homme , étant revenu... | |
| Pierre Léon Lezaud - 1851 - 330 páginas
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible , dans l'ample sein de la nature. Nulleidée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...c'est un des plus grands caractères sensibles de la toute-puissance de Dieu , que notre imagination se perde dans cette pensée. Que l'homme , étant revenu... | |
| Blaise Pascal - 1852 - 684 páginas
...qui est imaginable? Concevoir n'est pas imafler nos conceptions au delà des espaces imaginables : nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité...le centre est partout, la circonférence nulle part ' . giaer. On peut concevoir d'une façon abstraite ce qu'on ne se figure pas d'une manière sensible.... | |
| Blaise Pascal - 1852 - 680 páginas
...daní l'immensité, puis dans l'amplitude, i fler nos conceptions au delà des espaces imaginables : nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité...le centre est partout, la circonférence nulle part ' . giner. On peut concevoir d'une façon abstreite ce qu'on ne se figure pas d'une manière sensible.... | |
| Adolf Portmann, Rudolf Ritsema - 1977 - 496 páginas
...athées.18 Toutefois, c'est certainement un cri du cœur que cette exclamation évoquant le monde comme « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part». Car dans l'édition critique de Tourneur (Paris, 1941) on voit que Pascal avait d'abord écrit : «... | |
| Jean-Louis Gardies - 1984 - 152 páginas
...la limite. C'est, selon la formule célèbre sur laquelle il convient maintenant de revenir 44, « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part ». Mais le nouveau paradigme ainsi résumé est à sa manière signe cosmologique de l'existence de... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 páginas
...puis barré (15). Pour se connaître, l'homme doit commencer par se situer dans un monde qui est « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part » (16) ; aussi ne disons pas seulement dans l'univers mais dans «une infinité d'univers» (17).... | |
| Giorgio Orelli - 1990 - 108 páginas
...Nulle idèe n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infime dont le centre est partout, la circonférence nulla part. Enfìn c'est le plus grand caractère... | |
| Georges Canguilhem - 1992 - 260 páginas
...connaître le tout sans connaître particulièrement les parties. Et lorsqu'il définit l'univers comme « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part », Pascal tente paradoxalement, par l'emploi d'une image empruntée à la tradition théosophique,... | |
| |