| Thomas Reid - 1828 - 472 páginas
...l'étendue de ses es« paces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous « n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des « choses. C'est une sphère infinie dont le centre est parce tout, la circonférence nulle part. Enfin, c'est un des plus « grands caractères sensibles... | |
| Thomas Reid - 1828 - 466 páginas
...l'étendue de ses es« paces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous « n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des « choses. C'est une sphère infinie dont le centre est par« tout, la circonférence nulle part. Enfin, c'est un des plus « grands caractères sensibles... | |
| Henriette Amey - 1830 - 732 páginas
...l'étendue de ces espaces. Nous avons beau en« lier nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes « au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...circonférence nulle part; « enfin, c'est un des caractères sensibles de toute ia puis« sance de Dieu, que notre imagination se perde dans cette «... | |
| Jacques Delille - 1832 - 384 páginas
...le centre est partout , et les bords nulle part. Pascal avait dit de l'ensemble de la création : « C'est une sphère infinie, dont le centre est partout, la circonférence nulle part. » Avant Pascal, Timée de Locres avait appliqué à Dieu la même comparaison, exprimée dans les... | |
| Blaise Pascal - 1834 - 776 páginas
...l'étendue «le ces espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons que des atomes aa prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout , la circonfé••'псе nulle part. Enfin c'est un des plus grands •"aractères sensibles de la toute-puissance... | |
| Voltaire - 1834 - 648 páginas
...l'étendue de « ses espaces. Nous avons beau enfler nos concep« fions, nous n'enfantons que des atomes au prix «de la réalité des choses. C'est une sphère infinie, « dont l§ centre est partout, la circonférence nulle « part. » P. Cette belle expression est de Timée... | |
| François Noel - 1835 - 596 páginas
...l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...c'est un des plus grands caractères sensibles de la toule-puissance de Dieu, que notre imagination se perde dans cette pensée. Mais , pour présenter... | |
| Louis Auguste Delalle - 1837 - 636 páginas
...l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...l'homme, étant revenu à soi, considère ce qu'il est. Qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature ; et que, dans ce que lui paraîtra... | |
| Louis-Auguste Delalle - 1837 - 636 páginas
...l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atonies au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...l'homme, étant revenu à soi, considère ce qu'il est. Qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature : et O o ' que, dans ce que lui... | |
| Abbé Augustin Sénac - 1837 - 392 páginas
...l'étendue de ses » espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, •a nous n'enfantons que des atomes , au prix de la » réalité des choses. C'est une sphère...centre est partout , la circonférence nulle part... » Qu'est-ce que l'homme dans l'infini?... Mais pour » lui présenter un autre prodige aussi étonnant,... | |
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