La solitude absolue, le spectacle de la nature, me plongèrent bientôt dans un état presque impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie.... Revue des deux mondes - Página 9291903Vista completa - Acerca de este libro
| Henri Bornecque - 1924 - 240 páginas
...impossible à décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire, sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois...également troublée de mes songes et de mes veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence : je descendais dans la vallée,... | |
| Fernand Baldensperger - 1924 - 372 páginas
...point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissais subitement, je sentais couler dans mon cœur comme des ruisseaux...également troublée de mes songes et de mes veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence ; je descendais dans la vallée,... | |
| J. Prinsen - 1925 - 558 páginas
...aimé, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement, et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires, et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
| René Lalou - 1926 - 266 páginas
...décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire, seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois...également troublée de mes songes et de mes veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence : je descendais dans la vallée,... | |
| René Lalou - 1926 - 264 páginas
...décrire. Sans parents, sans amis, pour ainsi dire, seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois...également troublée de mes songes et de mes veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence : je descendais dans la vallée,... | |
| Emile Abry, Charles Audic, Paul Crouzet - 1912 - 688 páginas
...mal du siècle : Sans parents, sans amis, pour ainsi dire, sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois...également troublée de mes songes et de mes veilles... Une langueur secrète s'emparait de mon corps. Ce dégoût de la vie que j'avais ressenti dès mon... | |
| 1929 - 464 páginas
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