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un bel effort.

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Diens

Elle a demandé seulement aux Treize de ARTS

Quint à M. Geny, sa toile, dépourl'intransigeant de bien vouloir lui dési

zue d'action, montre deux anges à la gner le bénéficiaire. Elle ne pouvait

Rome

Gustave Moreau, qui ne sont pas sans mieux choisir. Ceux-ci ont bien entendu

Voici la saison les candidats au charme. MM. Gagey et Roux ont peutaccepté et se sont constitués en jury.

Prix de Rome font leur choix entre les être du talent. Tous deux ont choisi le Le jugement sera rendu le 15 OC

trois sujets que leur propose un jury sujet du Faune. Tous deux ont voulu tobre. Aucune condition d'âge, de plein d'idées courtes. Trois sujets au plaire à M. Flameng, en faisant miroisexe, d'école , de nationalité et de nota

lieu d'un, c'est la mode, enfin, depuis ter les chairs comme ces nacres sur lesriété. » n'est imposée. Approuvons de si l'an passé.

quelles on voit écrit « Souvenir du Trélibérales conditions.

Que vaut-elle ? C'est, à mon sens, ou port » ; tous deux ont comblé leur ca

trop, ou bien pas assez. N'importe, dre d'une gaîté factice, et maniérée, Quelques livres d'André Salmon

montons jusqu'à ce hall du quai Mala d'une grâce « mutine à la sous-CabaAndré Salmon va publier coup sur

quais sont exposées contre des ten- nel, de ces sourires qui valurent à M. coup, sept volumes, ce qui représente tures, médiocres les auvres parmi les- Flameng tant et de si notoires succès.

quelles on prendra, non la meilleure, Tous deux ont fait un berger qui semAprès Ventes d'amour, d'anciens poè- mais la plus orthodoxe. Tu me diras ble un massier d'atelier d'architecture, mes dant François Bimouard vient de ton avis, mignonne. Mais je le connais un noir de quať zarts; tous deux auront fair une jolie édition de luxe, la Nou- déjà. Ton goût formé, déformé plutôt, des commandes pour des salles de mavelle - Revue Française réédite Tendres. depuis que tu pose's chez Julian et chez riage, en banlieue.

les « maîtres » (comme ta jeune bouche Canailles, des vers encore que l'on n'a

En sonime, c'est peut-être leur ampas oubliés. A la Sirène, nous aurons

un peu fanée le dit sans rire), te porte bition dernière, sans quoi, que feraientPeindre qui est sous presse. Enfin l'Age à préférer les gaîtés pour devanture de ils chez M. Flameng? de l'Humanité paraîtra en octobre. grand magasin, M. Flameng marie

ROBERT REY. L'auteur de la Négresse du Sacré- comme il peut la muse de Clairin et de Cæur donnera aussi deux romans, l'un, feu Bouguereau. ,

mun en juillet, l'Entrepreneur d'Illumina

Ma modestie ne va pas jusqu'à prétions qui sera un très gros livre, l'au

tendre que tu parles des arts mieux que ÉCONOMIQUE tre en octobre Les Archives du Club des

moi. Donc, montons, et c'est toi qui once, histoire fantasque dans le genre

m'écouteras, avec l'ennui, la déférence, L'inflation et les du Manuscrit dans un chapeau qu'on doit à l'ami qui « écrit dans les

banques allemandes André Salmon n'est pas seulement un

journaux ». Voyons, quel sujet d'excita

. Tomancier et un poète ; il est encore un tion a-t-on offert à ces jeunes gens bien

L'examen des bilans des banques al

lemandes laisse l'impression critique d'art, un des meilleurs défen- doués, mais si mal conseillés : 1° L'en

) d'une seurs de la peinture moderne. Ses opi

sevelissement de Saint-Antoine par des prospérité accrue par la guerre. Jussur ce sujet seront données 'en no.

anges et des lions ; 2° nymphes et fau- qu'à quel point elle est factice, on peut vembre dans. Propos d'Atelier. nes ; 3° les premiers pas,

le voir en examinant les conséquences Après quoi, nous aurons de lui, un L'ensevelissement a tenté la plupart.

de l'inflation sur la politique des bannouveau roman et un poème, Saint-AnC'était normal ; car le groupe du

ques allemandes, qui sont essentielleTO dré qu'il termine en ce moment.

front, des anges et des lions, permettait ment des banques d'affaires.
de jolis arrangements.

Le premier effet de l'inflation, c'est
Institut franco-yougoslave

Ils ne sont pas bêtes, les concurrents, que le gage fondamental des créditeurs, Une association s'est fondée il y a déet l'un d'eux, M. Font, a fait un ta

constitué par le capital-actions et la rébleau fort avouable. Surtout il a su met.

serve légale des banques, «isparaît à jà quelques mois en Yougoslavie dans

ire tous le but de faire connaître là-bas. la pen

les personnges en action et peu près complètement. A la suite même l'un des lions qui creuse effecti

d'augmentations de capitaux devenues sée française, de faciliter l'étude de vement la fosse du saint. Les anges sont

nécessaires à cause de l'inflation, le canotre langue et d'entretenir des rela | adaptés à l'époque l'on a coutume pital-actions de toutes les sociétés alle tions intellectuelles constantes avec la

de placer la légende ; sa lumière noc- mandes est passé de 17 milliards de turne a du pathétique.

marks lin 1913 à 30 milliards fin 1920, Elle vient de publier les résultats de

Son voisin, M. Beaume, avait fait, et à 35 milliards à l'heure actuelle. l'an dernier, une toile mauvaise. Or, il

Proportionnellement, l'augmentation Des centres ont déjà été créés a Saraje accomplit, cette année, comme un

est supérieure aux accroissements consvo, à Mostar, à Bauj-Luka, à Tuzle.

tatés dans les affaires industrielles. Ils comprennent un institut où est de force : il reste dans la tradition de

Mais, avec une circulation fiduciaire professée la langue française, l'histoire

ses maîtres et pourtant nous laisse devi-
ner sa valeur inventive, Ses anges sont

qui aiteint 72 milliards de marks, les une bibliothè

banques sont assaillies de dépôts : pour d'une grande beauté linéaire. Celui

qu'on voit de face à de la stlendeur ; les hụit principales banques allemanvrages classiques français qui sont prêc l'arabesque des ailes est noble. Une

des, le total des dépôts atteignait, à la tés à domicile, une salle de lecture de fauté : le lion ne fait rien ; or, la dona fin de 1920, 62 milliards. La seule

: née du problème lui désigne un rôle de « Deutsche Bank » a 400 millions de chaque samedi sont lus des extraits de fossoyeur, dont M. Font, moins lyri

marks de capital-actions, 450 millions

de réserve légale, et 21 milliards de que, a mieux tiré parti. Le corps du

dépôts. Tandis que l'accroissement de saint est froissé, compliqué, plissé propa

comme le ventre de job de M. Bonnat. capital doublait la fortune de la banC'est

peut-être à M. que, ses obligations décuplaient. Beaume la palme.

Un second effet, plus dangereux, M. Martial a fait un môme drolet c'est que les banques trouvent des gains dans ses premiers pas, mais il faudrait

faciles et sûrs dans le placement en choisir entre les éclairages à la Henry

Bons du Trésor des dépôts de leurs Martin et les paysanneries i la Ther. créditeurs, ces bons rapportent seulemite.

ment 4 1/2 0/0, l'intérêt versé aux déPourquoi le Saint-Antoine de M. Per- posants est à peine de 1 ou 1 1/2 0/0 ; ron ressemble-t-il tant à M. Doumer, les bénéfices de la Banque ne sont donc est-ce une attention flatteuse ?

plus demandés à l'escompte du papier On connaît la science d'éiorative de commercial, mais résultent automatiqueDucos de la Haille, qui sait unir les ment de la différence entre l'intérêt du teintes de Maurice Denis aux frottis de M. Ernest Laurens. M. Dastrac a peint liaison pleine de périls entre le sort des un Saint-Antoine mort, aux chairs inu- banques et le sort des finances publitilement granuleuses et éclairées commi ques. Leur risque est de sombrer en

même temps que le crédit public, et par un feu de Bengale pour foire.

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France.

ses efforts en Bosnie et Herzégovine.

COUT

de la littérature française,

que roulante comprenant déjà 1.800 ou

joumaux, une salle de conférences où

ce qui vaudra

Ces chefs-d'auvre.

C'est une au vre excellente de gande française. Elle demande qu'on l'aide un peu en lui envoyant des jour naux et des livres a même en mauvais Bat) mais capables d'augmenter utilement le fond encore modeste de ses bi bliothèques populaires

mumm Les amis d'Emile Zola fondée ces jours-ci et dans un but uni..

Une nouvelle société d'amis - a été Zola, MM. Hennique, Louis Bertrand, quement littéraire : Les Amis d'Emile Maeterlinck, d'Annunzio et la comtesse de Noailles ont envoyé leur adhésion. sident : M. Marcel Batilliat el Gustave M. Anatole France a été nommé pré

débit et l'intérêt du crédit. De la

une

Kahn, vice-présidents.

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On a pu

Х

On y

d'entraîner tout le pays dans le naufra-
millions de dollars d'obligations por-

variétés. Et il fait un travail indispenge. La facilité de leurs gains, et l'im- tant intérêt à 6 olo et amortissables en sable à connaître pour tout bonne qui portance de leurs profits. a pour contre- 29 ans. Une taxe de 36 cents par sac

se soucie de l'homme et de sa pensée partie le danger de réduire presque les de suere servirait de garantie aux obli- Histoire de France, sous l'a direcaffaires au placement en valeurs d'Etat gations. Celles-ci seraient remises, aux tion d'Ernest LAVISSE : La Révolution des fonds des particuliers. Ce danger producteurs par l'Etat, qui se rendrait de 1848 ; le Second Empire, par Charn'empêche pas les bilans d'accuser une ainsi, acquéreur de 5 millions de sacs à

les SEIGNQBOS. M. Seignobos est prospérité remarquable. Mais il est dan- 8 dollars pièce pour les retirer du mat- I'auteur d'une Histoire politique de gereux, pour le crédit privé: de multi- ché, et décongestionner la place. Toute

l'Europe contemporaine qui est l'un des plier les points de contact avec le cré- fois, l'Etat pourrait les céder avec des

meilleurs manuels historiques qui soient. dit public, quand on peut douter de sa crédits à long terme aux nations à chan

Dans son nouvel ouvrage également, solidité, et c'est le cas pour l'Allema- ge déprécié.

M. Seignobos s'efforce autant qu'il gne.

Cette ingénieuse combinaison se borne à faire la part du feu. La Banque nelle et s'efforce de laisser les faits

peut de

toute appréciation personNationale de Cuba, vieille de 60 ans,

parler. Mais il les choisit, et ce choix La reconstitution de nos houillères avait en effet suspendu ses opérations le

seul montrerait que l'histoire n'aura ja9 avril dernier. Elle sera sans doute

mais l'impartialité d'une science. D'ailQuelques chiffres répondront mieux transformée en un syndicat internatioque beaucoup de phrases aux attaques nal de banquiers américains, espagnols ci, à propos du coup d'Etat : c. Bientôt

leurs, de petites phrases comme cellesde la presse allemande de droite, qui et anglais, avec un capital augmenté de arrivent les soldats. L'Assemblée essaie nous accuse de « saigner le charbon al- 40 millions de dollars.

pendant plusieurs heures d'opposer la lemand », et d'entretenir à dessein chez

voir

que l'Etat tente, de son légalité à la discipline militaire , sont nous la plaie de la zone rouge.

côté le repêchage des planteurs. C'est plus actives que de l'éloquence. (Est-ce Sur 206 puits inondés, 140 furent dy- un exemple d'initiative gouvernemen

qu'au reste la discipline militaire n'est namités, 100 millions de mètres cubes tale trop rare pour qu'on ne prenne pas pas légale ?). Ainsi M. Seignobos insi. d'eau les remplissaient et 1.800 kilomè- plaisir à le mentionner.

nue ses opinions, qui sont tranchées. A tres de galeries étaient à rétablir. En

ROBERT FABRE.

remarquer que cette a Histoire du Se surface, 18.000 maisons ouvrières étaient

cond Empire » ne comprend que celle en ruines, et 12.000 partiellement déCB QU'ON LIT

de l'Empire autoritaire et s'arrête à l'at truites.

tentat d'Orsini.. Et cela aussi est signi. Voilà la tâche, voici le travail ac

ficatif. compli : en avril, les mines sinistrées Films brésiliens, par Louis PIÉRARD. du Nord ont produit 354.000 tonnes de

En septembre et octobre 1920, les houille, 62 0/0 de la production de souverains belges firent un voyage au Dans un article charmant de la Rea 1913, et celles du Pas-de-Calais, plus Brésil. M. Louis Piérard, notre colla- naissance, M. André THÉRIVE démonatteintes, 118.000 tonnes, soit 12 0/0 borateur qui les accompagnait, réunit tre que l'ennui ne saurait être un critéde la production d'avant-guerre. L'im- aujourd'hui un choix des articles qu'il rium suffisant de la valeur des livres. portance relative du rendement s'ac- écrivit.

trouvera,

notées avec Certes. Amusant n'est qu'un des élé croît si l'on songe que les charbonnages beaucoup de vie, des impressions excel- ments de la beauté, et dont souvent elle anglais, qui peuvent servir de type, donlentes.

se passe. nent moins depuis que les salaires et le Scènes en famille, par André LICHnombre des mineurs ont augmenté : la TENBERGER. Ces petites comédies ou

Anatole FRANCE publie dans la Reproduction par tête est en baisse dans proverbes de salon ont cet avantage

vue de Paris des jer et 15 juillet, me le monde entier, et ce phénomène uni- d'être fort agréablement jouables.

nouvelle série de ses souvenirs ; ils sont

délicieux, naturellement. versel rend plus brillante la perfor- M. Lichtenberger y montre cette bonne mance de nos reconstructeurs.

grâce, cette justesse d'esprit et ce sen- La Revue de l'Art ancien et moderne Elle a été établie avec le minimum de timent juste de la famille frai.çaise qui consacre son numéro à Watteau, dont moyens : on évaluait en effet à cinq mil- font souvent le charme de son cuvre. le centenaire sera prochainement célé liards de francs l'ensemble des dommaMinerve ou Belphégor, par Gaetan BER

bré. On y trouvera,

outre des illustrages causés à nos mines du Nord et du

NOVILLE. Le directeur des Lettres tions excellentes, un sonnet de M. HenPas-de-Calais, et 1.200 millions seule

ti de RÉGNIER et des études de MM. de ment ont été jusqu'ici dépensés pour

recueille et complète dans ce volume les leur remise en état.

articles d'esthétique qu'il a publiés dans PONCHEVILLE, Edmond PILON, Ray

sa revue, travaux qui ont suscité les mond BOUYER, Camille MAUCLAIR, A Lens, mines martyres, les travaux discussions que l'on sait. Et l'on s'aper

Pierre CHAMPION, Emile DACIER, etc. de déblaiement sont terminés dans les fosses et s'achèvent dans les usines ; 13 çoit en relisant ces pages vives et clai

Dans la Revue de France, une lettre puits dynamités ont été cimentés, et res que la question reste toujours d'ac

inédite de GAMBETTA, un poème de M. tualité. l'on escompte pour la fin de l'année une

Paul VALÉRY, et des Scènes de la chanproduction mensuelle de 25.000 tonnes,

Le Miracle de la Race, par Marius- son de Roland, transcrites. par M. Jo qui atteindra probablement icc.ooo 'ton

Ary LEBLOND. Il consiste, ce miracle seph BÉDIER.
nes à la fin de 1922.
dans la permanence du génie de la race,

un
triomphant, pour civiliser, en de loin-
taines colonies, presque de la séduction

LES FAITS DE LA SEMAINE redoutable des pays chauds. MM. M.-A. Pour enrayer la crise du sucre

Leblond, en ces pages qui suscitent la à Cuba

LE 13 JUILLET. nostalgie des voyages, font vivre sous monie à l'Hôtel des Invalides en l'hon. On ne saurait trop admirer l'ingénio- nos yeux, qui, soudain, ne peuvent s'en

neur de la marine française, en présensité que déploient les gouvernements

détacher, Saint-Pierre et l'Ile de la ce du Président de la République ; dépour éviter l'effondrement des prix, par Réunion. Et leur roman, développant filé, discours, décorations. – Retour une combinaison habile et parfois ino- l'histoire d'un enfant qui sait devenir

du paquebot France, ramenant la mispérante, du crédit public et du crédit un homme forme, dans sa discrétion, sion Fayolle : On apprend la mort

, privé. Les efforts du gouvernement anune véritable épopée lyrique et morale.

survenue en mer, du professeur Lipp glais pour préserver de la chute bru- Espèces et Variétés d'Intelligence,

Au Tribunal de Leipzig s'outale les stocks de laine de l'Afrique du

par François MENTRÉ.

M. Mentré vre le procès des marins, qui ont coule Sud se sont poursuivis en sens divers.

complète par ce livre suggestif son beau un bateau-hôpital anglais, le LondonC'est au tour du gouvernement cubain, travail sur les Générations sociales. derry-Castle. - Les pourparlers anglotrès éprouvé par la baisse des prix du Après des analyses d'esprit .fort com- kémalistes ont repris, sur la demande sucre survenue en avril 1920, de mettre plètes et vivantes il s'essaie à une classi- du gouvernement d'Angora. à l'étude un projet de valorisation du fication des esprits. Il distingue le pra- LE 14 JUILLET.

La Fête national sucre.

ticien, le contemplatif, le méditatif, et est célébrée avec éclat et sans incident Le gouvernement émettrait pour 49

40 il subdivise ces genres en espèces et en à Paris, en province et à l'étranger.

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Emouvante céré

mann.

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1. Myron Herrick, qui fut jadis am

Foreing Office répond qu'il accepte ce. M. Korfanty est arrivé à Paris ; bassadeur des Etas-Unis en France et

cette suggestion, mais à la condition d'une longue interview qu'il a eue avec que son gouvernement, a envoyé de nou

qu'une décision soit prise avant deux les membres de la presse il résulte qu'il

semaines. La France à son tour répond reau à ce poste, arrive à Paris. Il est

y a urgence à hâter la solution du pro reçu par M. Briand et acclamé par la

qu'il faut, auparavant, renforcer la si- blème conformément aux résultats du foule. - A Londres, une première en- tuation militaire dans le territoire con- plébiscite ). — A Londres, le premier tresne a lieu entre M. Lloyd George testé, l'envoi de troupes est nécessaire. anglais et M. de Valéra continuent et M. de Valera. Aucun communiqué La France envoie donc une nouvelle leurs entretiens, toujours dans le plus n'a été fait à ce sujet. Le mot d'ordre division. En même temps l'ambassa- grand mystère.

grand mystère. - Pluies et orages.

. est cependant l'optimisme. – Sports : deur de France à Berlin remet une note LE 19 JUILLET. D'après les renAu sujet des jeux olympiques » de au docteur Rosen pour obtenir, particu- seignements parvenus de Haute-Silésie, 1924, qui doivent avoir lieu à Paris, un lièrement, l'éloignement effectif des il semble que l'Orgesch prépare un nouconflit s'est élevé entre le Conseil Mu- troupes de l'Orgesch. – Mort, à Pa- veau coup de force. Des bandes armées nicipal, qui désigne, pour ces jeux, le ris, du général de Maud'huy. – A allemandes sont massées aux frontières, stade Pershing, et le Comité exécutif, Leipzig, les accusés sont condamnés à prêtes à envahir le territoire. L'ambasqui refuse et demande un stade olympi- quatre ans de prison. Aucune nou- sadeur d’Italie à Berlin a fait, à son que spécial . velle du front gréco-turc.

tour, une demande auprès du docteur LE 15 JUILLET. - M. Myron Her- LE 17 JUILLET (dimanche). La Rosen, l'invitant à empêcher tout acte rick présente ses lettres de créance à conférence franco-suisse au sujet des

de violence de ce genre.

Sur le front 21. Millerand. - A Londres, continua- u zones franches » reprend ses travaux, gréco-turc, les hostilités ont commencé. tion des entretiens entre MM. Lloyd à Berne. Cérémonies à Reims à Une grande bataille, dont l'issue est inGeorge et de Valera. Pendant ce temps,

l'occasion du retour de la statue de certaine, se livre sur la ligne Yeni-Cheir les fusillades ont repris en Irlande. A Jeanne d'Arc du parvis à la Cathédra- Nazil-Pacha. Belfast, nombreux morts et blessés. le. Sports : La Traversée de Paris à

LE 20 JUILLET.

La réponse de Rome : Le prince Hirobíto est reçu par la nage, a lieu devant une affluence M. Lloyd George aux suggestions de le Pape. - A Leipzig l'Angleterre şuit énorme, et met en ligne 31 concurrents. M. Briand est arrivée au quai d'Orsay. attentivement les débats au sujet du tor- L'italien Sachner arrive premier (7 ki- Le Premier Anglais propose que le Conpillage d'un de ses navires-hôpitaux. lomètres en 2 heures 4 minutes 5 se- seil Suprême se réunisse à Boulogne enSes délégués paraissent décidés à ne condes). A Colombes, le Finlandais tre le 27 et le 30 juillet. MM. Curzon pas accepter un acquittement. Nurmi gagne le Prix Roosevelt (cour- et Balfour représenteront l'Angleterre Sports : L'aviateur Kirch (Bonrget) se à pied) et bat tous les records (4.827 pour la discussion du partage de la monte à 10.200 metres. Quelques mètres en 14 minutes 31 secondes). Haute-Silésie. En Russie la famine pluies d'orage, encore insuffisantes, sont LE 18 JUILLET.

A la suite de la continue ses ravages notamment dans la tombées en France.

note française, à laquelle le gouverne- région du Volga où les habitants meurent Un léger désac- ment allemand ne répondra que dans de faim. Les épidémies les plus dancord se practuit de nowean entre les quelques jours, les organisations mili- gereuses se déclarent. Le comité exécugouvernements français et anglais au taires s'agitent dans la Haute-Silésie. tif des membres de l'Assemblée cons

sujet de la Haute-Silésie La France Les patriotes » allemands font appel tituante de Russie adresse à Paris un Te avait proposé que la question du par

à .M. Lloyd George ; toute la presse appel en faveur des populations éproutage fût étudiée par des experts

Le allemande combat violemment la Fran- vées. st ia

Principales fluctuations du 12 au 20 juillet 1921

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5

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LE TO JULLET.

VALEURS EN HAUSSE

La Bourse

La semaine écoulée n'a présenté aucun intérêt, ayant été occupée par quatre jours de chômage. La liquidation de quinzaine a passé inaperçue, les positions à répéter étant extrêmement réduites.

Les diszpitions de la Bourse sont cependant relativement satisfaisantes et la situation de place pour

, છે dans les circonstances actuelles, ne serait pas impossible.

Le marché des changes n'accuse que des mouvements insignifiants, les besoins étant extrêmement réduits ; cependant des demandes suivies en dollars sont toujours et le 30/0 supporte quelques ordres de vente. Le marché des Rentes françaises est toujours négligé

Les actions de nos grandes Banques sont bien tenues et le découvert vendeur qui s'est créé ces temps derniers contrZbuera à faciliter la reprise des cours.

Les valeurs de navigation ont été faibles sous la conduite des Chargeurs Réunis, tandis que les valeurs

en commun et les valeurs d'Electricité Les valeurs de Sucre sont en faveur, les avis qui parviennent indiquant que la récolte sera déficitaire.

Au marché en Banque, les valeurs de Pétrole sont plus résistantes et de son côté la De Beers est très Terme, les prix des diamants ayant été, dit-on, majorés de 20 olo. Les valeurs de Caoutchouc sont en reprise, les prix de la matière première. Les mines Sud-Africai

gros efforts étant actuellement tentés ines sont favorisées par la prime de l'or. Les valeurs

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observées.

++

VALEURS EN BAISSE

45

de Transports sont fermes.

Thomson-Houston
Messageries ord.
Acier Nord-Est
Basse-Loire
Courrières
Guergour
Auer
Pétroles Premier
Industrielle Verrerie
Héraclée
Héraclée Part
Bi-Métal
Dnieprovienne
Tubes de Sosnowice

795 182 462 142 29.1 370 600 340 325

24 27 75 -50 25 40 35 850 IZ 45 T9

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de

257

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4.325

128 705 97

J. DESPRÉAUX.

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Informations Financières

Chemins de fer Pour le premier semestre de 1921 les recettes des Chemins de fer de l'Est, ont atteint 456.567.000 francs (contre 373 millions 832.000) ; celles de la Compagnie d'Orléans se sont élevées à 419.676.000 francs (contre 376.667.000) ; celles de la Compagnie du Midi à 186.073.149 francs (contre 165.756.206).

Chemins de fer de Beira Alta Le Gouvernement portugais s'apprêterait à racheter les chemins de fer de Beira-Alta et du Nord et les ferait exploiter avec ceux de l'Etat. Le projet serait à l'étude à Londres, à Paris et en Amérique, mais il ne sera pas réalisé avant que la stabilité du gouvernement portugais semble assurée.

Crédit Foncier Colonial On dément le bruit suivant lequel la Société des Sucreries Coloniales, filiale du Crédit Foncier Colonial, songerait à porter tiès prochainement son capital de 20 à 50 millions de francs.

Bourse de Londres On fait circuler au Stock-Exchange, pour la signature, une pétition au comité, demandant l'abrogation des restrictions imposées par le Trésor, entre autres, celle interdisant les transactions en liquidation de quinzaine.

ses monuments célèbres, mais aussi une ville industrielle e commerçante en plein développement et en pleine prospérité dont la population ne cessait de s'accroître.

Mais la guerre est venue et on sait les terribles épreuves qu'elle a dû supporter pendant près de quatre années : sur ses 14.000 maisons, presque aucune n'est restée intacte ; ses usines et ses monuments, tout ce qui faisait sa richesse et sa gloire a été réduit en cendres ou gravement endommagé.

L'euvre de reconstruction, nécessaire pour rendre à la grande cité sa vitalité et son activité d'autrefois, se poursuit depuis deux ans. Pour la mener à bien, la vaillante population rémoise, si éprouvée, a besoin du concours de tous ceux qui ont eu le bonheur de voir leurs biens préservés de la tourmente qui a dévasté notre pays.

La Ville de Reims offre à l'épargne un Emprunt de 120 mil lions de francs, divisé en 240.000 obligations 6 0/0 de 500 fr., nettes d'impôts présents et futurs.

Chacune d'elles rapporte un intérêt annuel de 30 francs net, payable par semestre, les jer janvier et 1er juillet de chaque année, le premier coupon étant à l'échéance du 18 janvier 1922.

Cet Emprunt, gagé par trente annuités de l'Etat français, est remboursable au pair en trente ans, par tirages au sort annuels, dont le premier aura lieu en avril 1922.

Le prix d'émission est fixé à 475 francs par obligation, ce qui fait ressortir le revenu net à 6,31 0/0, environ.

Qui pourrait, dans ces conditions, hésiter à concourir à une belle æuvre de solidarité nationale, à l'achèvement de laquelle la prospérité générale du pays est directement intéressée ?

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On

Les derniers jours de l'Emprunt Municipal L'émission des nouvelles obligations 1921 de la Ville de Paris sera très prochainement close. Il ne reste donc plus à l'épargne que quelques jours pour faire un placement de toute sécurité, en souscrivant de suite à ces obligations si intéressantes.

Rappelons que l'intérêt de 5,75 0/0 par an attribué aux obligations 1921 est exonéré d'impôts présents et futurs et que tous les titres participent aux tirages annuels comportant 5.625.000 francs de lots dont 2 d'un million, 6 de 150.000 fr., 8 de 100.000 francs, etc.

Les porteurs d'obligations 1919 bénéficient d'une remise de 20 francs par titre : ils n'ont qu'à verser une somme totale de 466 fr. 21. pour obtenir une obligation privilégiée de 500 fr. Ils peuvent, en outre, se libérer par versements échelonnés jusqu'au 31 juillet 1923 ; il leur suffit, dans ce cas, de s'acquitter de suite du premier terme de 80 francs. Sous déduction des intérêts à 5,75 olo sur le montant des termes versés, ils n'auront à payer, pendant deux ans, qu'une somme globale de 450 fr. 80 par titre de 500 francs, ce qui revient à dire que, à partir de 1923, ils toucheront en réalité des intérêts nets de près de 6,38 0/0 auxquels s'ajoute la chance de gagner des lots importants.

Hâtez-vous de souscrire aux obligations. 1921 de la Ville de Paris.

L'Emprunt de Verdun La gloire de Verdun rayonnant sur le monde entier attire chaque jour vers la ville sacrée des milliers de pèlerins désireux de voir de leurs yeux le coin de terre où s'est joué le sort de l'humanité.

Mais aujourd'hui, il est nécessaire de hâter l'oeuvre de résurrection. Verdun, qui n'a que trop attendu la réparation de son désastre, émet un emprunt en obligations de 500 francs 6 0/0, nettes d'impôts, offertes au public à 475 francs. A la garantie de l'Etat français, la ville ajoute sa propre signature et la piété fervente des pèlerins du monde entier vient renforcer encore la valeur d'un tel engagement.

L'intérêt de chacun est donc de souscrire..

Les souscriptions sont reçues aux guichets des établisse ments suivants : Banque Privée, Banque Varin-Bernier et Cie, Banque d'Alsace et de Lorraine, Banque Renauld, Banque du Rhin, Société Nancéienne, Crédit de l'Ouest, Morgan Harjes et Cie, Guaranty Trust Co of New-York, London County Westminster et Parr's Foreign Bank Ltd, Royal Bank of Canada,

Le bilan sucrier de la France Depuis quelques jours, le prix du sucre est en sensible reprise, après être passé par son prix le plus bas. Ces fluctuations auraient lieu d'étonner le public, s'il n'était averti du peu de stabilité du marché de la précieuse denrée. C'est que nous sommes tributaires de l'étranger et, par suite, des oscillations du change, car l'écart s'est accru entre la production et la consommation. Notre consommation était, avant la guerre, de 700.000 ton

On l'évalue actuellement à 850.000 tonnes. Notre production, qui approchait de 1 million de tonnes, a été réduite à 100.000 tonnes pour la campagne qui a suivi l'armistice envisage le chiffre de 280.000 tonnes pour la campagne actuelle. A cette situation il est deux remèdes :

Ou réduire notre consommation. Mais le public est peu soucieux des avertissements des économistes et des conseils de restriction ; en fait, il consomme plus de sucre qu'avant la guerre, malgré le renchérissement. Ou accroître notre production. C'est cette tâche que

le gouvernement entend. seconder en accordant un rang de faveur à l'emprunt du Groupement sucrier actuellement en cours d'émission et en relevant les droits de douane. Le succès de la souscription apportera une aide efficace à la culture et à l'élevage, dont la sucrerie est le meilleur acheteur comme le four. nisseur de pulpe pour l'engraissement du bétail. Ce succès contribuera au relèvement d'une grande industrie nationale, pour le plus grand profit de notre change, et à l'atténuation de la vie chère.

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Emprunt de la Ville de Reims Reims occupait avant la guerre une des premières places parmi les grandes cités françaises. Elle était non seulement une ville d'art fréquentée chaque année par de nombreux visiteurs attirés par les souvenirs historiques et désireux d'admires

525 21 110

::: :

ij 20 95 475

500 1.000 10.000

99 70 498 50

977 9.970

99 495

930 9.900

97 75 488 75

977 50 9.775

950 9.500

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LA REVUE DE LA SEMAINE ILLUSTRÉE, qui est la moins chère des grandes revues françaises, s'est assurée le droit exclusif de publier les Conférences de la Société des Conférences et par les plus illustres collaborations, notamment celle de M. le président Raymond Poincaré.

Elle offre en outre dans chacun de ses numéros un ou deux romans, des travaux économiques, historiques et critiques signés des noms les plus qualifiés, des illustrations d'actualité et le résumé de la "Vie de la Semaine".

LA REVUE DE LA SEMAINE ILLUSTRÉE, peut être lue par tous avec plaisir et profit.

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Saint-Nazaire départ à 4 h. 42 (lundis et lendemains de fêtes en été), Nantes, départ à 6 h. 02. Angers départ å 7 h. 20. - Paris arrivée à 12 h. 42.

Prolongement de Quimper à Brest et viceCompagnie d'Assurance

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7 h. 51) et 102 (Paris arrivée 19 h. 58). Train 101, Quimper départ à 20 h. 45.

Brest arri. L'INCENDIE

Landerneau arrivée à 22 h. 29.

rs d'actions ordinaires. 3rdre du jour de l'assemblée :

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Onlre du jour de l'assemblée :
Proposition de ratification des modifica-
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statuts, modifications comprenant

une

francs,

conde.

Les dépôts d'actions et de pouvoirs effeci en nie de la première assemblée généle ordinaire annuelle sont valables pour la Les dépôts d'actions sont également valaes pour les assemblées suivantes mais de ureaux pouvoirs seront adressés aux déles nouveaux dépôts d'actions seront acDes jetons de présence seront alloués pour mtés jusqu'à la veille des asseinblées.

sants,

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vée à 22 h. 54. FONDÉE EN 1828

Train 102, Brest départ à 5 heures. Lan derneau départ à 5 h. 22. Quimper arrivée à 7 h, 05.

Nouveau train express (toutes classes) enCompagnie tre Nantes et Quimper ;

Nantes départ d. 7 h., Quimper arrivée à d'Assurances contre

11 h. 57. Le VOL et les ACCIDENTS

Quimper depart à 15 n. 10, Nantes. arrivée FONDÉE EN 1909

à 21 h. 50, avec arrêts aux principales gares

du parcours et correspondances avec les emS'adressor à PARIS, au siège social, 9 place Vendonie

branchements de Quiberon, Pontivy, Consar: en PROVINCE, 8 MM. los Agents de la Cie

neau, Pont-L'Abbé et Douarnenez.

Aune de ces assemblées.

Le Gérant : A. BRUGNQ.

primerie G. CADET, ?, me Cadet, Paris

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