Rome, lettres d'un pèlerin, Volumen2

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Ambroise Bray, 1856
 

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Página 181 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses...
Página 295 - Dénouer les guerres civiles Avec le tranchant de l'acier ; Vous pouvez, ô mon capitaine, Barrer la Tamise hautaine, Rendre la victoire incertaine Amoureuse de vos clairons, Briser toutes portes fermées, Dépasser toutes renommées, Donner pour astre à des armées L'étoile de vos éperons ! Dieu garde la durée et vous laisse l'espace; Vous pouvez sur la terre avoir toute la place, Être aussi grand qu'un...
Página 452 - S'il m'empêchait de voir en quels lieux je suis née. Albe, où j'ai commencé de respirer le jour, Albe, mon cher pays, et mon premier amour; Lorsqu'entre nous et toi je vois la guerre ouverte, Je crains notre victoire autant que notre perte.
Página 68 - Quoniam Angelis suis mandavit de te ; * ut custodiant te in omnibus viis tuis. In manibus portabunt te : * ne forte offendas ad lapidem pedem tuum.
Página 364 - Gloire à Dieu au plus haut des cieux , et paix sur la terre « aux hommes de bonne volonté , chéris de Dieu ! » • La piété des fidèles a transformé cette grotte en une chapelle.
Página 304 - Mais le 6 novembre, le ciel se déclare. Son azur disparaît. L'armée marche enveloppée de vapeurs froides. Ces vapeurs s'épaississent : bientôt c'est un nuage immense qui s'abaisse et fond sur elle , en gros flocons de neige. Il semble que le ciel descende et se joigne à cette terre et à ces peuples ennemis , pour achever notre perte.
Página 66 - Il faut être ignorant comme un maître d'école Pour se flatter de dire une seule parole Que personne ici-bas n'ait pu dire avant vous. C'est imiter quelqu'un que de planter des choux.
Página 151 - J'ai vu, Ciel, tu le sais par le nombre des âmes Que j'osai t'envoyer par des chemins de flammes, Dessus les grils ardents et dedans les taureaux, Chanter les condamnés et trembler les bourreaux ; J'ai vu tendre aux enfants une gorge assurée A la sanglante mort qu'ils voyaient préparée, Et tomber sous le coup d'un trépas glorieux Ces fruits à peine éclos, déjà mûrs pour les cieux.
Página 397 - Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, votre Seigneur et votre maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres. Car je vous ai donné l'exemple, afin que vous fassiez vous-mêmes comme je vous ai fait.
Página 341 - Les Russes n'ont point été formés à cette brillante école de la bonne foi dont l'Europe chevaleresque a su si bien profiter, que le mot honneur fut longtemps synonyme de fidélité à la parole...

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