Revue canadienne, Volumen51

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Alphonse Leclaire
Revue canadienne, 1906
 

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Pasajes populares

Página 169 - Mais la première place appartient aux corporations ouvrières, qui en soi embrassent à peu près toutes les œuvres. Nos ancêtres éprouvèrent longtemps la bienfaisante influence de ces corporations; car, tandis que les artisans y trouvaient d'inappréciables avantages, les arts, ainsi qu'une foule de monuments le proclament, y puisaient un nouveau lustre et une nouvelle vie. Aujourd'hui les générations étant plus cultivées, les mœurs plus policées, les exigences de la vie quotidienne plus...
Página 13 - Jolliet! Jolliet! deux siècles de conquêtes, Deux siècles sans rivaux ont passé sur nos têtes, Depuis l'heure sublime où, de ta propre main, Tu jetas, d'un seul trait, sur la carte du monde Ces vastes régions, zone immense et féconde, Futur grenier du genre humain...
Página 326 - Nous tient dans l'angoisse autant que ces éventualités ; et plût au ciel que Nous eussions quelque faible espérance de pouvoir, sans heurter les droits de Dieu, faire cet essai et délivrer ainsi Nos fils MCIaimés de la crainte de tant et si grandes épreuves!.
Página 170 - Aussi est-ce avec plaisir, que Nous voyons se former partout des sociétés de ce genre, soit composées des seuls ouvriers, soit mixtes réunissant à la fois des ouvriers et des patrons : il est à désirer qu'elles accroissent leur nombre et l'efficacité de leur action.
Página 283 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Página 283 - Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où Le héron au long bec emmanché d'un long cou : Il côtoyait une rivière.
Página 326 - ... à la fois légal et canonique, et préserver ainsi les catholiques de France des graves complications qui les menacent. A coup sûr, rien ne nous préoccupe, rien ne nous tient dans...
Página 169 - ... les patronages qui exercent une protection bienfaisante sur les enfants des deux sexes, sur les adolescents et sur les hommes faits. Mais la première place appartient aux corporations ouvrières, qui en soi embrassent à peu près toutes les œuvres. Nos ancêtres éprouvèrent longtemps la bienfaisante influence de ces corporations; car, tandis que les artisans y trouvaient d'inappréciables avantages, les arts, ainsi qu'une foule de monuments le proclament, y puisaient un nouveau lustre et...
Página 13 - Du pain avec la liberté ! Oui, deux siècles ont fui ! La solitude vierge N'est plus là ! Du progrès le flot montant submerge Les vestiges derniers d'un passé qui finit. Où le désert dormait grandit la métropole; Et le fleuve asservi courbe sa large épaule Sous l'arche aux piles de granit ! \ Plus de forêts sans fin : la vapeur les sillonne...
Página 326 - ... les droits immuables du Pontife romain et des évêques, comme leur autorité sur les biens nécessaires à l'Eglise, particulièrement sur les édifices sacrés, seront irrévocablement, dans lesdites associations, en pleine sécurité : vouloir le contraire, Nous ne le pouvons pas sans trahir la sainteté de Notre charge, sans amener la perte de l'Eglise de France.

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