Mémoires pour servir a l'histoire du jacobinisme, Volumen4

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De l'imprimerie françoise, chez P. Le Boussonier, 1798
Barruel's conspiracy theory that the French Revolution was planned and executed by the secret societies of Bavarian illuminati and the Jacobins with the aim of overthrowing Christianity--or more to the point, any and all forms of political and social organization based on conformity to the moral teachings of the Roman Catholic Church.
 

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Página 445 - ... peux leur avoir fait. Je prie tous ceux qui ont de la charité d'unir leurs prières aux miennes , pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés. Je pardonne de bon cceur à tous ceux qui fe font fait...
Página 461 - La loi agraire ou le partage des campagnes fut le vœu instantané de quelques soldats sans principes, de quelques peuplades mues par leur instinct plutôt que par la raison. Nous tendons à quelque chose de plus sublime et de plus équitable, le bien commun ou la communauté des biens ! Plus de propriété individuelle des terres, la. terre n'est à personne. Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre : les fruits sont à tout le monde.
Página 120 - ... chambre, qui me dit d'une voix terrible : Ne mange pas tant ! A ces mots , ma vue s'obscurcit ; ensuite elle s'éclaircit peu à peu, et je me trouvai seul. La nuit suivante, le même homme, rayonnant de lumière , se présenta à moi et me dit : Je suis le Seigneur créateur et rédempteur...
Página 264 - ... par l'inspection des pièces déposées aux archives de l'électeur, avec ordre de n'en refuser à personne la vérification. Toute la ressource des conjurés fut de se récrier sur la prétendue violation du secret domestique. Ils inondèrent encore le public de leurs prétendues justifications ,• ils eurent l'impudence de vouloir qu'on ne vît dans leurs lettres que des projets formés pour le bonheur du genre humain , bien plus qu'une conspiration réellement ourdie et poursuivie par eux...
Página 493 - Lyon, s'y sont formé le plus secret, le plus monstrueux des collèges, et le tribunal le plus terrible aux rois. Celui qui avertit que leur tour est venu, qui nomme les bourreaux, et qui fait parvenir les poignards, ou les poisons.
Página 435 - C'était l'abolition do la royauté que j'avais en vue en faisant déclarer la guerre... Les hommes éclairés m'entendirent le 30 décembre 1791 , quand, répondant à Robespierre, qui me parlait toujours de trahisons à craindre, je lui disais : Je n'ai qu'une crainte, c'est que nous ne soyons point trahis. Nous avons besoin de trahisons; notre salut est là; car il existe encore de fortes doses de poison dans le sein de la France, et il faut de fortes explosions...
Página 445 - ... .de me pardonner le mal qu'ils croient que je peux leur avoir fait. Je prie tous ceux qui ont de la charité, d'unir leurs prières aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés.
Página 441 - ... généreux, d'une âme vraiment libre, trop forts pour céder aux petites suggestions du vil intérêt personnel; trop grands pour ne se considérer que dans le passage de cette vie. Ils appeloient la guerre, les républicains dignes de l'être. Ils osoient aspirer à la gloire solide, à l'immortel honneur de tuer la royauté même; de la tuer à jamais, d'abord en France, et puis dans l'univers. Tu poursuis (page 6) : S'1/s ont dans leur sein recueilli les fédérés.
Página 2 - France aux sophistes— mac""*' l'eu d'années avant la destruction des jésuites, il s'éleva, dans leur collège de Tulle, une de ces petites maçonneries dont les jeunes adeptes s'appeloicnt Chevaliers de «* pure vérité.
Página 437 - Août n'auroit paru aux yeux de l'Europe qu'une révolution de cannibales. Mais l'Europe crut au falut de la France, en voyant la fagefle préfider au fein de ces orages, & fubjuguer jufqu'à la foif du carnage.

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