| Louis René Villermé - 1840 - 466 páginas
...attribuer une aussi épouvantable destruction à la misère des parens , surtout des mères qui ne peuvent donner chaque jour le sein à leurs nourrissons que pendant le trop petit nombre d'heures qu'elles passent chez elles. Le reste du temps, ces nourrissons manquent de tous les soins , de toutes... | |
| Louis René Villermé - 1840 - 466 páginas
...attribuer uoe aussi épouvantable destruction à la misère des parens , surtout des mères qui ne peuvent donner chaque jour le sein à leurs nourrissons que pendant le trop petit nombre d'heures qu'elles passent chez elles. Le reste du temps, ces nourrissons manquent de tous les soins, de toutes... | |
| J. Arrivabene - 1843 - 570 páginas
...29 * » 26 2 Ainsi, les ouvriers des filatures et des tissages offraient la plus forte mortalité h toutes les époques de leur vie. Parmi eux, il y avait...Mulhouse. Il en résulterait encore le même fait, à savoir : que le tribut proportionnel payé à la mort est toujours en ' Extrait de tableaux comprenant... | |
| 1854 - 498 páginas
...malheureux portait plus particulièrement sur les premiers âges. En effet, tandis que la moitiédes enfants de fabricants, négociants, directeurs d'usines,...Mulhouse ; il en résulterait encore le même fait : à savoir, que le tribut proportionnel payé à la mort est toujours en raison directe des mauvaises conditions... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1855 - 500 páginas
...employés dans les manufactures de coton, de laine et de soie, tome second, p. 247-257, et 376-386. on ose à peine le croire , avant l'âge de deux ans...Mulhouse. Il en résulterait encore le même fait : à savoir , que le tribut proportionnel payé à la mort est toujours en raison directe des mauvaises... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1855 - 460 páginas
...celle des mères, qui ne pouvaient donner chaque jour le sein à leurs nourrissons que pendant là trop petit nombre d'heures passées chez elles. Le...ces nourrissons manquaient des soins et de toutes lei choses qui leur auraient été si nécessaires pour vivre. Je ne reproduirai pas ici les chiffres... | |
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