Par conséquent, en empruntant, l'État, bien que toujours souverain, ne fait pas un acte de souveraineté, qui impose l'obéissance, mais un acte de droit commun, par lequel il renonce implicitement à son privilège de souverain vis-à-vis de son créancier. Le droit financier international devant la Conférence de La Haye - Página 14 por August von Daehne van Varick - 1907 - 28 páginas Vista completa -
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