Revue scientifique, Volumen48,Parte2

Portada
Germer Bailliére, 1910
 

Contenido


Otras ediciones - Ver todas

Términos y frases comunes

Pasajes populares

Página 67 - Fausses applicationsqu'on en a faites au caractère des peuples et de leurs langages, à la vivacité de l'imagination, à la pluralité des femmes, à la servitude des Asiatiques. Vraies causes de ces effets. Nécessité d'avoir épuisé les causes morales avant d'avoir droit d'assurer quelque chose de l'influence physique des climats. De l'influence morale des climats par les objets qu'ils nous présentent. Différence de l'influence des climats d'avec les effets de la situation, qui sont la première...
Página 67 - ... la mer dans les tempêtes, et marchant toujours à sa perfection. — Dévoiler l'influence des causes générales et nécessaires, celles des causes particulières et des actions libres des grands hommes , et le rapport de tout cela à la constitution même de l'homme; montrer les ressorts et la mécanique des causes morales par leurs effets : voilà ce qu'est l'histoire aux yeux d'un philosophe.
Página 67 - Les premiers commencements des hommes ; la formation, le mélange des nations ; l'origine, les révolutions des gouvernements ; les progrès des langues, de la physique, de la morale, des mœurs, des sciences et des arts ; les révolutions qui ont fait succéder les empires aux empires, les nations aux nations, les religions aux religions ; le genre humain, toujours le même dans ses bouleversements, comme l'eau de la mer dans les tempêtes, et marchant toujours à sa perfection.
Página 235 - Il semble qu'une Providence tutélaire « éleva ces chaînes de montagnes , rapprocha ces « mers , traça et dirigea le cours de tant de fleuves , « pour faire un jour de la Gaule le lieu le plus flo...
Página 79 - Moyen de devenir riche, et la manière véritable par laquelle tous les hommes de la France pourront apprendre à multiplier et augmenter leurs...
Página 80 - ... du déluge, lors que les eaux surmontèrent les plus hautes montagnes, et comme les eaux couvroyent toute la terre, les poissons de la mer se dilatoyent par tout l'univers, et que la mer estant retirée en ses limites, elle laissa les poissons : et les poissons portans coquilles se sont réduits en pierre sans changer de forme. Voilà la sentence et l'opinion de monsieur Cardan.
Página 71 - Souvent le résultat de cette décomposition se termine à des mots absolument hors d'usage ; il ne faut pas perdre pour cela l'espérance de les éclaircir , sans recourir à une langue étrangère : la langue même dont on s'occupe s'est altérée avec le temps ; l'étude des révolutions qu'elle a essuyées fera voir dans les...
Página 273 - Les méthodes de désinfection contre les maladies contagieuses et les résultats obtenus dans les villes, les campagnes et les établissements où la désinfection des locaux habités est pratiquée. 25° Adduction des eaux dans les villes.
Página 80 - ... coquilles que la mer : comprenant en icelle les rivières, fontaines et ruisseaux. L'on voit aux estangs et ruisseaux plusieurs espèces de moules et autres poissons...
Página 73 - Des hommes grossiers ne font rien de simple ; il faut des hommes perfectionnés pour y arriver ; et une langue ne devient simple que lorsque les mots sont de purs signes; ce qui n'est pas dans l'origine où tout est métaphore , souvent forcée.

Información bibliográfica