Histoire du gouvernement parlementaire en France, 1814-1848, Volumen1

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Michel Lévy, frr̀es, 1857 - 588 páginas
(P. 349-354) Dans un chapitre sur l'état des partis en 1814-1815, analyse des similitudes et différences d'idées entre les royalistes du "Journal Général" et les constitutionnels. Constant et le "Censeur"; sa théorie de la responsabilité ministérielle dans ses "Réflexions sur les constitutions". L'auteur rapproche son opinion sur la monarchie constitutionnelle de celle de Tracy et de Lanjuinais.
 

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Página 297 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Página 42 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Página 297 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Página 346 - L'égalité consiste en ce que la loi est la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.
Página 298 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Página 498 - Consul à vie. 2. Une statue de la Paix, tenant d'une main le laurier de la victoire, et de l'autre le décret du Sénat, attestera à la postérité la reconnaissance de la nation. 3. Le Sénat portera au premier Consul l'expression de la confiance, de l'amour et de l'admiration du peuple français.
Página 233 - ... suspects de révolte contre la loi, et de mauvaises intentions contre la patrie, et, comme tels, plus particulièrement soumis et recommandés à la surveillance de toutes les autorités constituées.
Página 128 - Je sais bien qu'on ne couperait ni des maisons ni des clochers : mais on diviserait ce qui est encore plus inséparable; on trancherait tous les liens que resserrent, depuis si long-temps, les mœurs, les habitudes, les coutumes, les productions et le langage.
Página 435 - La constitution! elle est invoquée par toutes les factions, et elle a été violée par toutes; elle est méprisée par toutes; elle ne peut être pour nous un moyen de salut, parce qu'elle n'obtient plus le respect de personne.
Página 94 - S'il est une maxime impie et détestable, ce serait celle qui interdirait à l'Assemblée Nationale de déclarer au monarque que son peuple n'a point de confiance dans ses ministres. Cette opinion attaque à la fois et la nature des choses, et les droits essentiels du peuple, et la loi de la responsabilité des ministres, loi que nous sommes chargés de statuer ; loi plus...

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