Lettres archéologiques sur Marseille

Portada
Olive, 1844 - 461 páginas
 

Páginas seleccionadas

Contenido

Otras ediciones - Ver todas

Términos y frases comunes

Pasajes populares

Página 289 - Providence ; car on peut remonter le Rhône bien haut avec de grosses cargaisons qu'on transporte en divers endroits du pays , par le moyen d'autres fleuves navigables qu'il reçoit et qui peuvent également porter des bateaux pesamment chargés. Ces bateaux passent du Khône sur la Saône , et ensuite sur le Doubs , qui se décharge dans ce dernier fleuve.
Página 289 - ... cette contrée , c'est la parfaite correspondance qui règne entre ses divers cantons par les fleuves qui les arrosent et par les deux mers dans lesquelles ces derniers se déchargent ; correspondance qui , si l'on y fait attention, constitue en grande partie l'excellence de ce pays, par la grande facilité qu'elle donne aux habitants de communiquer les uns avec les autres , et de se procurer réciproquement tous les secours et toutes les choses nécessaires à la vie.
Página 145 - En un mot, ajoute-t-il, on pourrait, en voyant ces lieux, les nommer le trésor inépuisable de la nature, ou le dépôt toujours plein des richesses d'un souverain, car ce n'est pas seulement à sa surface que la terre étale ses métaux; elle en recèle dans ses entrailles une si grande quantité qu'on doit regarder ces régions souterraines, moins comme le séjour du dieu des enfers, que comme celui du dieu des richesses».
Página 219 - Perdona a l'alme ornai di luce prive: non dée guerra co' morti aver chi vive». Così dicea quel motto. Egli era intento de le brevi parole ai sensi occulti: fremere intanto udia continuo il vento tra le frondi del bosco e tra i virgulti, e trame un suon che flebile concento par d'umani sospiri e di singulti: e un non so che confuso instilla al core di pietà, di spavento e di dolore.
Página 232 - Augustin, plein d'admiration, s'écrie : « Varron a lu un si grand nombre de livres , qu'on est étonné comment il a pu trouver le temps d'en composer lui-même ; et il en a composé néanmoins un si grand nombre qu'à peine conçoit -on qu'un seul homme en ait pu lire autant.
Página 215 - Les autels, les arbres y dégoûtaient de sang humain; et, si l'on peut ajouter foi à la superstitieuse antiquité , les oiseaux n'osaient s'arrêter sur les rameaux de ce bois ténébreux , ni les bêtes féroces y chercher un repaire : la foudre évitait d'y tomber, et les vents craignaient d'en agiter les branches, Mais , sans leurs sifflements lugubres , la forêt porte son horreur avec elle. De ces noirs rochers découle une onde impure ; les tristes simulacres des dieux qu'on y adore, sont...
Página 276 - Soloéis , et fit route vers le sud. Mais, après avoir mis plusieurs mois à traverser une vaste étendue de mer, voyant qu'il lui en restait encore une plus grande, à parcourir, il retourna sur ses pas, et regagna l'Egypte. De là il se rendit à la cour de Xerxès. Il y raconta que, sur les côtes de la mer les plus éloignées qu'il eut parcourues, il avait vu de petits hommes, vêtus d'habits de palmier, qui avaient abandonné leurs villes pour s'enfuir dans les montagnes aussitôt qu'ils l'avaient...
Página 218 - Esce allor de la selva un suon repente / che par rimbombo di terren che treme, / e '1 mormorar de gli Austri in lui si sente / e 1 pianto d'onda che fra scogli geme. / Come rugge il leon, fischia il serpente, / come urla il lupo e come l'orso freme / v'odi, e v'odi le trombe, e v'odi il tuono: / tanti e sì fatti suoni esprime un suono.
Página 208 - C'est ce Paul , dont l'expérience Gourmande la mer et le vent ; Dont le bonheur et la vaillance Rendent formidable la France A tous les peuples du Levant. Ces vers...
Página 276 - ... à faire le tour de la Libye, jusqu'à ce qu'il parvînt au golfe Arabique. Xerxès lui ayant accordé sa grâce à cette condition...

Información bibliográfica