VOYAGES
Promenades africaines

Le Tanesrouft, désert dans le désert

La journée de repos de Zaouïet Reggane avait mis en forme et les voyageurs et la voiture qui, dûment revisée, approvisionnée, allait parcourir les treize cents kilomètres qui séparent Reggane du Niger.

Nous quittâmes Reggane vers quatre heures de l'aprèsmidi, à la chaleur décroissante. Nous avions à peine dépassé Taourirt, qui est l'extrême pointe de l'oasis, que le Tanesrouft s'ouvrait devant nous, tel qu'il alait être pendant plus de sept cents kilomètres.

Le compteur marquait soixante-dix et l'aiguille, fixée sur ce chiffre, n'allait plus bouger pendant des heures et des heures.

La piste avait une centaine de mètres de largeur. La fantaisie des conducteurs l'avait élargie. Aussi bien des milliers d'autos eussent pu marcher de front, à leur plus grande vitesse, sur ce billard. Le sol, absolument plat, est une terre rouge-brun, durcie par le soleil. Un semis de cailloux arrondis, à demi enfoncés, donne au sol une grande consistance.

Le soleil baisse rapidement à l'horizon et, sur notre gauche, à perte de vue, s'étend une croûte d'acier bleui qui fonce bientôt pour ne conserver que quelques reflets sourds.

Au ras de l'horizon plat, le soleil, gros jeton 'de cuivre rouge, sombre lentement, incendiant quelques minces nuages qui conserveront leur éclat quand déjà l'ombre recouvrira cette parfaite circonférence sur quoi nous roulons sans bruit.

Vers neuf heures, nous stoppons. Les lampes de l'appareil radio luisent doucement, le moteur ronronne et ce seul bruit donne toute sa valeur à un silence écrasant. Pour la première fois, l'impression de solitude pèse. Elle ne résiste pas au bon sommeil en plein air quand la brise fraîche commence sa chanson de toutes les nuits.

La journée qui suivit est sans histoire. Les heures ont

| passé lentement. L'oeil se fatiguait à contempler ces étendues toujours identiques. Devant l'auto, les mirages fuyaient. Des eaux, de beaux lacs immobiles peuplés d'îles frémissaient à l'horizon, jamais atteint, toujours plus bleu.

Le ciel n'était pas de cette belle teinte pure qu'on lui voit en Algérie, le sable en suspension dans l'air l'engrisaillait.

La large piste était jalonnée de bouteilles vides, enfoncées dans le sable et, tous les dix kilomètres, un bidon à essence vide marquait les distances. Tous les cinquante kilomètres, un bidon de 50 litres d'essence à gauche, un bidon enterré de 50 litres d'eau à droite, rendaient illusoire la crainte d'une panne. D'ailleurs, notre radio nous permettait de conserver un contact constant avec Reggane.

A midi, nous déjeunâmes à un point que les cartes de demain nommeront Bidon 5, car devant le bidon à essence timbré du n° 5, la tradition s'est établie de stopper au milieu du jour.

L'endroit est parfaitement désert. Autour de l'auto arrêtée, la terre est un cercle parfait d'un niveau égal et d'une égale teinte brune.

Mais l'homme a laissé sa trace sur ce coin foulé par les pieds, durci par les évolutions des voitures. Il y a tout d'abord un cimetière de bouteilles vides. Depuis trois mois que fonctionne le service, pas mal de voyageurs ont passé là, s'y sont rafraîchis. Toutes les marques de champagne, les grands vins de France ont là des vestiges. Toutes les fabriques de conserve trouvent là une réclame gratuite et, sur les débris de caisses, la fantaisie des touristes s'est donné libre cours.

On ne peut faire moins que les imiter, c'est-à-dire ajouter à la nécropole des flacons et noter les faibles étincelles que peut engendrer un cerveau, à midi, par 43° de chaleur. L'auto fait là son plein d'essence. Il y a, à deux mètres de profondeur, une citerne bétonnée qui contient deux mille litres de gazoline.

Les oiseaux ont senti la présence de l'eau. Des vautours emportés par le vent ont dérivé loin des puits. Egarés, ils ont volé vers ces bidons miroitants, espérant y trouver de quoi boire. Leur instinct les a conduits vers la citerne. Ils ont tenté avec leur bec et avec leurs griffes de crever l'enveloppe de fer. Ils l'ont égratignée. Vainement, ils se sont acharnés jusqu'au moment où, las et mourant de soif, ils se sont allongés sur le sable chaud. Il ne reste d'eux qu'un squelette, quelques longues plumes.

Ce ne sera pas le seul squelette de la journée. Vers la tombée du jour, nous avons aperçu, sur le bord de la piste, une tache blanche et bleue. La voiture s'est arrêtée. C'étaient des ossements, des os d'homme et de bêtes intimement mêlés, Les minces côtes de l'homme et les grands cerceaux du chameau, les fémurs, courts et longs, le crâne d'ivoire et la longue tête aux dents jaunes ne formaient qu'un seul tas d'os entouré de chiffons bleus, les débris du vêtement du chamelier.

On imagine aisément le drame, encore fréquent au Sahara, mais que l'auto rendra de plus en plus rare. Un nomade, pris dans la tempête de sable, a perdu son chemin

Trompé par des repères qui sont tous pareils, il s'est écarté à l'est de la ligne des puits. Après des journées de marche vers le sud, il est tombé, par hasard, sur la piste automobile. L'homme s'est cru sauvé. Il ne savait pas que cette piste passe en dehors de la route des puits. Il a continué de pousser sa bête tant qu'il a conservé quelque force. L'espoir le tenait. Il croyait fermement que l'un de ces bidons contiendrait enfin l'eau qui le sauverait. Il a marché des jours et des nuits, sans faim, mais la gorge sèche. Le terrible supplice de la soif l'a torturé, heure par heure plus douloureux. Il a senti venir la folie qui précède la mort. Alors, il a songé à ce qui se dit dans les campements de nomades: « Le chamelier perdu s'attachera, quand il n'aura plus 'd'espoir, à son chameau et, ayant mis toute sa confiance en Allah le très grand, il laissera aller la bête selon son instinct, et si Allah le veut, elle trouvera un puits. >

Avec sa longue corde de poil, il s'est noué par le milieu du corps à la selle de bois et, délirant, il s'est laissé mener par sa bête. Mais les puits étaient trop loin, la bête est morte de soif et, réunis l'une à l'autre, les deux créatures ont séché sous le soleil implacable.

La tempête de sable qui efface les traces est la grande terreur des caravaniers. Les meilleurs guides ne s'y reconnaissent plus et les files de chameaux errent, à la recherche 'du point d'eau qui les sauvera. Quand la caravane ne s'est point écartée de la bonne route, il arrive que l'instinct des hommes et celui des bêtes associés la remettent sur la piste. On voit alors arriver au puits des hommes hâves, épuisés, 'dont un seul verre d'eau absorbé incontinent causerait la mort. Il faut tout d'abord, avec des linges, réimprégner de liquide les tissus desséchés et n'ingurgiter que goutte à goutte la boisson qui n'est presque toujours qu'une eau croupie,

CHEMINS DE FER DE L'ETAT

Services automobiles S. A. T. O. S.

L'administration des Chemins de fer de l'Etat organise pour la première fois cette année, par l'intermédiaire de la Société auxiliaire de Transports de l'Ouest et du Sud-Ouest, différents services automobiles de correspondance, complétant et prolongeant la voie ferrée, en divers points de son réseau.

Les horaires de ces services, dont la plupart ont commencé au début du mois de juillet, ont été établis de manière à procurer aux voyageurs le plus de facilités possibles.

C'est ainsi que sur la côte de la Manche des automobiles rapides et confortables assurent, dès maintenant, des services quotidiens desservant entre Le Havre et Dieppe, toutes les plages du littoral jusqu'à présent dépourvues de tout moyen de transport régulier.

Sur la côte du Calvados,indépendamment des services reliant Honfleur à Trouville et Trouville à Cabourg, une liaison rapide par voiture automobile de luxe, entre Caen et Trouville, offre aux voyageurs venant de Cherbourg un moyen pratique et confortable de gagner les grandes plages normandes.

En Bretagne, divers services relient :

Lannion à Trébeuden, Morlaix à Primel-Trégastel, Brest à Porspoder, Landerneau à Morgat.

Enfin, un service touristique est organisé, chaque jour, entre Granville et le Mont Saint-Michel, et un programme extrêmement varié d'excursions autour de Bagnoles-de-l'Orne, offre aux baigneurs de cette charmante station thermale, la possibilité d'effectuer chaque jour de la semaine, une promenade différente.

Les renseignements particuliers à chacun de ces parcours (itinéraire, horaire, fréquence, tarif, etc.) peuvent être obtenus gratuitement dans toutes les gares du réseau de l'Etat et dans les bureaux des représentants de la S. A. T. O. S.

Pour chacun de ces services, les billets peuvent être pris à l'avance dans les gares et bureaux de renseignements du réseau de l'Etat, et donnent lieu, dans ce cas, à une réduction de 5 % en faveur des voyageurs.

CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON

ET A LA MEDITERRANEE.

Pour aller sur la côte d'Azur ou en revenir, les rapides 15 et 16 permettent aux voyageurs de partir à une heure commode de la soirée et d'arriver à destination pour déjeuner. Ces trains rapides comportent des places de lits-salon avec draps, de litssalon ordinaires, de couchettes, de première et deuxième classes. De plus un wagon-restaurant y circule entre Paris et Lyon et entre Marseille et Vintimille.

Train 15: départ de Paris à 17 h. 10. Arrivée à Marseille 6 h. 10, à Saint-Raphaël 9 h. 38, à Cannes 10 h. 09, à Nice 10 h. 55, à Menton 12 h. 10.

Train 16 départ de Menton à 17 h. 21, de Nice 18 h. 40, de Cannes 19 h. 25, de Saint-Raphaël 19 h. 57, de Marseille 23 h. 15. Arrivée à Paris 12 h. 10.

Quelle sera l'influence du film parlant sur l'avenir du sepe tième art? se demandent, les journalistes angoissés, est-ce l'annonce de la mort du cinéma tel que nous l'aimons aujourd'hui ? Est-ce au contraire la solution qui lui donnera un regain de vie. et assurera sa prospérité définitive ?

Tout ce bruit fait songer à une véritable petite émeute dans Cinémapolis. D'aucuns prétendent même : « C'est une révolution!» Voici qu'on nous prédit, au lieu des flots d'harmonie jaillis de l'orchestre et subtilement adaptés aux méandres du drame, la puissante voix des haut-parleurs accompagnant de leurs discours les gestes des acteurs : la face du monde cinématographique en serait changée.

En effet, en l'état actuel des choses, les principales beautés de l'art de l'écran sont venues précisément des recherches faites en vue de réduire la part du texte. On a tendance à diminuer le nombre des sous-titres et à rendre intelligibles par le seul jeu des images les scènes mimées sur la toile blanche. Ces efforts vont-ils avoir pour résultat la substitution au texte écrit d'un texte parlé ? Pauvre Chaplin qui n'aime pas qu'à l'écran les lèvres dessinent des paroles ! Il faut être prudent. On a dit que << l'art naissait dans la contrainte et mourait de la liberté ». La contrainte du cinéma, c'est d'être muet. Cette infirmité a fait sa grandeur. C'est elle le ferment de son activité, c'est à elle que nous devons les innombrables trouvailles techniques de ces dernières années, les plus originales prises de vues, la mobilité de la camera tous moyens tendant à confirmer la souveraineté des images animées. En recevant avec la parole une supplémentaire facilité d'expression, le cinéma risquerait de détendre son effort artistique. Il deviendrait une sorte de succédané du théâtre, sans ce qui en fait la valeur propre. On a même entendu dans la bouche d'un célèbre auteur dramatique les mots de << théâtre empaillé », sévères mais éloquents.

Il convient de noter toutefois que le film parlant semble devoir jouer un rôle utile dans un domaine bien déterminé de l'activité cinématographique: le documentaire. Il sera fort inté

ressant de fixer pour la postérité à la fois l'image et les discours d'un homme politique, par exemple, ou de conserver grâce au nouveau procédé la représentation exacte d'une pièce de théâtre interprétée par des artistes célèbres. Les comédiens trouveraient là une légitime compensation au caractère éphémère de leur art, et leurs successeurs un profitable enseignement.

Voilà, sans doute, le principal bénéfice qu'il y ait à espérer pour le moment du film parlant. On tire à tort argument, semblet-il, de la vogue dont il jouit aux Etats-Unis: la situation cinématographique n'est pas là-bas ce qu'elle est ici. Les Améri cains sont obligés, pour retenir le public dans les établissements dont ils ont exagérément multiplié le nombre ces dernières années, de recourir à de nombreuses attractions qui relèvent davantage du music-hall que du cinéma. Le film parlant ne paraît pas devoir être outre-Atlantique autre chose qu'une attraction de plus destinée à ranimer l'intérêt vacillant d'une clientèle qui se lasse des productions en série.

Espérons que l'Europe détient le vrai flambeau du septième art et qu'il lui appartient d'entretenir la pureté de sa flamme. Songe-t-on d'ailleurs aux difficultés que rencontrerait l'usage généralisé du film parlant ?

M. Lucien Wahl notait plaisamment à ce propos qu'un film comme la Danseuse Orchidée, par exemple, récemment projeté au Caméo, donnerait l'impression d'avoir été tourné dans un studio de Babel, avec ses artistes venus des quatre coins du monde. Il ne faut pas non plus oublier qu'aucun pays d'Europe ne peut amortir sur son propre territoire les dépenses engagées dans une production cinématographique (et le film parlant coûte encore plus cher que l'autre). Sauf l'Angleterre, lequel trouverait hors ses frontières un public suffisamment nombreux pour entendre ses artistes ? Dans le domaine des images, les << histoires sans paroles » ont l'immense avantage d'être comprises de toutes les races. Or, pour vivre, le cinéma doit être international. C'est sans doute ce qui laissera encore de beaux jours à l'art muet.

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LA BOURSE

Une certaine irrégularité s'est manifestée, au cours de cette semaine, sur tout l'ensemble de la cote; après une timide reprise, de nouveaux dégagements ont pesé sur la plupart des groupes.

Aux fonds d'Etats, les Rentes françaises, après un très bon début, n'ont pu maintenir leur avance. Parmi les fonds étrangers, les Ottomans sont bien traités, les Russes résistants.

La plupart des titres du groupe bancaire ne maintiennent pas leurs progrès antérieurs.

Dans le groupe des valeurs de transports, les titres de navigation se montrent soutenus. Par contre, les actions et obligations de nos grands réseaux s'alourdissent quelque peu.

Parmi les valeurs diverses, le groupe métallurgique demeure résistant; les charbonnages varient peu.

En Banque, les valeurs de pétrole ont accentué leurs progrès.

On note une bonne résistance de tout le groupe sud-africain.

CHEMINS DE FER D'ALSACE ET DE LORRAINE L'Agence Saint-Augustin des Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine, 2, avenue Portalis à Paris, délivre, aux personnes désirant villégiaturer en Alsace, en Lorraine, en Luxembourg, ou excursionner dans ces régions si pittoresques des cartes spéciales d'excursion de toutes classes permettant la libre circulation dans une zone déterminée.

Ces cartes, qui sont de deux types: cartes individuelles et cartes de famille (ces dernières ne concernent que les membres d'une même famille) ont une validité de 30 jours prolongeable et sont remises à des prix très avantageux (les cartes de famille comportent, en outre, des réductions de prix à partir de la deuxième personne).

D'autre part, des billets d'aller et retour spéciaux à prix réduit ayant la même validité sont délivrés conjointement avec les cartes dont il s'agit afin de permettre à leur détenteur de rejoindre une des gares d'accès située sur le périmètre de la zone choisie et d'effectuer leur retour soit au départ de cette même gare, soit au départ d'une autre gare d'accès. →

Pour tous renseignements et obtention de ces nouvelles facilités, s'adresser à l'Agence Saint-Augustin, 2, avenue Portalis, à Paris. Téléphone : Laborde 70-63.

CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON

ET A LA MEDITERRANEE

Circuits d'autocars P.-L.-M. au départ de Chamonix Deux circuits quotidiens d'autocars P.-L.-M. au départ de Chamonix permettent de visiter, l'un, la région du Mont Blanc, l'autre, le Valais.

Le tour du Mont Blanc s'effectue en deux étapes: la première comporte au-delà de Combloux, la traversée des gorges de l'Arly et du col du Petit-St-Bernard, déjeuner à Bridesles-Bains, en Tarentaise; dîner et coucher à Courmayeur. Le lendemain, les cars s'acheminent à travers la vallée d'Aoste, vers le col du Grand St-Bernard, où a lieu le déjeuner dans un site merveilleux.

Par Martigny et les lacets de la Forclaz, on atteint dans l'après-midi, le Gouffre de la Tête Noire, puis Vallorcine, Argentière et enfin Chamonix.

Le circuit du Valais passe par Argentière, le col des Montets, Vallorcine, le Châtelard, le col de la Forclaz, Martigny,

Evian-les-Bains, où un arrêt est prévu pour le déjeuner. D'Evian, retour à Chamonix par Thonon, le col des Gêts, Cluses, Sallanches et Le Fayet.

CHEMINS DE FER D'ALSACE ET DE LORRAINE

Toujours soucieuse de faciliter le déplacement des nombreux voyageurs qui se rendent dans les régions desservies par son réseau, l'Administration des Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine vient e prendre une heureuse initiative en ouvrant une Agence en plein centre de Paris, 2, avenue Portalis, sur le pourtour de la place Saint-Augustin.

Amis de la poétique campagne lorraine, chère à Maurice Barrès et à François de Curel, touristes attirés par la ligne bleue des Vosges, pélerins de la Montagne sacrée de SainteOdile, hommes d'affaires appelés dans les grandes cités bourdonnantes de nos provinces de l'Est, tous sont certains de trouver, dans le cadre d'un modernisme sobre et élégant de la nouvelle Agence, un accueil parfait et tous les renseignements touristiques qui peuvent être désirés sur ces magnifiques régions.

Des billets de toute nature pour l'Alsace, la Lorraine et le Grand Duché de Luxembourg sont délivrés par l'Agence, au départ de Paris. L'Agence se charge également de réserver les places dans les trains ainsi que dans les auto-cars du réseau qui sillonnent la Route des Vosges, la plaine d'Alsace et la campagne messine.

CHEMINS DE FER

DE PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE Abaissement du prix des suppléments de places de couchettes L'impôt perçu sur les places de couchettes étant ramené de 65 % à 32,5 %, il en résulte un abaissement du prix des couchettes. C'est ainsi que le prix d'une place de couchette de Paris à Vichy est maintenant de 42 fr. 35 au lieu de 52 fr. 75 auparavant.

L'EUROPE CENTRALE

REVUE DE LA SEMAINE

Paraissant à Prague (Tchécoslovaquie) Politique, économique, littéraire et artistique L'organe le plus utile pour toutes les questions intéressant les pays de l'Europe centrale

8 pages sur papier de luxe avec couverture illustrée et de nombreuses illustrations dans le texte

Rédacteur en chef: G. MAROT

Principaux collaborateurs : MM. Francis Baumal, André Billy, Jules Chopin, Robert Dieudonné, Marcel Dunan, F. Dominois, Louis Eisenmann, D. Essertier, A. Fichelle, Etienne Fournol, Auguste Gauvain, H. Jelinek, Marya Kasterska, J. Kurnatowski, Jules Legras, Junía Letty, Albert Mousset, B. Munteano, Maurice Muret, J.-O. Novotny, André Pierre, Miroslav Rutte, S. Serbesco, Casimir Smogorzewski, B. Vomacka, Richard Weiner, Gustave Winter, F. Zakavec, etc.

Rédaction et administration : Avenue du Maréchal-Foch, 62 PRAGUE-XII (Tchécoslovaquie)

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