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Tous les grands champions gagnent les courses les plus dures sur des DUNLOP à tringles; Seegrave et Campbell dépassent de beaucoup le 300 à l'heure, sur des DUNLOP à tringles; fidèle à mon principe « qui peut le plus peut le moins », e re rouleral plus, simple touriste, que sur pneus DUNLOP à tringles, sur janfe base crense.

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P

AR un autre biais que le nôtre, M. Régis Gignoux dans la Journée Industrielle vient de montrer la nécessité et l'urgence de la réforme administrative. M. Gignoux rapproche deux faits incontestables. Primo: Tous les fonctionnaires ne jouissent pas encore d'une augmentation de traitement proportionnelle à la dévalorisation de la monnaie. Un assez grand nombre d'entre eux ne sont pas payés sur la base du coefficient 5. Il ne faut pas s'étonner s'ils le réclament. Il ne faudra pas s'indigner s'ils l'obtiennent.

Secundo: Cependant la masse totale des traitements est passée de 1.343 millions en 1914 à 9.124 millions en 1927. Elle approchera en 1928 de 10 milliards et, par conséquent |

du coefficient 7,5 en attendant mieux.

D'où il ressort que les frais généraux d'administration de l'Etat se sont accrus d'une manière considérable. 10 milliards de francs d'aujourd'hui équivalant à 2 milliards de francs-or, le contribuable actuel paye 50 0/0 de plus que le contribuable d'avant guerre pour le traitement des fonctionnaires !

On voit donc que la réforme administrative réalisée sur le plan territorial n'a procuré aucune économie sérieuse. Elle est loin d'avoir compensé l'excédent de dépense résultant, sans doute, de la création d'organismes et d'emplois nouveaux. Le contribuable n'y a rien gagné. Et j'ose ajouter : l'Etat pas davantage.

Car plus l'Etat se disperse, s'égaille et plus il s'affaiblit. Mais dans le même temps plus il devient onéreux au citoyen.

Lorsqu'on s'avise que sur 45 milliards d'impôts plus de 35 milliards sont absorbés par les arrérages de la rente, les pensions ou les traitements, on se rend compte des difficultés que réserve l'avenir au ministre des Finances si le Président du Conseil ne réalise pas un jour la réforme de l'Etat, de ses attributs et de ses méthodes.

M. C.

OZO

ECE QU'ON DITE

Qui présida?

Lundi soir un dîner fut offert par le ministère des Affaires étrangères à une délégation de la Confédération internationale des Etudiants.

<< M. Cavalier, directeur de l'Enseignement supérieur, présidait», écrit le Quotidien, cependant qu'Excelsior affirme « M. Paul-Boncour présidait le dîner. »

Quant au Petit Journal il s'en tire de la manière que voici « Le soir, un banquet réunissait les délégués au ministère des Affaires étrangères, sous la présidence de M. Cavalier. A l'issue de ce banquet, M. Moy, M. Bagnall, et enfin M. Cavalier prirent successivement la parole. M. Paul Boncour présidait le dîner. »

Que s'est-il passé à ce dîner pour que tant de confusion règne chez les reporters qui y furent conviés ?

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M. Baldwin, actuellement à Aix, a eu récemment l'oc-. casion d'exprimer son opinion sur M. Lloyd George : << C'est l'orateur le plus doué de notre pays », a-t-il déclaré avec conviction.

Il y a un demi-siècle Disraeli, ministre conservateur comme M. Baldwin, interrogé sur son adversaire politique Gladstone, répondait :

C'est un rhéteur, un sophiste, il est grisé par l'exubérance de ses paroles. Il est doué d'une imagination qui lui fournit, en tous temps une série interminable d'arguments inconsistants qui lui permettent de se glorifier et de ridiculiser ceux qui ne sont pas avec lui.

Et l'on vante sans cesse la courtoisie des mœurs parlementaires d'antan !

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Un chauffeur de taxi s'est amusé à faire une petite expérience qui ne manque pas d'originalité il s'agissait d'établir un pourcentage des clients honnêtes.

Il fit l'acquisition d'une paire de chaussures, les chaussa sur l'heure et enveloppa dans un beau papier ses souliers hors d'usage. Ce paquet, il le plaça bien en vue sur la banquette de sa voiture. Le manège des voyageurs était intéressant à observer: ils portaient immédiatement la main sur le colis qu'ils supposaient avoir été oublié par un autre, le palpaient, le prenaient, le laissaient ; et la plupart succombaient à la tentation.

A l'arrêt, le chauffeur-philosophe rétablissait les faits. Sur 31 clients, 17 prirent le colis sous le bras avec autorité pour l'emporter; 11 avertirent le chauffeur qu'un paquet oublié se trouvait dans la voiture et 3 partirent

bouche close et les mains vides.

Autre constatation: sur les 17 voleurs, 13 s'excusèrent et maudirent leur étourderie; 2 se fâchèrent en protes. tant de leur scrupuleuse probité: il fallut leur arracher l'objet des doigts.

Un déjeuner chez Nodier.

Lamartine ayant critiqué de haut Henri HI et sa cour dont le succès l'agaçait. Alexandre Dumas alla s'en plaindre à Victor Hugo qui lui répondit d'un petit air pincé, puis à Charles Nodier:

Bon! dit celui-ci. Viens déjeuner après-demain. Tu trouveras ici Hugo et Lamartine et tout s'arrangera.

Nodier invita aussitôt les deux poètes, et il jeta à la poste un pli dont la suscription, de la main d'un commis de la bibliothèque de l'Arsenal, était simplement: Au plus grand poète du siècle.

Le facteur porta la lettre tout droit à Victor Hugo, qui sourit, se fendit d'un large pourboire et dit : « Remettez ce pli à M. de Lamartine. »

Chez Lamartine, même jeu. La lettre étant revenue à

La ville de Paris organise-t-elle l'embouteillage ?

Oui, dit M. Louis Rollin, député de Paris, dans le rapport où il demande la suppression des octrois. Il constate en effet que l'octroi est le prineipal obstacle au dévelop pement de la capitale, puisqu'il entrave le prolongement en banlieue des trams, des autobus et du métro. N'est-ce pas aussi, au nom de l'octroi, qu'on distribue aux automobilistes les fameux bulletins verts (sans contrôle et par conséquent sans résultats)?

<< N'est-il pas dérisoire, dit M. Louis Rollin, que de savantes commissions étudient sur place et même l'étranger, s'il vous plaît, les moyens les meilleurs d'amé. liorer la circulation dans Paris et que, dans le même moment, à toutes les portes de Paris, l'arrêt de la circulation soit systématiquement organisé ? »

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