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Nous avons quitté le camp de Colomb-Béchar, bien avant l'aube, L'auto roule sans bruit dans la plaine, encadrant du rayon de ses deux phares la piste jalonnée à droite et à gauche par de petits tas de cailloux blanchis à la chaux.

Par instants tombent quelques gouttes de pluie, car les perturbations atmosphériques de l'hiver dernier ont des conséquences jusqu'au Sahara. Les indigènes des palmeraies ne se lassent pas de remercier Allah qui leur dispense cette année, en abondance, la pluie bienfaisante.

L'oued Béchar, torrent à sec les trois quarts de l'année; roule bruyamment des flots boueux. L'auto le traverse à gué dans un grand jaillissement d'eau que la lumière des phares irise. Puis, pendant une heure encore, c'est le voyage dans l'ombre. Mais à l'est, déjà le ciel s'éclaire par transparence. Le soleil va se lever. Mais, ce ne sera point l'astre éblouissant qui illuminera soudain le désert. Lentement, voilé par des nuages, le disque rougeâtre émerge éclairant pauvrement une étendue grise où le vent de l'aube fait frémir de pauvres herbes sèches. Le paysage, bien plus qu'à l'Afrique, fait songer aux mornes plaines du Nord.

Il fait presque froid. Nous roulons bon train. Sur la piste marquée par les traces des roues qui s'entrecroisent et se recoupent, nous tenons le 50 à l'heure. Pas une secousse, le sol est souple et ferme. Dans les fonds où l'eau de la nuit s'est amassée, les roues hésitent, pataugent. Il faut parfois descendre, couper les branches épineuses des gommiers pour faire à la voiture un tablier sur quoi les pneus puissent adhérer.

-

Devant un petit village -trois gourbis, maisons de terre au toit de chaume groupé autour de hauts palmiers, nous stoppons pour le petit déjeuner. Le chef de famille est aussitôt sorti de sa case. Il salue de la main levée à la hauteur des yeux. Sur son foyer, bientôt le café bout. Nous lui achetons des dattes fraîches, des œufs et du lait, un lait❘ gras et aromatisé par toutes les plantes parfumées du désert.

Insensiblement, la chaleur est venue. Il est à peine neuf heures et, dans le ciel nuageux, le soleil luit sourdement, sévère pour les yeux. C'est le moment de quitter les amples burnous de laine, les couvertures que la température de la nuit rendait indispensables. Presque sans transition, le thermomètre a passé de 0 à 20 degrés. Le moteur dégage déjà cette odeur tenace et douceâtre d'huile échauffée qui sera la base de toutes nos sensations olfactives pendant ce voyage,

Le décor est immuable. Au loin, sur la gauche, les palmeraies profilent, sur l'horizon bleu-gris, les silhouettes des arbres au fût mince couronné par les bouquets de palmes. Des maisons basses et carrées, uniformément peintes en blanc cru, s'alignent au bord du lit trop large d'une rivière dont le mince filet d'eau miroite.

Des dunes lointaines, au dessin arrondi comme un sein, dorées par le soleil, se suivent et se recoupent.

Devant nous, c'est la large vallée de la Gaoura, lit immense d'un fleuve qui, il y a des siècles, l'emplissait d'un flot puissant.

Sur notre droite, des contreforts rocheux, rongés par l'érosion, dressent de hauts blocs réguliers d'une même teinte d'acier.

Le sol est rougeâtre, semé de cailloux blancs. Dans des cuvettes où croît une herbe rare, le sel en cristaux étincelle.

Les rencontres sont rares sur la piste du sud. Voici un âne chargé d'un gros sac. Un arabe à pied le pousse de son bâton. C'est le courrier des postes militaires. Autrefois, il était transporté par chameau. Mais, le chameau a toujours tenté les pillards réfugiés plus au nord, dans les montagnes du sud-marocain. Groupés en bandes armées qu'on appelle rezzou, ils n'hésitaient pas à parcourir des centaines de kilomètres pour couper la route du courrier et s'emparer du chameau du convoyeur. Maintenant, l'âne ne les intéresse pas. Il ne mérite pas le déplacement. Aussi le cour rier arrive-t-il sans encombre, mais non sans retard.

De Colomb-Béchar, terminus du rail, à Beni-Abbès, premier poste militaire du Sahara dans cette région, il y a deux cents kilomètres. Il y en a quatre cents jusqu'à Timoudi, sept cents jusqu'à Adrar, dernier poste de la région des palmeraies. C'est donc quinze ou vingt jours de route pour le brave indigène qui, poussant sa bonne bête, va d'un pas égal, ne s'arrêtant que quelques minutes pour son frugal repas, quelques heures pour le repos nocturne.

Deuxième rencontre : plus moderne celle-là. C'est une camionnette de l'armée, pourvue de chenilles, qui assure le ravitaillement du poste d'Igli où nous arrêterons pour déjeuner.

Le poste est déjà visible. Construit sur un éperon rocheux, il domine la plaine de sa masse régulière, long rectangle bastionné aux extrémités, sur quoi flotte très haut le pavillon tricolore.

Sous sa protection, un village prospère, habité par des sédentaires qui, avant notre arrivée, étaient régulièrement pillés par les nomades. Ces indigènes, noirs pour la plupart, et, descendant des esclaves harratius, peuplent la plupart des oasis. Ils sont d'excellents agriculteurs, experts en irri-gation. Car l'eau joue là le premier rôle. Elle vient de très loin, rassemblée sur de vastes espaces par des canalisations souterraines qui la recueillent par suintement, la conduisant à un puits de distribution où un appareil primitif, mais précis la répartit aux divers propriétaires, selon des droits qui se transmettent en héritage,

(A suivre.)

G. R. MANUE.

GASTRONOMIE Figures de gourmets : hier

S'ils se rencontraient en ces jardins à la Maeterlinck où fleurissent les Dialogues des Morts, Laurent Tailhade et J.-K. Huysmans qui ne pouvaient se souffrir-se réconcilieraient dans la joie sarcastique et pimentée de se voir, après leur mort, tant d'amis ignorés de leur vivant.

C'est que dans leur zèle, intempestif un peu, ces amis prêtent ou enlèvent - à celui qu'ils prennent un peu tard pour idole, défauts ou qualités qu'il eût été bien en peine d'avoir.

J'ai beaucoup connu Joris-Karl Huysmans et toute une correspondance bien curieuse prouve en quelle cordiale intimité nous étions, lui déjà si catholique et moi jeune parpaillot que les curés de Basse-Bretagne appelaient << ar Diaoul ».

J'ai, de même, beaucoup fréquenté Laurent Tailhade, cet admirable écrivain qui, avec Saint-Pol Roux le Magnifique, a tant et si heureusement -influencé la jeunesse littéraire de la dernière décade du XIXe siècle, de Romain Rolland à Paul Valéry.

Or, nos pseudo-gourmets s'essayant à chuinter de la bouche comme le gros homme de l'enseigne Corcellet, afin de faire croire qu'ils « s'y connaissent » parlent de Huysmans comme du gourmet ineffable et ils ignorent que Tailhade était, lui, plus que gourmet, un véritable gastro

nome.

Maintes fois, j'ai dîné avec Huysmans en tête à tête le plus souvent soit au restaurant, soit chez moi, jamais chez lui mais une fois chez le comte Antoine de la Rochefoucauld, alors qu'avec Jules Bois et Charles Couyba (alors le chansonnier Maurice Boukay), nous complétâmes le maigre dîner pompeux par une choucroute à la brasserie. Aussi souvent, j'ai déjeuné avec Laurent Tailhade; soit au restaurant, soit chez son grand ami Armand Silvestre dans le clair logis de l'exquise Mme J. Lemaître, avenue Mac-Mahon.

Et comme le jeune enthousiasme de ma gastronomie familiale les amusait beaucoup, j'en parlais librement avec eux et avec Catulle Mendès aussi et je sus tout ce qu'ils pensaient de ce qui n'était pas encore le Neuvième Art.

Huysmans en discourait à tout bout de champ, Tailhade très rarement. Celui-ci avait en critique gustative une sûreté de jugement admirable et une éloquence concise qui subjuguait; celui-là se trompait magistralement avec des candeurs et des soumissions charmantes de néophyte. Tailhade aimait la précision romane dans les menus, appelant un lapin un lapin et une « noisette d'agneau vert-pré » ce que M. Paul Reboux, de la bizarre Académie dite des Gastro

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Huysmans, quelque peu influencé par l'anglomanie de Paul Bourget, croyait à la cuisine anglaise et en dissertait assez volontiers. Mais son expérience n'allait pas au delà du Grill de la rue Auber et de la Taverne anglaise de la rue d'Amsterdam, deux bar-restaurants (depuis longtemps disparus) authentiquement anglais où la cuisine anglaise était faite par... un chef français. De son atavisme batave, Huysmans gardait le culte de la plastique, donc des intérieurs et des victuailles s'affirmant en motifs nettement colorés ; c'est pourquoi l'étalage britannique - alors tout nouveau des belles pièces de viande .des poissons, des crustacés, des gibiers ponctués par les tomates et les citrons, ceints de parenthèses en céleris et en rhubarbes, soulignés de persil et de menthe, ces étalages l'enchantaient. Quant à la gastronomie pure, l'abus qu'il faisait joyeusement de la moutarde, du cayenne, des pickles, des piccalilli, des worcester, catsup, mushrooms, chutneys et autres sauces terrifiantes, cet abus lui permettait des apophtegmes ressemblant fort à des hérésies qu'il me laissait d'ailleurs combattre énergiquement en faveur des aperçus que je lui donnais sur la vraie cuisine anglaise.

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Tout art, tout métier a son jargon spécial, fait tantôt de mots neufs, forgés à mesure des besoins, et tantôt empruntant au vocabulaire de quelque aîné.

En ce qui concerne le cinéma, la racine « ciné » a servi à former << cinéaste », « cinéphile », etc. ; d' << écran »>, on a tiré « écraniste »; bref, on a conçu une foule de néologismes, qui, si on les analyse d'un peu près, ne signifient pas toujours grand'chose, et qui, parfois, sentent la pédanterie et la prétention d'une lieue.

Il est vrai que l'usage populaire a contribué aussi à résoudre la question, et si quelqu'un parle tout simplement d'aller au << ciné », tout le monde comprend ce que cela veut dire, bien que du point de vue de l'étymologie, le mot soit amputé d'un membre important.

D'autre part, le cinéma a reçu quelques éléments tout faits du vocabulaire de théâtre. Là, le danger est que, sous prétexte d'identité de termes, on fasse passer de l'un à l'autre, sans les assouplir, certaines définitions.

Pour avoir des traits communs, les fonctions de metteur en scène, par exemple, ne sont pas les mêmes au théâtre et au cinéma. L'expression logique serait chez celui-ci <<metteur à l'écran », mais elle n'est pas employée, au contraire du tour: << mettre à l'écran un scénario, un roman ». De plus en plus, le metteur en scène cinématographique prend le nom particulier de << réalisateur ».

De même, entre les acteurs de théâtre et de cinéma, il existe de profondes différences. On a pu lire sous la plume d'un de nos plus gracieux jeunes premiers qu'à son sens le vocable ne

saurait désigner convenablement que le cinématographique. Voilà l'autre promptement exécuté. On peut aimer l'écran sans tomber dans cet excès. Le comédien ne serait, selon lui, qu'une manière de phonographe à forme humaine, chargé de répéter comme une leçon apprise le texte élaboré par le dramaturge. Une telle proposition chancelle sur sa base. Trop, et trop de comédiens illustres ont monté quelle pouvait être l'influence de leur personnalité sur l'interprétation d'un rôle, quelle part d'initiative ils y apportaient, qui faisait dire qu'ils « créaient » leur personnage.

Il semble même que le riche passé du théâtre lui mérite en quelque sorte l'exclusivité du mot << acteur »>, tant de fois employé à son propos. A l'écran, on emploie plus volontiers le terme très général, et compris dans la plupart des langues, d'artiste », qui a l'avantage d'être simple, mais qui manque de précision et n'est pas spécial au septième art. Il est vrai qu'il s'adresse à des << stars >>, à des « vedettes », etc., qui établissent la hiérarchie de ses applications.

En tous cas, même si, pour désigner l'artiste de la scène et celui de l'écran, on recourt à des expressions semblables, il est à remarquer qu'elles n'ont pas tout à fait le même sens suivant qu'elles s'appliquent à l'un ou à l'autre, et qu'elles définissent les serviteurs de deux arts bien distincts. Car, encore une fois, le cinéma n'est pas une nouvelle sorte de théâtre. Si la chose est admise aujourd'hui, elle ne l'a pas toujours été, et l'on pourrait reprendre le mot récent d'un académicien qui, à un autre propos parlait de « théâtre empaillé ». Pour dégager sa vraie personnalité, le cinéma a dû choisir délibérément une voie nouvelle.

On a accusé parfois les transfuges de la scène de ne pas abandonner à l'écran leurs méthodes habituelles. On disait que l'école du théâtre était un sérieux obstacle pour l'artiste que tentait la carrière cinématographique. Si la mimique, à la scène et surtout à l'écran a une grande importance, les artistes de l'un et de l'autre disposent en outre de moyens d'expression essentiellement différents : la parole, pour ceux de la scène, et, pour les autres, une liberté presque sans restriction de mouvement, due à la mobilité de la prise de vues.

Mais on peut conclure de là qu'il y ait une rigoureuse impossibilité pour les artistes de théâtre à paraître avec succès à l'écran. On a certes vu des talents assez peu souples pour ne pas tenir compte des nécessités spéciales du septième art, et hors d'état de s'y conformer. Mais l'expérience n'a-t-elle pas montré à foison des exemples d'artistes également remarquables sur les planches et sur la toile ? Bon nombre des grandes vedettes de l'écran, à quelque pays qu'elles appartiennent, ont passé par les tréteaux. En France, on ne voit pas Blanchar, par exemple, inférieur à sa double tâche : témoin La Valse de l'Adieu et Le Secret. Mlle Falconetti se signale par d'intéressantes créations sur le boulevard et dans La Passion de Jeanne d'Arc. Enfin, des films nous ont montré des artistes de la Comédie-Française

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qui se tiraient à leur honneur des difficultés particulières du cinéma, par exemple Mme Huguette ex-Duflos, dans un film Aubert L'Homme à l'Hispano, ou plus récemment M. Maurice de Féraudy, très émouvant dans un autre film Aubert, tiré du roman de Mme Marcelle Vioux, par Marcel Vandal : Fleur d'Amour. Aimé Simon-Girard, qui interprète la transposition cinégraphique des Transatlantiques, d'Abel Hermant, est aussi à l'aise à l'écran qu'à la scène, de même que Jim - Gérald ou Marcel Vallée. De même encore le bon comique populaire Tramel, l'animateur du Mystère de la Tour Eiffel et du Sous-Marin de Cristal, deux amusantes productions Aubert. Et Armand Bernard, l'inoubliable Planchet des Trois Mousquetaires, qui composa une cocasse silhouette de précepteur dans Education de Prince, un film Aubert où paraissait Edna Purviance, la partenaire de Chaplin, fut, avant d'aborder le cinéma, premier prix de tragédie du Conservatoire, et fit un stage d'un an au Théâtre-Français.

Les exemples, on le voit, ne font pas défaut. Il semble donc que la pratique de la scène ne soit pas incompatible avec le jeu de l'écran. C'est simplement, pour ceux qui, possédant la première, s'essaient au second, une question d'intelligence et de souplesse artistiques. JACQUES ANTONY.

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L'assemblée ordinaire annuelle a eu lieu le 30 juin sous la présidence de M. le général Duval. Elle a approuvé les comptes de l'exercice 1927 qui accusent, après déduction des amortissements, un bénéfice net de 1.351.503 fr. 47. Cette somme a été répartie comme suit: 5 % à la réserve légale : 67.575 fr. 17; intérêts à 7 % pour les actions privilégiées : 560.000 francs. Le solde. soit 723.928 fr. 30 a été reporté à nouveau. Le total des reports se chiffre ainsi par 6.400.424 fr. 95. Au cours de l'exercice écoulé. la Société a consacré tous ses soins aux différents départements de son activité industrielle et, en particulier, à celui de la branche aéronautique. Elle peut déjà apprécier, dit le rapport, par la progression sensible des commandes françaises et étrangères, la faveur dont jouissent ses moteurs d'aviation, faveur qu'elle s'efforce d'accroître par les améliorations qu'elle poursuit sans relâche.

La situation financière de la Société est, à l'heure actuelle, complètement saine, ce qui va permettre à celle-ci de se procurer avant peu, par une augmentation de capital, les fonds qui ui sont nécessaires pour le développement de ses opérations. L'assemblée a nommé administrateur M. E. Vuillaume et renouselé le mandat de M. Ansot, administrateur sortant.

BELLE SITUATION
dans important

TISSAGE LAINE et COTON

(spécialité de grande vente)

par reprise participation
administrateur

Il faut disposer de 500.000 francs environ.

Pour renseignements, s'adresser :

BANQUE PETITJEAN, 12, rue MONTMARTRE, PARIS.

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arr.

IMMEUBLE

à PARIS

15 RUE CARRIER-BELLEUSE, 12 ct CAMBRONNE,

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13, à l'angle

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Par la route de Delle et du Loetschberg Berne à 16 h. 08, Pallanza à 21 h. 30, Arona à 22 h. 05, Milan à 23 h. 25. Wagon-restaurant Paris-Bâle. Voitures directes toutes classes Paris-Vienne, première et deuxième classes Paris-Bucarest, première et deuxième classes Paris-Milan par le Loetschberg.

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REVUE DE LA SEMAINE Paraissant à Prague (Tchécoslovaquie) Politique, économique, littéraire et artistique L'organe le plus utile pour toutes les questions intéressant les pays de l'Europe centrale

pages sur papier de luxe avec couverture illustrée et de nombreuses illustrations dans le texte Rédacteur en chef: G. MAROT

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MM. Francis Baumal, André Billy, Jules Chopin, Robert Dieudonné, Marcel Dunan, F. Dominois, Louis Eisenmann, D. Essertier, A. Fichelle, Etienne Fournol, Auguste Gauvain, H. Jelinek, Marya Kasterska, J. Kurnatowski, Jules Legras, Junia Letty, Albert Mousset, B. Munteano, Maurice Muret, J.-O. Novotny, André Pierre, Miroslav Rutte, S. Serbesco, Casimir Smogorzewski, B. Vomacka, Richard Weiner, Gustave Winter, F. Zakavec, etc.

Redaction et administration: Avenue du Maréchal-Foch, 62 PRAGUE-XII (Tchécoslovaquie)

CONDITIONS D'ABONNEMENT POUR LA FRANCE:

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