Quand je songe aux malheurs de notre destinée. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du... Fables - Página 69por Jean Pierre Claris de Florian - 1819 - 148 páginasVista completa - Acerca de este libro
| 1804 - 266 páginas
...coups , et souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans. Leurs confrères les loups dévorent ce qui restt. Victimes de ces inhumains, Travailler... | |
| Parnassus - 1816 - 282 páginas
...prix de ton zèle, Des coups, et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Moi qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans : Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains, Travailler... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1819 - 456 páginas
..., éî souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille , Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs . Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains , Travailler... | |
| Florian - 1820 - 540 páginas
...Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma..., Travailler pour eux seuls , et mourir par leurs main* , Voilà notre destin funeste ! II est vrai , dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs... | |
| Florian - 1827 - 234 páginas
...coups et souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille , Qui lin- donne du lait , et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces médians. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes du ces inhumains , Travailler... | |
| William Bentley Fowle - 1832 - 296 páginas
...coups, et souvent le trépas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma...mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma sœur,... | |
| William Bentley Fowle - 1833 - 300 páginas
...coups, et souvent le trépas. Moi, qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma...mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma sœur,... | |
| 1838 - 304 páginas
...qui fume leurs champs , Je vois chaque matin quelqu' un de ma famille Assassiné par ces médians. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste....mourir par leurs mains , Voilà notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien: mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère? Va, ma sœur,... | |
| Prosper Poitevin - 1841 - 778 páginas
...ma famille Assassiné par ces méchans. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victime de ces inhumains , Travailler pour eux seuls , et mourir par leurs mains, Voilà notre deslin funeste! — 11 est vrai , dit le chien : mais crois-lu plus heureux Les auteurs de notre misère... | |
| Prosper Poitevin - 1841 - 774 páginas
...coups et souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs , Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victime de ces inhumains , Travailler... | |
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