FablesLefèvre, 1819 - 148 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 29
Página 54
... un soir , Le maître avoit perdue en ce lieu solitaire . Le chat d'abord la considère , La touche de sa griffe , et de l'extrémité La fait à petits coups rouler sur le côté , Court après , s'en saisit , l'agite , la remue 54 FABLES .
... un soir , Le maître avoit perdue en ce lieu solitaire . Le chat d'abord la considère , La touche de sa griffe , et de l'extrémité La fait à petits coups rouler sur le côté , Court après , s'en saisit , l'agite , la remue 54 FABLES .
Página 64
... coup voilà notre enfant Qui réfléchit et qui descend . Il court chercher sa bonne mère , Prend avec lui son jeune frère , Les conduit au dattier . Le cadet incliné , S'appuyant au tronc qu'il embrasse , Présente son dos à l'aîné ; L ...
... coup voilà notre enfant Qui réfléchit et qui descend . Il court chercher sa bonne mère , Prend avec lui son jeune frère , Les conduit au dattier . Le cadet incliné , S'appuyant au tronc qu'il embrasse , Présente son dos à l'aîné ; L ...
Página 67
... coup l'arbre lui dit : Respecte mon grand âge , et souviens - toi du fruit Que je t'ai donné chaque année . La mort va me saisir , je n'ai plus qu'un instant ; N'assassine pas un mourant Qui fut ton bienfaiteur . Je te coupe avec peine ...
... coup l'arbre lui dit : Respecte mon grand âge , et souviens - toi du fruit Que je t'ai donné chaque année . La mort va me saisir , je n'ai plus qu'un instant ; N'assassine pas un mourant Qui fut ton bienfaiteur . Je te coupe avec peine ...
Página 69
... coups et souvent le trépas . Moi qui tous les ans les habille , Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs , Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants . Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste ...
... coups et souvent le trépas . Moi qui tous les ans les habille , Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs , Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants . Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste ...
Página 72
... coup son cœur ; Il court au paysan , l'embrasse , De cent écus lui fait le don , Et lui demande encor pardon . Ensuite il fait crier que sur la grande place Le village assemblé se rende dans l'instant . On obéit ; notre bon homme Arrive ...
... coup son cœur ; Il court au paysan , l'embrasse , De cent écus lui fait le don , Et lui demande encor pardon . Ensuite il fait crier que sur la grande place Le village assemblé se rende dans l'instant . On obéit ; notre bon homme Arrive ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
aimer alloit âme amis amoureux animaux apologues asile avoit beau berger bientôt bois bonheur Booz brebis C'étoit chant charmant chat cher chevreuils chien ciel cœur colère colombe Crésus croit Daignez déja dervis Dieu discours disoit un jour dit-il donne doucement doux dromadaire écureuil ejus enfant époux Ésope Esturgeon étoient étoit FABLE XVII FABLE XX fabuliste faisoit fauvette fils foible Fontaine frère Hélas hérisson heureux hibou homme j'ai j'en jardinier jeune Jupiter l'amour l'ange l'écureuil lapin léopard linot lion long-temps malheureux mère Minos miroir misère Mouflar MYSON Ninive Noémi oiseaux oisons passer pauvre père perroquet pigeon plaine plaisir pleurs qu'un Ragès Raguel renard répond rien rossignol Ruth sage sagesse sais sarcelle sarigue secret Seigneur serin seroit seul singe soins soir solitaire sort souris talent tendre tendresse terre thym Tobie tourterelle troupeau trouve venoit veut veux vieillard vieux vieux renard vint voilà vois vouloit yeux
Pasajes populares
Página 76 - Il sait comment on le gouverne. Et crie en le poussant : « Est-il rien de pareil ? Messieurs, vous voyez le soleil, Ses rayons et toute sa gloire. Voici présentement la lune ; et puis l'histoire D'Adam, d'Eve et des animaux... Voyez, Messieurs, comme ils sont beaux ! Voyez la naissance du monde ; Voyez...
Página 8 - Amour ! Amour ! quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence ! FABLE II.
Página 61 - J'ai des jambes et vous des yeux : Moi, je vais vous porter : vous, vous serez mon guide; Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez. Ainsi, sans que jamais notre amitié décide Qui de nous deux remplit le plus utile emploi, Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi.
Página 150 - Dit-elle, ma mère mentit Quand elle m'assura que les noix étaient bonnes. Puis croyez aux discours de ces vieilles personnes Qui trompent la jeunesse ! Au diable soit le fruit !
Página 90 - SUR la corde tendue un jeune voltigeur Apprenait à danser; et déjà son adresse, Ses tours de force, de souplesse, Faisaient venir maint spectateur. Sur son étroit chemin on le voit qui s'avance, Le...
Página 60 - L'aveugle, à qui tout pouvait nuire, Etait sans guide, sans soutien, Sans avoir même un pauvre chien Pour l'aimer et pour le conduire. Un certain jour il arriva Que l'aveugle, à tâtons, au détour d'une rue, Près du malade se trouva; II entendit ses cris, son âme en fut émue. Il n'est tels que les malheureux Pour se plaindre les uns les autres. J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres : Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux.
Página 69 - Quand je songe aux malheurs de notre destinée. Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats, Toujours soumis, tendre et fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs. Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants.
Página 84 - Vole pour lui faire sa cour. Chacun l'observe, l'examine: Son plumage, sa voix, son chant mélodieux, Tout est beauté, grâce divine, Tout charme l'oreille et les yeux. Pour la première fois on vit céder l'envie Au besoin de louer et d'aimer son vainqueur. Le rossignol disait : ' Jamais tant de douceur N'enchanta mon âme ravie. — Jamais, disait le paon, de plus belles couleurs N'ont eu cet éclat que j'admire: II éblouit mes yeux et toujours les attire.
Página 39 - Lubin ne souffle plus ; mais, en quittant la plaine, Ils trouvent des voleurs cachés au bois voisin.
Página 66 - disait un jour à la plus tendre mère Un enfant péruvien , sur ses genoux assis, « Quel est cet animal qui , dans cette bruyère . Se promène avec ses petits ? Il ressemble au renard.