| Alfred Dreyfus - 1898 - 282 páginas
...Et maintenant, Messieurs, permettez-moi, en terminant, de vous dire une chose : Vous êles le jury, vous êtes la nation; si la nation n'a pas confiance...pas un mot de plus. Je vous demande la permission de me retirer, Monsieur le Président. Maintenant, veuillez vous mettre par la pensée à la place du... | |
| Alfred Dreyfus - 1898 - 292 páginas
...Et maintenant, Messieurs, permettez-moi, en terminant, de vous dire une chose : Vous êles le jury, vous êtes la nation; si la nation n'a pas confiance...pas un mot de plus. Je vous demande la permission de me retirer, Monsieur le Président. Maintenant, veuillez vous mettre par la pensée à la place du... | |
| 1898 - 582 páginas
...Et maintenant, Messieurs, permettez-moi, en terminant, de vous dire une chose : Vous êtes le jury, vous êtes la nation; si la nation n'a pas confiance...prêts à laisser à d'autres cette lourde tâche, nous n'avez qu'à parler. Je ne dirai pas un mot de plus. Je vous demande la permission de me retirer,... | |
| Alfred Dreyfus, Émile Zola - 1898 - 574 páginas
...Et maintenant, Messieurs, permettez-moi, en terminant, de vous dire une chose : Vous êtes le jury, vous êtes la nation; si la nation n'a pas confiance...prêts à laisser à d'autres cette lourde tâche, nous n'avez qu'à parler. Je ne dirai pas un mot de plus. Je vous demande la permission de me retirer,... | |
| Justin Vanex - 1898 - 102 páginas
...une chose : Vous êtes le jury, vous êtes lanation ; si la nation n'a pas confiance dans les chefsde son armée, dans ceux qui ont la responsabilité de...lourde tâche, vous n'avez qu'à parler. Je ne dirai pes un mot de plus, Je vous demande la permission de me retirer, monsieur le Président. La question... | |
| William Gifford, Sir John Taylor Coleridge, John Gibson Lockhart, Whitwell Elwin, William Macpherson, William Smith, Sir John Murray IV, Rowland Edmund Prothero (Baron Ernle), George Walter Prothero - 1898 - 620 páginas
...maintcnant, Messieurs, permettez-moi en tenninant de vous dire uae chose: Vous etes lo jury, vous etes la nation; si la nation n'a pas confiance dans les chefs de son armee, dans ceux qui ont la rosponsabilito de la defense nationals, ils eont prets a laisser a d'autres... | |
| 1898 - 652 páginas
...s'adressant aux douze jurés, le chef de l'état-major de l'armée leur dit : « Vous êtes le jury, vous êtes » la nation; si la nation n'a pas confiance dans les chefs qui » sont à la tête de l'armée, qui organisent la défense natio» nale, ils sont prêts à laisser... | |
| 1898 - 474 páginas
...le répète, messieurs les jurés, je n'en ai pas le droit. » J'ajoute ceci : Vous êtes le jury, vous êtes la nation ; si la nation n'a pas confiance dans les chefs qui sont à la tête de l'armée, qui organisent la défense nationale, ils sont prêts à laisser... | |
| 1898 - 494 páginas
...conséquences l'Etat-Major entendrait donner à un verdict « non conforme ». « Vous êtes le jury, vous êtes la nation : si la nation n'a pas confiance dans les chefs. . . ils sont prêts à laisser à d'autres cette tâche ». A bon entendeur, salut ! Pour que ces douze... | |
| 1899 - 652 páginas
...chefs de'son armée, dans ceux qui ont la « responsabilité de la défense nalionale, ils sonl preis à laisser » à d'autres cette lourde tâche, vous...qu'à parler. Je ne » dirai pas un mot de plus.. . » On avait trouvé un peu raide cette façon du chef d'état-majorde poser la queslion de cabinel... | |
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