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Il y a bien d'autres points sur lesquels une action oncertée des grandes maisons de production pourrait utileent venir en aide au cinéma français la modernisation ar exemple des studios, qui fait que notre pays est au ernier rang pour la mise en oeuvre d'un film; la création e grandes vedettes, dont l'absence est telle que le public e retient que des noms américains ou allemands, et qu'un lébiscite récent a donné la première place à Huguette Duflos, parce que « de la Comédie française ». Mais putes ces questions demanderaient de longs développeients. Ne retenons pour l'instant, que l'engagement volonaire de former des jeunes cinéastes. La loi n'a-t-elle pas ascrit, pour les grandes industries, l'obligation de faire un ombre d'apprentis proportionnel au nombre d'ouvriers mployés ? HENRI CLOUZOT.

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SPORTS

Le Tour de France 1927

Nous voilà en pleine période du Tour de France, et c'est plaisir de constater à quel point la grande épreuve a reconquis, cette année, son intérêt dramatique, et, du même coup, son ascendant sur les vrais sportifs de France qui, au train que les choses prenaient, risquaient de s'en désintéresser.

Il faut le dire

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et la constatation prend du relief avec le recul c'étaient devenues de vraies « blagues » que l'immense majorité de ces vingt ou vingt-cinq étapes (hormis celles de montagnes), disputées (?) par des coureurs dont l'unique souci paraissait être celui de ne pas « mener ». Les villes et les campagnes, alertées par une publicité qui débordait celle du journal organisateur, du Cyclisme et du Sport lui-même le Tour de France est devenu un moment de notre vie nationale! -voyaient défiler, parfois à une allure de 20 à l'heure celle du moindre débutant une procession de champions hilares, préoccupés de se faire des niches, et ne se souciant de leurs chances que lors de l'emballage de l'arrivée. Le prestige de l'épreuve, ou, du moins, de ses « héros »>, faiblissait. La moyenne était tombée, des 28 kilomètres de Petit-Breton à des 23, 24 à peine. Encore quelque temps de ce régime, et l'on pouvait se demander si les journaux continueraient à faire les frais d' << envoyés spéciaux » et ces débauches de comptes rendus en << première » pour une « histoire » dont le caractère tant sportif que << spectaculaire » finissait par se ramener à « rien »>.

Henri Desgrange, l'extraordinaire inventeur de l'épreuve comme, d'ailleurs, de presque tout le sport de compétition en France - devait s'affecter de la situation, et s'efforcer d'y porter remède. Il était fatal qu'un jour, la méthode des « départs

A LIAISON AÉRIENNE FRANCE-AMÉRIQUE DU SUD séparés », dont il avait usé naguère, à l'origine de l'épreuve

Le président de la République argentine a reçu, le 16 juin, A. Marcel Bouilloux Lafont, président du Conseil d'adminisration de la Compagnie aérienne Latécoère.

Au cours de cette entrevue, M. Marcel Bouilloux-Lafont, qui tait accompagné du ministre de France à Buenos-Aires, a résenté ses remerciements pour la concssion que le pouvoir xécutif venait d'accorder à la Compagnie Latécoère en vue de établissement du service aérien qui doit assurer le transport Es correspondances entre l'Europe, l'Afrique, le Brésil et la publique argentine."

M. Marcel Bouilloux-Lafont a fourni au président Alvear di-
rses informations relatives à la façon dont fonctionnerait le
rvice qui sera inauguré à la fin de l'année en cours.
Nous apprenons, d'autre part, que M. Marcel Bouilloux-
font a eu une conférence avec M. Ibanez, président de la
publique du Chili, à la suite de laquelle un accord a été
abli et les dispositions nécessaires ont été arrêtées en vue
prolongement de la ligne postale aérienne française jusqu'à
ntiago et Valparaiso.

L'abondance des matières nous oblige à reporter au prochain méro la fin de l'histoire de Lubbert Bey, de notre collaboraAuriant.

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on

sans grand succès! l'éducation des masses n'était pas faite
s'imposat de nouveau à lui. Il l'améliora notablement en s'arrê-
tant au principe du « départ séparé » non plus par coureur,
mais bien par marque... Lâchant les pelotons formés par les
éléments de chaque firme à un intervalle de quelques minutes
un quart d'heure fut, en définitive, la mesure adoptée
les forçait, en effet, à se dépenser de bout en bout, autant par
Restait seulement l'appréhension de voir le public profane ne
crainte d'être rattrapés que par espoir de rattraper eux-mêmes.
pas s'assimiler ce règlement et se montrer déçu d'avoir à acclamer
comme vainqueurs des coureurs se présentant, parfois, près d'une
heure après les premiers. Restait aussi ce ne fut pas si facile!

à avoir l'adhésion des marques. Certaines, et non des moindres (Peugeot) boudèrent à la nouvelle formule. D'autres (Alcyon) ne se décidèrent qu'après des échanges de vues sans nombre. De grands cracks s'abstinrent, qu'effraya la perspective d'efforts trop rudes et répétés sans assez de répit (songez que, cette saison, dix étapes, pour commencer, doivent

LIQUEUR

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BENEDICTINE

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A l'heure où j'écris ces lignes (les « géants» viennent d'arriver au pied des Pyrénées), le succès est incontestable. Depuis le début, tout le monde, groupés, isolés, dirigeants, a pris son rôle au sérieux et nous n'avons pas même vu poindre la moindre menace d'une entente en vue d'un train ralenti, entente, au surplus, fort dangereuse pour qui, l'observant, risquerait de <<< tomber dans le panneau »>.

Que demande, à une épreuve sportive, le bon public que nous sommes? Ce sont, avant tout, des coups de théâtre, soit cet élément de romanesque, mais de romanesque vraisemblable, je dirai plus, de romanesque vrai, dont nous sommes, tant que nous sommes, avides, et que nous ne trouvons que de façon insuffisante dans la vie, grossière dans les feuilletons. En fait de coups de théâtre, ce début du Tour de France nous a comblés. Une envolée, à toutes pédales, sur les belles routes normandes, la prouesse invraisemblable, le premier jour, des Dilecta, avec le grand Français en tête (Francis Pélissier, le second né de la trilogie fameuse, muscles supérieurs, têtes chaudes, idoles de la foule qu'ils décevraient s'ils ne lui fournissaient pas, parfois, l'occasion, aussi, de les siffler!), avec, le suivant roue dans roue, Ferdinand Le Drogo, le jeune Breton qui s'annonce comme de la même race et possède tout, même le nom, singulier et « accrocheur », pour être, dix ans durant, l'une des têtes de file dont rêveront cinq cent mille petits Français.

Dès le lendemain, réaction d'Alcyon, reprenant plusieurs minutes, avec son leader, Frantz, le Luxembourgeois. Puis, entrée en scène des « Louveteaux » (J.-B. Louvet), soit Van Slembrouck, Hector Martin, autres héros belges, le premier du type colosse» sur qui rien n'ont guère de prise, la fatigue, ni le froid, ni le sommeil, le second, fin et souple au contraire, raisonneur et calculateur, que beaucoup rapprochent de Philippe Thys, l'homme qui gagna trois fois le « Tour ».

Dès au bout de trois ou quatre étapes journalières, ne l'oublions pas ! on s'effarait des moyennes qui, dans l'ensemble, dépassaient le 30 (battu, ou en passe d'être battu, le fameux record de Petit-Breton) ! Et les suiveurs, cette fois emballés pour leur propre compte, de nous vanter à chaque fin d'étape, le brio de leurs favoris. Cependant, nous, les vieux cyclistes, pour qui du « 8 mètres à la seconde », pendant six heures par jour, sur route, cela représente tout autre chose qu'une agréable abstraction, nous n'étions pas sans éprouver de l'émotion, des alarmes aussi. Le « réveil de la souffrance » s'est soudain opéré dans Dinan-Brest. Etape rude, de par les côtes brèves et méchantes que vous savez, et de par ses silex féconds en crevaisons démoralisantes; étape où, tout à coup, se paya l'arriéré des joyeux efforts enregistrés cependant au manomètre de l'organisme des quatre ou cinq jours précédents. Le premier, Francis Pélissier, « chef » des Dilecta, céda. Dans quelles conditions au juste? Fut-ce épuisement? Fut-ce la menace des pénalités méritées pour « collage» intempestif derrière une auto complaisante? Rappelons-nous que, ce printemps même, ce gaillard de trente ans passés fut atteint d'une pneumonie double qui le garda au lit six semaines. Il abandonna près de Guinguamp, parmi les « mouvements de foule », et, du coup, c'est à Le Drogo, son « compagnon d'écurie », que le << maillot jaune revenait!

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Que se passa-t-il dans cette cervelle? Orgueil de se sen en tête, et d'avoir lu tant de dithyrambes sur son compte da les journaux? Et de « mener », Breton, en Bretagne? Toujo est-il que Le Drogo entra, c'est vrai, gagnant, à Brest! M quelle victoire à la Pyrrhus ! Il y arrivait, s'étant « donné avec une fougue si désespérée qu'une dépression devait normal ment s'ensuivre. Surtout, il y arrivait, brouillé avec ses cam rades d'équipe, les Huot et les Cuvelier, qu'il s'était payé luxe peu élégant de lâcher histoire de faire << effet » ! aux pires endroits du parcours. Or, la formu de cette année est, essentiellement, celle de l'équipe. Impossib de tenir le coup, j'entends de façon durable, autrement qu'ave un conducteur relayé toutes les cinq minutes pour assurer train sans que les autres aient à « mettre le nez à la fenêtre » L'attentat de Le Drogo contre l'esprit équipe devait le perd Dès Brest-Vannes, que pouvait-il faire, isolé de ses frères qui le boudaient et menaçaient d'abandonner! Vannes-Le Sables lui donna la définitive estocade. Il passait neuvième a classement, avec une heure vingt de retard. De vrai, dept l'abandon de Francis, le ressort moral des Dilecta était brisé on comprenait que ces ex-favoris du Tour n'iraient plus loin Mais les autres teams? Il faut redire la stupeur dan laquelle nous plonge l'exploit des « Louveteaux » l'étape Vannes-Les Sables à plus de 33 à l'heure. Un fort ven arrière les poussait; le parcours était plat... N'importe ! O reste déconcerté devant cette prouesse d'athlètes qui, depuis l journalier de deux cents kilomètres. 19 juin, ont, chaque jour, dévoré à grande allure leur mena

couvra

Ne dissimulons pas que nous sommes effrayés, songeant aux efforts qu'ils traînent déjà derrière eux. L'Aubisque et le Tour malet, plus loin, Allos et le Galibier n'ont pas volé leur renom de « calvaires ». Desgrange se félicite, jusqu'à présent, c'est certain, du magnifique intérêt qu'a revêtu ce premier tiers du Tour Ne sera-t-il pas saisi de remords en voyant les tenants de sc œuvre, ses « petits gars » peiner affreusement dans les affreuss rampes de montagne ?

Loin de nous les couplets faciles! Ceux d'Albert Londres, 1 y a trois ans, touchant les « forçats » du Tour, nous faisaien sourire. Nous n'avons plus envie de sourire, cette année. Nous craignons tout. Tout peut se produire, abandons, agressions. révoltes, de la part des débilités nerveux que vont être ce hommes. Puisse la fantastique épreuve ne pas s'interrompre sou dain dans de dramatiques conditions !

Possible qu'il n'en soit rien, que les ressources morales des soixante rescapés qui atteignent Bayonne leur autorisent l'achè vement de la tâche vraiment douloureuse qui leur fut proposée cette fois! Souhaitons-le, mais souhaitons aussi que, l'an pic chain, quelque correctif, issu du cerveau bouillonnant du direc teur de l'Auto, ramène l'épreuve aux proportions d'une extraor dinaire école d'énergie et d'endurance, mais non pas d'une « course à la mort » comme il semble qu'elle soit devenue ! Marcel BERGER.

<< Le 22 juin, le capitaine Challes s'est attribué la Coupe Internationale Michelin, en réalisant 2.731 km. à la moyenne horaire de 215 km. 498. »

L'appareil du capitaine Challes était équipé en pneumati ques Dunlop à tringles sur jantes base creuse.

Dans une performance de ce genre, les pneus sont soumis à une dure épreuve, puisqu'ils ront obligés d'assurer 14 atterris sages et 14 décollages, et nous pouvons ajouter que le pne matique d'avion Dunlop, suit à grands pas, les traces de so aîné, le fameux Dunlop Cord, victorieux dans toutes les couf ses d'automobiles.

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Après l'accès de faiblesse de ces temps derniers, notre marché a retrouvé, durant cette huitaine, un peu d'équilibre et, sous l'influence d'éléments plus favorables, la tendance s'est raffermie vigoureusement. Si l'on ne finit pas au plus haut, on n'en reste pas moins dans presque tous les compartiments au-dessus du niveau de la semaine précédente.

Nos Rentes sont généralement un peu plus calmes; par contre, les Bons du Trésor restent fermement tenus.

Parmi les Fonds étrangers, les Ottomans ont regagné une partie de terrain qu'ils avaient abandonné; on parle, en effet, d'une reprise possible des pourparlers. Les Serbes s'inscrivent en progrès sensibles.

Aux valeurs diverses, les valeurs d'eau et de gaz conservent leur bonne orientation. Des demandes se sont surtout portées sur les titres d'électricité qui enregistrent des plus-values intéressantes.

En banque, les Mines d'Or, les Sud-Africaines et les Pétroles ont passé, tour à tour, d'une certaine activité à un fléchissement.

Caisse autonome d'amortissement

Le Comité Financier de la Caisse autonome de gestion des Bons de la Défense nationale et d'amortissement de la Dette publique s'est réuni le 22 juin 1927, sous la présidence de M. le sénateur Milan.

M. le sénateur Lebrun, président du Conseil d'administration, ass tait à la réunion.

Après avoir pris connaissance de la situation de la circulation des Bons de la Défense nationale, le comité a émis l'avis que le taux de l'intérêt des Bons de la Défense nationale à 2 ans soit abaissé de 5 % à 4.50 % à partir du 23 juin.

SOCIETE GENERALE

Les comptes de chèques apparaissent en nouvelle augmentation dans la situation au 30 avril 1927, à 2.657.221.908 fr. contre 2.274.461.042 au bilan au 31 décembre 1926. Par contre, les comptes courants créditeurs, qui s'inscrivent à 6.309.577.511 fr., sont en sensible diminution par rapport au chiffre du mois précédent (6.750.483.315), mais restent supérieurs à celui du bilan à fin 1926 (6.162.221.298). L'effet de cette diminution se répercute sur le portefeuille effets et B.D.N. qui revient de 4.956.375.143 fr. au 31 mars à 4.740.420.983 fr. au 30 avril (contre 5.369.050.412 au 31 décembre 1926), et sur les comptes courants débiteurs qui, aux mêmes dates, passent de 1.735.514.803 à 1.462.092.179 (contre 1.636.661.815). Les disponibilités, au contraire, accentuent leur plus-value antérieure ; les espèces en caisse et à la Banque de France sont de 1.779.486.349 fr. contre 1.770.852.526 au 31 mars et 1.025.764.223 au 31 décembre 1926 et les avoirs dans les banques et les correspondants de 1.249.457.731 contre 1.100.443.316 et 637.844.471 respectivement.

LE RENDEMENT DES TABACS

Le Conseil d'administration de la Caisse autonome de gestion des Bons de la Défense nationale, d'exploitation industrielle des tabacs et d'amortissement de la Dette publique, réuni le 22 juin, sous la présidence de M. Albert Lebrun, vice-président du Sénat, a examiné divers projets établis par le Comité techni

que et présentés au nom de ce comité par son président, M. Moutou.

Le conseil a adopté le principe d'une réorganisation des services centraux de l'exploitation industrielle des tabacs. Il a admis l'organisation, en faveur des débitants de tabacs, d'un système de vente à crédit qui doit avoir pour conséquence de faciliter notablement l'approvisionnement et l'achalandage des débits et d'entraîner par suite un certain accroissement des recettes des tabacs.

Le directeur général du ervice d'exploitation industrielle des tabacs a exposé ensuite la situation des recettes des tabacs, situation qui se présente actuellement sous un jour favorable : les recettes des cinq premiers mois de 1927 dépassent, en effet, de 403 millions les recettes de la période correspondante de 1926, et de 31 millions les prévisions qui avaient été faites fin 1926 pour 1927 et s'élevant pour l'année entière à environ 3.500 millions.

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La loi du 7 août 1926 a autorisé le ministre des Finances à procéder à des opérations facultatives pour les porteurs, de conversion de la dette intérieure du Trésor et du Crédit National. En exécution de cette disposition, le Trésor va entreprendre la conversion d'une partie de la dette flottante intérieure par l'émission d'Obligations 6 % amortissables en cinquante ans. Les souscriptions pourront être acquittées soft en espèces, soit en Bons de la Défense Nationale émis avant le 3 juin 1927; le numéraire versé directement par le public ou provenant de l'escompte au Trésor par la Caisse d'amortissement d'une partie des Bons de la Défense Nationale présentés en souscription permettra d'abaisser la limite maximum des avances de la Banque de France à l'Etat.

Si le montant des Bons de la Défense Nationale présentés en souscription excède les possibilités d'escompte de la Caisse d'amortissement, l'excédent donnera lieu à un abaissement du plafond de l'émission des bons.

Cette opération n'a donc pas pour objet de procurer au Trésor des ressources destinées à être affectées au payement des dépenses publiques; elle constitue essentiellement une opération de consolidation de la dette flottante qui marquera une étape importante dans la voie du redressement financier.

CARACTERISTIQUES DES OBLIGATIONS Type. Obligations amortissables, inscrites au grand livre de la Dette publique.

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27 juin au 23 juillet 1927.

Lieux de souscription. On souscrit partout au Service des Emissions de la Défense Nationale (pavillon de Flore) ; à la Recette Centrale des Finances de la Seine; aux Caisses des Trésoriers-Payeurs Généraux, Receveurs ds Finances, Receveurs-Percepteurs, Percepteurs et Receveurs municipaux; aux bureaux des Receveurs de l'Enregistrement, des Receveurs des Douanes et des Receveurs des Contributions indirectes ; aux Recettes des Postes et Télégraphes; à la Caisse des Dépôts et Consignations; à la Banque de France, siège central, succursales et bureaux auxiliaires; dans les Banques, Etablissements de Crédit et chez les Agents de change et Notaires.

CHRONIQUE

2 juillet 1927

avec maison de jardinier, parc, jardin, prés, bois de 15.000 mètres carrés. Prix: 375.000 francs. 0.134 MAINTENON. Ferme habitation ancienne 35 à 40 lectares dont 9 hectares prairies, bord de l'Eure, belle situation, convient à élevage ou pied-à-terre. Possibilité de belle chasse. Prix: 200.000 francs.

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15.

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Immeuble de rapport, revenu 36.000 francs. Prix : 380.000 francs. Foncier à conserver.

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18.

-

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L'OPINION, toujours soucieuse de rendre service à ses abonnés et lecteurs et de leur apporter toutes informations utiles, publie régu lièrement une CHRONIQUE IMMOBILIÈRE. Grâce au service des CHATEAUX DE FRANCE, dont la notoriété est le plus sûr garant de l'intérêt et de la sûreté des informations, les lecteurs de L'OPINION trouveront donc ici les meilleurs renseignements.

Toute la correspondance doit être adressée
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Immeuble de rapport, revenu 47.000 francs. Prix : 500.000 francs.

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qui-Vire, Quarré-les-Tombes, Chastellux, Pierre-Perthuis, SaintPère, Vézelay et les curieuses grottes d'Arcy-sur-Cure, une des principales attractions du tourisme de l'Avallonnais. L'autre sera effectué les mardis, jeudis et dimanches, pendant les mois de juillet et de septembre, tous les jours en août, et passera par Meluzien, Quarré-les-Tombes, la Roche-du-Chien, Gouloux, Montsauche, le Lac des Settons, château-Chinon, Lormes et Chastellux.

Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine

Le bureau du tourisme des chemins de fer d'Alsace et de Lorraine a commencé la vente des coupons d'autocars ef des billets combinés, chemin de fer et autocar, à prix réduit et à validité de trente jours prolongeable.

Les circuits automobiles organisés par les chemins de fer d'Alsace et de Lorraine commencent le 26 juin pour les cit. cuits Strasbourg-Samte-Odile, le 1 juillet pour le circuit de la route des Vosges, Strasbourg-Mulhouse et vice versa en trois étapes ainsi que pour le circuit Mulhouse-Ballon d'Alsage avec correspondance de ou pour Belfort, le 2 juillet pour le circuit Strasbourg-Saverne, Haut-Barr-Dabe, et le 18 juillet pour le circuit Strasbourg-Niederbronn-lac de Hanau-Champs de bataille de 1870.

Etant donné le grand nombre de demandes de renseignements qui lui parviennent chaque jour, l'administration des chemins de fer d'Alsace et de Lorraine attire l'attention des voyageurs sur l'utilité de retenir les places à l'avance à son bureau de

CHEMINS DE FER DE L'EST tourisme, 5, rue de Florence, à Paris (8 arrondissement).

Trois mois de séjour dans les régions des Vosges,

de Belfort et de la Haute-Saône

La Compagnie des chemins de fer de l'Est mettra en marche, dans la nuit du 16 au 17 juillet 1927, un train spécial de troisième classe de Paris à Epinal et à Belfort.

Les billets seront délivrés à la gare de Paris-Est à destination les gares situées au delà de Port-d'Atelier-Amance.

Les prix des billets comporteront une réduction de 30 % sur es prix doublés des billets simples ordinaires.

Les voyageurs devront être rentrés à Paris au plus tard le 13 octobre 1927.

A l'aller, le parcours de Paris à Port-d'Atelier-Amance devra être obligatoirement effectué dans le train spécial; les voyageurs à destination des gares au delà de Po.-d'Atelier-Amance, non desservies par le train spécial, pourront achever leur trajet par les trains du service ordinaire accessibles aux voyageurs de troisième classe.

Au retour, les voyageurs seront admis dans tous les trains comportant des voitures de troisième classe, aux mêmes conditions que les voyageurs munis de billets ordinaires.

Pour tous autres renseignements, consulter les bulletins remis gratuitement sur demande adressée à la gare de Paris-Est.

Chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée

Pour visiter l'Avallonnais et le Morvan

Le moyen le plus pratique et à la fois le plus économique pour isiter toutes les curiosités que recèle l'admirable région de 'Avallonnais et du Morvan, c'est d'en parcourir les routes en utomobile.

Les autocars P.-L.-M. qui sillonnent cette région jusqu'au 0 septembre offrent, à cet égard, aux touristes, toutes les ommodités désirables: confort, régularité des horaires et choix udicieux des itinéraires.

Les jeudi et dimanche jusqu'au 30 juin, des voitures partent matin d'Avallon et y reviennent le soir même en passant par Quarré-les-Tombes, la Pierre-qui-Vire, Gouloux, le Lac des Setons, Montsauche, Lormes, le château de Chastellux, PierrePerthuis, Saint-Père, Vézelay et Sermizelles.

Du 2 juillet au 30 septembre, ce circuit sera remplacé par deux autres, qui partiront également d'Avallon, l'un pour la isite de l'Avallonnais, l'autre pour celle du Morvan. Le preic: aura lieu tous les jours et permettra de visiter la Pierre

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