| 1835 - 794 páginas
...grands qu'une grande douleur. Mais pour en être atteint ne crois pas , ô poète , Que ta voix ici bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les...plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglot *, Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses... | |
| 1857 - 568 páginas
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| Alfred de Musset - 1841 - 456 páginas
...plus beanx , Et j'en sais d'immortels qoi sont de pars sanglots. Lorsque le pélican , lassé d'an long voyage , Dans les brouillards du soir retourne...petits affamés courent sur le rivage En le voyant an loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 páginas
...Rien ne nous rend si grand qu'une grande douleur. Mais, pour en tire alleiut, ne crois pas, à poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les cbants les plus l>eaux, El j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 páginas
...ne nous rend si grands qu'une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus...long voyage, Dans les brouillards du soir retourne ci ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux.... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 páginas
...rîous rend si grand qu'une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète ! Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus...affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattr% sur les eaux ; Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 páginas
...douleur est à Dieu. Quel que soit le souci que ta jeunesse endure, Liisse-la s'élargir, cette suints blessure Que les noirs séraphins t'ont faite au fond...roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage Eu le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent... | |
| Revue nationale et étrangère - 1861 - 654 páginas
...séraphins t'ont faite au fond du cœur. Rien ne nous rend plus grands qu'une grande douleur. Les chants désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots..., etc. 11 ya là tout un drame intime', et je ne sais rien de plus poignant que le contraste de cette... | |
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