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on appréciera les données suivantes, que je m'excuse de; présenter sèchement les électrocars de l'Exposition 1925 dépensaient, pour transporter 14 voyageurs à une allure de visite, 450 watts par kilomètre. Au concours d'électrovéhicules de 1924, la dépense était de 40 à 60 watts par heure par tonne totale transportée sur 1 kilomètre, et 100 à 400 par tonne-kilomètre utile. Les véhicules s'avéraient d'autant plus avantageux sous ce rapport qu'ils étaient plus gros et puissants, sauf cependant la catégorie autobus, où la carrosserie est particulièrement lourde. Il est à remarquer qu'au concours de 1923, la dépense correspondante allait presque au double. Les petits véhicules (jusqu'à 500 kilos) portaient comme charge utile 1/6 à 1/10 du poids total; les moyens (500 à 1.500 kilos), 1/4 à 1/5 ; les gros enfin (3.000 à 5.000 kilos), avaient 1/3 de leur poids total.

Cr, les locomotives à accus ne dépensent que 50 wattsheures par tonne kilométrique, ce qui fait deux sous; et les petits chariots porteurs ou tracteurs de bagages, qui n'ont pas l'avantage de rouler comme elles sur des rails, conso.nment 200 à 350 watts-heures par tonne kilométrique utile pour les porteurs, 155 watts-heures pour les tracteurs.

Je ne pense pas nécessaire de donner grands détails sur la construction de ces véhicules. Il suffit de savoir que deux types d'accumulateurs se disputent la faveur actuellement : celui au plomb, le plus ancien, moins cher mais plus délicat, et l'alcalin au fer-nickel, plus coûteux, mais moins sensible aux traitements brutaux et se rechargeant plus vite. Les moteurs sont généralement de bas voltage, 30 à 8 volts, ne dépassant pas (sauf pour les locomotives) quelques chevaux; 42 éléments suffisent alors, avec une capacité de 80 à 400 ampères-heures. Ils sont de divers types, continussérie ou bien compound, ou asynchrones à collecteurs. Le démarrage, qui est un point délicat, se fait par l'introduction de résistances, les variations de vitesses par variation de l'excitation de l'inducteur.

pas

Je ne voudrais pas laisser croire, en terminant, que le véhicule à accumulateurs est actuellement parfait, et qu'on est inexcusable d'employer encore l'automobile à essence. Il a des défauts. Les pannes, si elles sont rares, peuvent être impossibles (pas toutes) à réparer sur la route un bobinage grillé ne se refait ainsi. L'entretien des accus, assez sensibles aux cahots, qui en désagrègent la matière active, demande un certain soin, mais pas de compétence particulière (moins, après tout, que celui de la magnéto); et le reste du mécanisme n'exige pour ainsi dire aucun entretien. En hiver, le liquide des accus peut geler; et s'il est assez facile de prévoir des dispositifs de protection, il ne semble pas qu'on y ait fait encore grande attention. Ce qui est plus grave, c'est la longue durée que demande la recharge cinq à dix heures si l'on ne veut pas abîmer rapidement ses plaques. Mais cela se fait tout seul pendant la nuit, grâce au disjoncteur automatique qui coupe le courant quand la saturation est atteinte ; puis, l'on peut réduire à peu d'heures cette opération, si dans le courant de journée on a procédé, pendant les heures d'inactivité, à une recharge partielle, dite « biberonnage ». Il n'en est pas moins vrai que

si l'on veut toujours être prêt à partir, il faut posséder une batterie de rechange toute chargée.

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Le plus grave reproche peut-être que puissent adresser des touristes à une voiture électrique, c'est son faible rayon d'action. Si son moteur fait 4 à 5 chevaux, soit 3.600 watts en chiffres ronds, et qu'il tourne sous un régime de 36 volts, il dépensera 100 ampères (1 w. étant I amp. multiplié par 1 volt); si les accus ont une capacité de 400 ampères, la voiture pourra donc marcher quatre heures, soit 120 à 150 kilomètres. Ce n'est guère. Dès 1902, une voiture faisait 302 kilomètres sans recharge; mais nous sommes encore loin de ce qu'exigent aujourd'hui les touristes qui veulent faire dans la journée le voyage Paris-Marseille ou Paris-Biarritz. Cela n'a, par contre, aucun inconvénient pour un service de ville livraisons, taxis où le parcours fait dans la journée dépasse rarement la centaine de kilomètres, et où les véhicules, appartenant à de puissantes Sociétés, trouvent en rentrant au garage à heure fixe, une installation et un personnel spéciaux pour la recharge, qui n'a pas besoin d'être terminée avant le lendemain matin. Ainsi, les véhicules pour le service utilitaire dans Paris sont-ils déjà assez nombreux, et en augmentation constante. Mais pour que la voiture électrique de tourisme puisse se répandre, il y a toute une organisation à prévoir par un puissant organisme industriel il faut que dans plusieurs milliers de villes, l'arrivant soit sûr de trouver toute prête une batterie chargée et en bon état, « standardisée » comme dimensions et voltampérage, qu'il échangera contre sa batterie vide. Non seulement cela représente une grosse mise de fonds pour l'approvisionnement de batteries de roulement et l'équipement des postes de recharge, mais c'est toute une éducation à faire, tant pour les dépositaires-garagistes que pour les touristes clients les uns comme les autres n'étant que trop enclins à chercher à se débarrasser d'une batterie « fusillée », en laissant le preneur se débrouiller ensuite avec elle comme il pourra ; ou, pour le garagiste, à repasser au client une batterie incomplètement chargée. Ajoutons que cette organisation ne rapporterait de bénéfice qu'au bout de plusieurs années, ces dépôts d'accus ne pouvant fonctionner qu'une

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Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine

Ceux qui n'ont pas encore pu, depuis le retour à la France de ces deux belles provinces, contempler leurs beautés architecturales, leurs souvenirs historiques et leurs merveilles touristiques, désirent accomplir ce voyage pendant l'été 1927.

Il existe de nombreux moyens de réaliser ce vou, même avec des ressources modestes.

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fois qu'un assez grand nombre d'électro-voitures existeront dans le pays, et les acheteurs n'acceptant, d'autre part, d'acquérir celles-ci qu'une fois sûrs de trouver partout des dépôts de batteries chargées. Cercle vicieux ! C'est dommage, car notre pays, par la grande diffusion sur tout son territoire de sources d'électricité d'origine hydraulique ou thermique, peut fort bien monter un tel réseau. Déjà, la Société pour le développement des véhicules électriques a organisé 15 postes de recharge (je ne dis pas d'échange de batteries) à Paris-Vaugirard et Batignolles) et en banlieue. L'idée est donc à suivre.

RÉMI CEILLIER.

SPORTS

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abrupto ni tellement en son nom personnel qu'il voulait bien nous le faire croire. Il semble qu'il ait, bel et bien, été, au contraire, l'instrument - l'instrument aveugle, c'est possible! de toute une petite conjuration... d'agriculteurs du Sud-Est (du Gard, spécialement), mécontents de certain article... paru, cn janvier, dans l'Auto. Que dites-vous de cette charmante intrusion de la politique dans notre domaine? Des gens à qui une chronique parue dans un journal de sport a déplu, se payant le luxe de mobiliser un sénateur (d'un département voisin), afin de saboter, par vengeance, la participation française aux grandioses journées d'Amsterdam ! Et, ce qu'il y a de beau, atteignant leur but! C'est cela, surtout, qui fait rêver ! Car, enfin, qu'il y ait des personnages atteints de cette mentalité, la chose n'a pas tant de quoi surprendre. C'est l'éternel raisonnement des politiciens de villages; « Si le cousin du cafetier n'est pas nommé agent voyer, je fiche le ministère par terre ! » Le stupéfiant, c'est que le soir d'une séance comme celle-là, M. Reynald, rapporteur du projet de loi au Sénat, et qui passe pour sérieusement attaché à notre cause (n'est-il pas dans les dirigeants d'une de nos puissantes Fédérations ?), M. Reynald, avisé des intentions de M. Joseph Faure, n'ait pu trouver une minute pour prendre à part son collègue, pour le raisonner et le chapitrer! Et que M. Doumer, président de la Haute-Assemblée, n'ait pas craint de jeter c'est charmant ! - son autorité dans la balance, en déclarant : « Au fait, Messieurs, tout cela n'est pas si pressé! Ces jeux ne sont que pour l'année prochaine ! »

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L'e histoire de la subvention olympique Et que le représentant du gouvernement, à son banc, n'ait pas

Dieu sait si elle vient de faire du bruit, si elle a fait couler de l'encre ! Je puis dire que je m'attendais personnellement au scandale qui a éclaté l'autre nuit, mais qui couvait depuis fort longtemps. Scandale... ? Comment faire autrement que de prononcer le mot? On notera que, dans notre pensée, il est loin de résider seulement dans l'intervention ridicule de ce brave sénateur de la Corrèze, M. Joseph Faure s'opposant au vote sans discussion de la subvention qui venait d'être, enfin, accordée par la Chambre. Il est tout autant, sinon plus, dans les circonstances qui accompagnèrent ou précédèrent cette puérile manifestation. Celle-ci, cependant, mérite, en soi, qu'on y revienne et qu'on y insiste; elle comporte son enseignement.

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Ce parlementaire, interviewé, dès le lendemain, du geste qui le mit... en vedette, par notre confrère Marcel Oger, de l'Auto, commença par lui tenir le pur langage d'un héros de Labiche. Voici il voulait protester... ! Protester contre quoi, grand Dieu ? Tenez-vous bien ! Tout simplement contre la modicité mais oui! des crédits dont bénéficient... les Comices agricoles... A toi, Homais! Il avait tenu à tirer... en l'air, un pétard pour attirer l'attention... < Mais pourquoi, lui demande notre confrère, entre tant de sommes qui sont votées, ma foi, un peu au petit bonheur, dans la fièvre des fins de sessions, pourquoi venir s'attaquer à ces pauvres crédits olympiques réclamés projet de loi! par le ministre des Affaires étrangères, comme susceptibles de servir notre prestige à l'étranger? Je connais mal ces questions sportives, déclare, à peu près, M. Joseph Faure... Cependant, on m'a dit que vos jeux, c'étaient des « acrobaties »... (sic!), et le pays a assez faire sans subventionner des jeunes gens qui se tapent dans la igure... (re-sic ) Au surplus, le pauvre homme ajoutait : J'avoue que j'étais loin de prévoir les conséquences de mon intervention... Si, d'avance, on m'avait dit... ce que vous venez de me dire, j'aurais peut-être agi autrement ! >>

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On le voit, dans ce premier entretien, le sénateur plaidait l'inconscience. Les résultats d'une enquête plus poussée nous ont lait comprendre qu'il n'avait, en réalité, pas agi tellement ex

jugé à propos d'intervenir pour défendre les promesses faites par le président du Conseil, à quelques millions d'honnêtes gens!

On mesure là l'étendue du mal que j'ai dénoncé, dont je me suis plaint, dans ces colonnes, à tant de reprises : l'indifférence qui règne encore malgré tant d'eau bénite de cour dans nos sphères politiques à l'égard de cette force magnifique, capable de soulever le monde, si elle était bien dirigée, et qui s'appelle le sport français. Les responsabilités remontent bien plus haut que M. Joseph Faure et que d'« incurieux » « pères conscrits ». Rappelons-nous que c'est en octobre que M. Poincaré, confirmant l'engagement moral de M. Briand, déclarait à la délégation du Comité olympique : « Voici ce que le gouvernement estime qu'on peut faire: 2 millions cette année ; 1.500.000 francs l'année prochaine. C'est peu ; mais contentezvous-en, en cette période difficile. Moi ici, vous pouvez compter dessus » En octobre ! Or, c'est le 8 avril, le 8 avril seulement une veille de départ en vacances ! que le projet fut déposé sur le bureau de la Chambre. Qu'avait-il donc fait jusqu'alors? Erré, dormi dans les « services » ! Au moins, allait-il être repris dès la rentrée, au début de mai? Allons donc, il allait de nouveau sommeiller... Combien de temps? Huit jours? Notez que la presse sportive, elle, veillait ; notez que Frantz Reichel multipliait les démarches; notez que j'ai, personnellement, tous les dix jours en moyenne, tiré la sonnette d'alarme Rien à faire ! Il ne s'est pas trouvé un de nos << députés-sportifs », ni Henry Paté, véritable ministre des Sports in partibus, ni Paul Bénazet, dernier sous-secrétaire d'Etat à l'Education physique, ni un Delbos, ni un Chautemps, ni un Fernand Buisson qui furent, et, à l'occasion, se prévalent encore d'être des nôtres, pour « se débrouiller », pour insister, pour faire surgir à l'ordre du jour un projet qui n'était en butte à aucune hostilité, puisqu'il fut voté, finalement, à mains levées, mais, qui, c'était clair, ne passant, à la Chambre, que le 5 juillet et filant, de là, au Sénat, s'exposait I c'est ce qui est arrivé !

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- à trouver sa pierre d'achoppement du fait de quelque naufrageur, que nous aurions seulement supposé, tout de même, d'une autre qualité !

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On le sait, la faute commise a, depuis, été à peu près « rattrapée ». Rattrapée de justesse ! Peu s'en fallut il y eut de bien venimeux articles, l'un dans le Matin, notamment que des adversaires acharnés de l'effort des Fédérations n'accréditassent comme exact le bruit le moins fondé du monde, d'après lequel vous devinez l'antienne ! le sport français, étant riche, n'avait qu'à assurer lui-même les frais de son exhibition. Et de remémorer, au public, les grosses recettes réalisées par tel grand match de rugby ou de football, par tel tournoi de tennis! Le Comité olympique a su, très habilement, déjouer cette nouvelle manoeuvre en glissant, dans un communiqué que la presse tout entière s'est bien vue forcée d'insérer, les motifs irréfutables du forfait auquel l'acculait la carence sénatoriale. Trois Fédérations au plus peuvent passer pour riches, en effet : celles que j'ai désignées plus haut. Encore oublie-t-on, simplement, de mettre en regard des sommes considérables qu'elles encaissent deux ou trois fois par an, les autres sommes, au total formidable, qu'elles décaissent chaque dimanche, d'un bout à l'autre de l'année, pour le déplacement de leurs équipes, pour l'organisation de centaines et de centaines de rencontres sans public, partant sans recettes, éléments indispensables d'une activité virile et d'une saine émulation... Et puis, ces trois Fédérations sont précisément celles pour qui le forfait de la France à Amsterdam, n'aurait qu'une importance relative. On ne jouera, en Hollande, au tennis, qu'en marge des jeux. Nous ignorons, à l'heure actuelle, s'il y aura un tournoi de football, et si celui de rugby sera autre chose qu'une épreuve de consolation comme le fut celui de 1924.

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C'est l'athlétisme, c'est la natation, c'est la boxe, c'est l'escrime qui comptent avant tout au palmarès. C'est l'athlétisme ayant tout, sport essentiel et primitif, on serait tenté de dire sacré, dirigé par des sortes d'apôtres, pratiqué par l'élite la plus représentative de notre race, dénué de ressources, pratiquement. C'est à ces sports, c'est à ce sport la question est là tout entière ! que le gouvernement et la Chambre se sont engagés solennellement à apporter leur appui. Cet appui, nous y comptons. Quelles que soient les avances que nous vaillent des gestes comme celui du Journal ou comme celui de M. Coty gestes pour lesquels notre gratitude leur est affectueusement acquise c'est aux maîtres actuels de la France, responsables, ils l'ont reconnu, de l'honneur du pavillon que nous souhaitons de voir monter, l'an prochain, dans le soleil, aux applaudissements du monde, c'est à eux que nous recommencerons à réclamer, dès la rentrée, la modeste somme envisagée, non comme une dédaigneuse aumône, mais comme notre droit et notre dû.

COUPE

MARCEL BERGER.

FLORIO

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LA BOURSE

Durant la semaine qui vient de s'écouler, notre marché a fait preuve de dispositions nettement plus favorables et tout permet de penser qu'elles se maintiendront facilement. La clientèle reste encore sur une certaine réserve, mais on n'en a pas moins enregistré un bon courant d'échanges qui laisse supposer que son abstention n'est plus aussi complète qu'auparavant.

Aux fonds d'Etat, les rentes françaises ont marqué des progrès sensibles. Les russes varient peu; par contre, les serbes et les ottomans sont toujours recherchés.

Le compartiment bancaire a largement profité de la reprise, entre autres, la « Banque de Paris » et l'« Union Parisienne >>. De même, les Chemins de fer français se retrouvent en progrès

sérieux.

Quoique résistants, les titres métallurgiques, de charbonnage et d'électricité, ont été un peu irréguliers.

En Banque, les diamantifères ont bénéficié d'un relèvement relatif; les mines d'or clôturent très fermes. Quant aux caoutchoutières, elles font preuve de meilleures dispositions.

SOCIETE GENERALE

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Bilan au 31 mai 1927

Actif. Espèces en caisse et à la Banque de France, 2.399.013.640 fr. 64+ 619.527.291 fr. 18; avoir dans les banques et chez les correspondants, 692.614.617 fr. 90-556 millions 843.113 fr. 65; portefeuille effets et bons de la Défense Nationale, 4.502.943.074 fr. 58 237.477.912 fr. 47; coupons à encaisser, 53.256.101 fr. 29 + 3.805.358 fr. 60; reports, 164.830.558 fr. 25+ 30.847.285 fr. 17; avances sur garanties, 173.485.402 fr. 51 -6.775.230 fr. 46; comptes courants divers, 1.605.921.074 fr. 94 +143.328.894 fr. 99; rentes, actions, bons et obligations, 35.150.710 fr. 34 21.082 fr. 95; participations financières, 25.427.885 fr. + 1.014.174 fr. 10; immeubles et Immobilière parisienne et départementale, 56.397.038 fr. 75; comptes d'ordre, 70.543.849 fr. 13 13.754.243 fr. 51; appels différés sur actions, 250 millions; intérêts sur actions, 10 millions. Total: 10.029.583.953 fr. 33.

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Passif. Capital, 500 millions; réserve, 75.499.841 fr. 08 15.044.164 fr. 13; comptes de chèques, 2.618.039.374 fr. 14 39.182.534 fr. 80; dépôts à échéance fixe, 163.674.900 fr. 3.489.500 fr.; acceptations à payer, 55.573.228 fr. 28 - 20 millions 734.692 fr. 16; comptes courants divers, 6.367.618.474 fr. 10 + 58.40.962 fr. 15; comptes d'ordre, 222.869.145 fr. 64 47.755.906 fr. 16; intérêts et dividendes à payer aux actionnaires, 14.101.288 fr. 60+ 11.997.774 fr. 40; solde du dernier exercice, 12.207.701 fr. 40+ 232.153 fr. 44. Total: 10 milliards 029.583.953 fr. 33.

CONSERVATION et BLANCHEUR des DENTS

POUDRE DENTIFRICE CHARLARD

Pharmacie.12.Bd.Bonne-Nouvelle.Part

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CHRONIQUE

renseignements précieux sur les stations estivales, les hôtels
recommandês, les horaires des trains et des autocars, etc.
Le Bureau du Tourisme des Chemins de fer d'Alsace et de

IMMOBILIERE Lorraine, 5, rue de Florence, à Paris, se tient à la disposition

L'OPINION, toujours soucieuse de rendre service à ses abonnés et lecteurs et de leur apporter toutes informations utiles, publie régu lièrement une CHRONIQUE IMMOBILIÈRE. Grâce au service des CHATEAUX DE FRANCE, dont la notoriété est le plus sûr garant de l'intérêt et de la sûreté des informations, les lecteurs de L'OPINION trouveront donc ici les meilleurs renseignements.

Toute la correspondance doit être adressée
à L'OPINION

< Service des CHATEAUX DE FRANCE >
7 bis, place du Palais-Bourbon, Paris

LES CHATEAUX DE FRANCE

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NORMANDIE. Très joli manoir, de construction moderne, avec tout confort, hall, petit et grand salon, 8 chambres de maîtres, salle de bains, communs, parc, jardins, beaux arbres, bordure rivière, canot, pêche. Prix à débattre. 0-149 SEINE-ET-MARNE. A une heure de Paris, bois d'environ 250 hectares, bien percé, étang, maison de garde avec pièces pour chasseurs, pêche et chasse. Pri:: 550.000 francs. 0-150 SEINE-ET-OISE. Ferme de 68 hectares avec habitation gentille, cour devant, dans agréable contrée, bord de rivière canotable, belle chasse, 7 hectares prairies. Prix: 260.000 fr.

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PARIS IMMEUBLES .

16° (Placement immobilier).- 4 pièces au rez-de-chaussée, revenu 5.780 francs. Prix: 105.000 francs; 5 pièces aux étages, revenu 7.300 francs. Prix: 135.000 francs; 6 pièces aux étages, revenu 9.100 francs. Prix: 170.000 francs. Cet immeuble est d'une très belle construction en pierres de taille, tout confort; le revenu serait donc de 5 %, frais d'achat compris, pour des appartements susceptibles d'être libres ou augmentés et dont la valeur peut être chiffrée au double en cas de revente.

Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine

Voici l'époque des vacances! Beaucoup de familles hésitent sur le choix d'une villégiature. Ignorent-elles que l'Alsace et la Lorraine leur offrent des stations thermales et climatiques réputées, des séjours d'été situés au milieu de sites enchanteurs? Les montagnes des Vosges, en particulier, sont le lieu de prédilection des personnes qui ont besoin d'une cure de repos aussi bien que des amateurs de randonnées dans la montagne et de sports.

Les belles routes de la montagne vosgienne sont sillonnées jusqu'au 15 septembre par un service d'autocars justement réputé, qui prolonge le magnifique réseau des Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine.

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des voyageurs pour renseignements plus détaillés. Il retient les places d'autocar et délivre des billets combinés chemin de fer et autocar à prix réduit et à longue validité.

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BANQUE DES PAYS DE L'EUROPE CENTRALE

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