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sportif. Qu'est-ce que je constate? Que, sans doute, des organisateurs de matches « au chiqué » peuvent râfler, d'un coup, quelques centaines de billets... Ne me parlez pas, pour eux, de réussites durables. Au contraire, je sais un Jeff Dickson, le directeur de « Manitot » auquel sont incontestablement dus le renouveau de la faveur de notre public pour la boxe et celui aussi de la « classe » de nos boxeurs. Ce serait faire un sot compliment à ce jeune Américain que de prétendre qu'il n'est pas un grand « businessman ». Il ne le serait pas que, quelle que soit sa fortune - que j'ignore il y a longtemps qu'il aurait dû céder la place à de plus heureux. Mais ce « gentleman» aime son métier. Il l'aime passionnément; chose toujours estimable, toujours touchante et morale. Il faut l'avoir vu désolé, consterné à l'annonce du forfait de quelque boxeur britannique qui lui « détériore » un programme, cherchant à radouber, au prix de n'importe quel sacrifice, la chaloupe qui prend l'eau, et, dès le lendemain, sautant dans le train, dans le bateau, filant à Londres, secouant l'indifférence britannique, obtenant là-bas, des promesses, des garanties d'intervention dont nul eût pu croire que les Anglais eussent jamais pu favoriser un pugilisme étranger.

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Et, à la veille d'un grand combat, comme il croit, passionnément, organiquement, que « c'est arrivé », que tout, dans le monde, le cède à l'intérêt du match qui va se disputer sous son amicale égide. Amicale, ce trait est important. Il peut se flatter d'avoir tout seul ou dans une large mesure fait la fortune d'un Pladner, en effet, ou d'un Humery, de les avoir personnellement conduits aux sommets de leur catégorie d'où ils peuvent jeter un regard sur le titre mondial. Cela non pas seulement en leur proposant des « bourses »>, mais leur servant de « bon génie », de guide... moral, encore ce mot ! Le crochet de Johnny Cuthbert qui, le mois dernier, endormait le petit Nordiste << pour le compte », atteignit presque aussi durement le maître de la vaste arène où le combat se disputait. Mais celui-ci réagit le premier. Je n'ai pas assisté aux scènes qui ont dû suivre ; je les reconstitue. Je serais bien surpris d'apprendre que Jeff Dickson n'ait pas apporté au jeune vaincu, à ce gosse de vingt ans, Humery, le réconfort de son amitié tutélaire, de sa confiance. Combien de << promoters » que je connais, eussent froidement « laissé tomber » un homme après cette écrasante défaite Lui, Dickson, a permis d'abord au garçon de se rétablir, l'a remonté, dopé moralement, lui a prêché le « lucky punch », lui a — bien mieux fourni bientôt l'occasion d'une revanche. Moins d'un mois après son « knock-out », l'Anzinois reprenait courage en « détruisant » selon la méthode qui lui avait réussi naguère, Paul Gay, ce redoutable « cheval d'essai ». Samedi dernier, il sapait quel drame ce fut l'énergique Pottier sur la brèche depuis combien d'années, et jeté au bas d'un pavois depuis juste trois semaines conquis.

Voilà Humery remis en selle, prêt à poursuivre la carrière sans doute éclatante qui l'appelle, qualifié bientôt pour rencontrer de nouveau Cuthbert! Lui, comme Pladner, comme Kid Francis, quand ils apporteront bientôt peut-être ! - à la France, un titre mondial dont nous sommes, comme c'est naturel, plus rapprochés dans ces catégories « légères» appropriées à notre gabarit, qu'ils songent, en se retournant vers a route parcourue, qu'ils songent au jeune Américain qu'ils ont encontré sur cette route, et dont la forte main loyale les a poussés, les a tirés aux endroits ingrats du chemin ! Puisse otre sport amateur recruter, dans toutes ses branches, des dirigeants de cette envergure et de cette « moralité» !

MARCEL BERger.

Chemin de fer de Paris à Orléans

Vente de cartes postales - Reproductions d'affiches illustrées

La Compagnie d'Orléans croit devoir rappeler au public qu'elle a édité cette année deux nouvelles séries de cartes postales reproduisant certaines de ses affiches illustrées qui ont obtenu tant de succès.

Ces séries comprennent :

La première, de grands châteaux comme certains de la vallée de la Loire et de beaux et curieux monuments religieux desservis par le réseau d'Orléans.

La deuxième, des sites de mer ou de montagne, stations thermales, vieilles bourgades, etc. auxquels on accède par le même réseau.

Elles sont mises en vente dans ses principales gares et bureaux de ville au prix de 2 francs la pochette de 10 sujets chacune.

Ces pochettes sont également adressées franco contre l'envoi de la somme de 2 fr. 25 (étranger, 2 fr. 60) par série au Bureau de la Publicité de laCompagnied'Orléans, 1, place Valhubert, à Paris (13).

Chemin de fer de Paris à Orléans

ET DU MIDI

Sports d'hiver aux Pyrénées SAISON 1927-1928

1. Paris à Villefranche-Vernet-les-Bains (Font-Romeu) (du 14 décembre à fin février ou début de Mars) Aller: Départ de Paris-Quai d'Orsay à 17 h. 14. Arrivée à Villefranche-Vernet-les-Bains à 9 h. 07 et à Font-Romeu à

10 h. 35.

Retour Départ de FontRomeu à 17 h. 18 et de VillefrancheVernet-les-Bains à 18 h. 48. Arrivée à Paris-Quai d'Orsay à 10 h. 55.

Wagon-lits et voiture directe 1re et 2 classes, avec couchettes en 1r classe pendant toute la saison des Sports d'hiver. Wagon-restaurant de Paris à Châteauroux à l'aller, de Perpignan à Toulouse et de Châteauroux à Paris, au retour.

II. Paris à Luchon (Superbagnères)
(du 19 décembre au début de mars)

Aller Départ de Paris-Quai d'Orsay à 17 h. 14. Arrivées à Luchon (Superbagnères): 1° à 7 h. 24 du 20 au 27 décembre inclus linsi que les dimanches et jours de fêtes en dehors de cette période; 2° à 9 h. 13 à partir du 28 décembre (sauf les dimanches et jours de fêtes).

Retour Départ de Luchon (Superbagnères) à 19 h. 56. Arrivée à Paris-Quai d'Orsay à 10 h. 55.

Voiture directe 1 et 2 classes, comportant un lits-toilette (lits complets avec draps) et un compartiment-couchettes en 1r classe pendant toute la saison des Sports d'hiver. Toutefois, du 19 décembre au 9 janvier à l'aller et du 20 décembre au 10 janvier au retour, la voiture lits-toilette avec couchettes sera remplacée par un wagon-lits et par une voiture directe de 1 et 2 classes.

Wagon-restaurant de Paris à Châteauroux et vice-versa.

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Si l'on vient à parler de la « Commission Herriot », chacun sait qu'il s'agit de la Commission du cinématographe, qui prépare en ce moment le statut si longtemps réclamé. Son créateur et son animateur, le ministre de l'Instruction publique, dirige ses travaux avec une autorité et un optimisme d'excellent augure. Une partie des quarante-trois membres de 1. Commission émane des branches les plus importantes de la cinématographie française, l'autre représente les intérêts gouvernementaux. Afin d'augmenter l'efficacité de ses efforts, on l'a divisée, d'après la qualité représentative de ses membres, en trois sous-Commissions, qui, en fait, se réduisent à deux : la première groupe les industriels et les commerçants du film: éditeurs, distributeurs et directeurs de salles; la seconde, des personnalités du cinématographe d'enseignement et d'éducation sociale.

C'est à la demande des producteurs de films que la Commissien Herriot a été réunie - ou, plus précisément, à la demande de la Société des auteurs de films, branche intellectuelle de la cinématographie, qui comprend des auteurs de scénarios, des adaptateurs, des metteurs en scène. Ce groupement abordait les débats en apportant des propositions nettement formulées. Il s'assurait par là le meilleur sur le reste de l'assemblée, dépourvu de tout plan. La Société des auteurs de films demandait qu'on protégeât la production française, en limitant l'importation des films. étrangers. Ces mesures sont d'une inspiration très classique, et leur application a donné, à l'occasion, d'utiles résultats dans d'autres domaines de l'industrie et du commerce. Toutefois, elles soulèvent d'habitude l'opposition des consommateurs, qui s'en croient réservés seulement les inconvénients, à l'exclusion des avantages. En l'occurrence, l'opposition était représentée par les directeurs de salles. Groupés en « syndicats », en « amicales », en « fédérations provinciales », appuyés sur des organes corporatifs remuants et batailleurs, ils protestèrent qu'on voulait les étrangler.

Il ne faut pourtant pas donner à ces différends plus d'importance qu'ils n'en ont en réalité. Tout le monde finira par s'apercevoir que prendre la défense de l'intérêt national, c'est assurer en définitive celle des intérêts particuliers. Si cette vérité première n'apparaît pas toujours avec l'évidence désirable, la faute en est peut-être à d'importantes maisons étrangères d'exploitation de films, importantes distributrices de publicité, qui s'appliquent à détourner d'elles les regards français. Mais on peut espérer que, grâce aux efforts de M. le président Herriot et des membres les plus clairvoyants qui l'entourent, cette vérité s'imposera bientôt aux yeux de tous..

La prochaine réunion de la Commission du cinéma doit avoir lieu le 21 courant. Chaque parti n'attend cependant pas cette date pour travailler les esprits et tâcher de convaincre ses adversaires de leur erreur. Le projet ébauché subit de vives attaques, et les directeurs de province sont sollicités par leurs partisans de dresser contre lui sénateurs et députés. Tous les jours, on entend 'des bruits de discussion, on lit des articles véhéments, on assiste à d'interminables palabres.

Le soir du mercredi 7 décembre, les débats avaient pour

cadre un luxueux restaurant des Champs-Elysées. La Société des auteurs de films fêtait son dixième anniversaire et la réception d'un éminent néophyte M. Herriot, dont l'ouvrage sur Madame Récamier va prochainement paraître à l'écran. Le dîner groupait des personnalités notoires et de ravissantes étoiles parisiennes. Toilettes élégantes, menu somptueux, orchestre — fallait-il encore plaindre la corporation cinématographique ? Le repas se poursuivait au milieu de cette atmosphère d'indulgence et de cordialité que dispense la bonne chère. Cependant, avec l'heure du dessert, chacun sentait approcher l'heure des discours, et en concevait, au fond de soi, une curiosité inquiète.

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Enfin, M. Burguet, président de la Société des auteurs de films, se leva. Il rendit hommage à ses prédécesseurs : en termes émus, aux regrettés Pouctal et Max Linder, en termes cordiaux à MM. de Morlhon et Michel Carré. Ps, il intronisa le nouveau confrère, M. Herriot. Celui-ci se montra très touché de l'accueil qu'on lui faisait. Il rappela le mot célèbre prononcé par Eugène Labiche, lors de sa réception à l'Académie française: << Messieurs, c'est la première fois que j'ai une épée au côté, et je n'ai jamais eu aussi peur ! » En tout cas, l'autre soir, le ministre n'avait besoin d'aucune arme pour se défendre les jolies femmes mettaient un collier de sourires autour de la table du banquet, et l'aspect général de l'assemblée, fort loin de la sévérité académicienne, ne traduisait que de bonnes disposi tions à l'égard de M. Herriot. Aussi, son discours prit-il vite le ton d'une allocution familière, sans pour cela dissimuler les difficultés que rencontre l'œuvre d'union à l'intérieur de la corporation du cinéma. Mais, comme le fit remarquer M. Herriot, cette œuvre-là n'est pas pour décourager un maire. Il serait bien inattendu qu'après avoir consacré tant d'unions matrimoniales à Lyon, il ne parvienne pas à unir par des liens indissolubles les diverses branches de la cinématographie française.

Les applaudissements crépitèrent et les convives se dispersèrent dans les salons voisins, où on leur offrit avec largesse café, liqueurs et cigares. C'est alors que se tint par petits groupes une sorte de meeting, au cours duquel se manifesta le principal obstacle que rencontre l'union si ardemment souhaitée.

Les auteurs de films, les producteurs, les membres influents de la Chambre syndicale française de la cinématographie, d'une part, et, d'autre part, les directeurs de salles, surtout les directeurs de pétites salles, s'accordaient si bien sur le principe de la limitation des importations en France de films étrangers, mais n'arrivaient pas à s'entendre sur les chiffres. Les premiers voulaient 416 films par an, c'est-à-dire la matière de quatre programmes de deux films, renouvelés chaque semaine. Les seconds ne démordaient pas du nombre de 650, qui leur laisse une plus grande latitude pour composer leurs programmes. M. Aubert, président de la Chambre syndicale française de la cinématogra phie, avait beau souligner la difficulté, déjà grande, de trouver chaque année dans la production mondiale 416 films intéres sants, soit plus d'un bon film par jour, les présidents de syndi cats de directeurs, mandatés par leurs groupements, ne se mon traient pas moins intraitables et revenaient obstinément au chiffre de 650. Ni la littérature ni le théâtre, sur l'ensemble de leur production, ne pourraient donner une aussi importante proportion d'œuvres de bonne qualité. Il semble imprudent de vouloir demander un effort beaucoup plus considérable au ciné matographe. C'est une question de simple bon sens ; aussi peut on s'attendre que l'accord se fera sans peine à la prochaine réu nion de la Commission Herriot, le 21 de ce mois, si tous les partis ont employé à de consciencieuses et impartiales réflexions le temps qui les séparait de cette date.

JACQUES ANTONY.

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CHRONIQUE

IMMOBILIERE

CHAMP DE MARS

Bel appartement à louer, salon, S. à M., 3 ch., off., cuis., S. de B., 2 cab. de toil., 2 étage, ch. de domest. Loyer: 22.000 francs.'

LE COMITE FONCIER 11, place de la Madeleine.

Durant la semaine écoulée, les transactions ont été très restreintes; néanmoins, l'ensemble du marché demeure résistant.

Aux fonds d'Etats, les rentes françaises sont activement traitées et s'inscrivent en progrès sensibles. Parmi les fonds étrangers, les russes et ottomans se sont légèrement améliorés.

Le groupe bancaire a témoigné d'une bonne résistance. Aux valeurs de transports, les chemins de fer sont en meilleure orientation et les valeurs de navigation restent inchangées. Parmi les industrielles diverses, l'activité règne sur titres d'électricité, alors que les valeurs d'eau et de gaz sont quelques peu délaissées.

En Banque, l'ensemble des valeurs de pétrole est assez indécis.

Dans le groupe sud-africain, les mines d'or se sont raffermies en fin de huitaine, mais les diamantifères restent hésitantes. Les valeurs de caoutchouc, bénéficiant du relèvement du cours de la matière, ont accentué leur reprise.

Tréfileries et laminoirs du Havre

Augmentation du capital de 90 à 100 millions de francs Conformément à l'autorisation qui lui a été donnée dans l'Assemblée générale extraordinaire du 15 juin 1920, le Conseil a décidé de porter le capital social de 90 à 100 millions de francs par l'émission de 100.000 actions nouvelles du nominal de 100 francs.

Ces 100.000 actions nouvelles sont réservées par préférence aux propriétaires des 900.000 actions actuelles à raison d'une nouvelle pour neuf anciennes. Les porteurs d'actions anciennes pourront aussi souscrire à titre réductible.

Le prix d'émission est fixé à 200 fr., payables 125 fr. en souscrivant, dont 25 fr. pour le premier quart et 100 fr. pour la prime et 75 fr. le 31 janvier 1928.

Les actions nouvelles auront droit à l'intégralité du dividende de l'exercice 1927-1928, de sorte qu'après leur complète libération, elles seront entièrement assimilées aux actions anciennes. La souscription sera close le samedi 31 décembre 1927, au Siège social, 28, rue de Madrid, Paris, et dans les Etablissements suivants: Banque nationale de Crédit, Banque transatlantique, Comptoir national d'escompte de Paris, Crédit commercial de France, Crédit Lyonnais, Société générale, ainsi qu'à toutes les Agences et Succursales.

Le gouvernement brésilien vient, d'accord avec les postes d'Argentine et d'Uruguay, de donner son approbation aux taxes et modalités proposées par la Compagnie générale aéro-postale pour le transport aérien du courrier dont elle a commencé le service régulier le mois dernier entre Natal et Buenos-Aires.

La surtaxe postale aérienne de l'Argentine et de l'Uruguay pour tous points du Brésil est uniformément fixée à 1 milreis (3 francs) par 5 grammes ou fraction de 5 grammes .Cette surtaxe sera perçue par l'Administration des Postes au moyen de timbres ordinaires portant une surcharge spéciale. La surtaxe pour l'Europe va être fixée d'ici au 1er janvier. La surtaxe aérienne pour la poste intérieure reste fixée comme précédemment.

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Chemins de fer du Midi

Le livret-agenda de la Compagnie du Midi La Compagnie du Midi vient de faire paraître l'édition 1928 de son livret-agenda. Ce document dont la présentation a été très sensiblement améliorée par rapport à l'édition 1927, comprend, indépendamment de la partie agenda proprement dite, réservée à l'inscription des recettes et dépenses journalières, une partie descriptive et humoristique, texte et illustration d'Henriot, avec planches en couleurs représentant des sites du réseau du Midi, et une partie consacrée aux renseignements généraux sur les tarifs voyageurs.

Ce livret-agenda est en vente au prix de 6 francs franco : 7 fr. 45) :

A la Compagnie du Midi, Service de Tourisme et de Publicité, 54, boulevard Haussmann, Paris (9);

A l'Agence de la Compagnie du Midi, 16, boulevard des Capucines, Paris (9).

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La Banque de l'Union Parisienne exécute pour le compte de sa clientèle toutes opérations courantes de banque et de bourse : Comptes de chèques, Comptes de dépôts à préavis et à échéances, Lettres de crédit, Opérations de change, Ordres de Bourse, Souscriptions, Opérations sur titres, Garde de titres, Prêts sur titres, Encaissement de tous coupons, Garantie contre le risque de remboursement au pair et de non vérification de tirages, Renseignements financiers, Surveillance de portefeuilles, etc...

La clientèle est assurée de recevoir au Service des Comptes Spéciaux, tous les renseignements qui peuvent lui être nécessaires. La Banque de l'Union Parisienne met à la disposition du public ses coffres-forts modernes installés dans des caves blindées. Ces coffres, divisés en compartiments de dimensions différentes, pré sentent les plus complètes garanties.

Conditions de location des coffres de dimensions courantes : Hauteur Largeur Profondeur 3 mois

6 mois

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