Histoire de la rivalité de la France et de l'Angleterre, Volumen6J. J. Blaise, 1818 |
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Términos y frases comunes
aimoit alloit ambassadeur Angleterre Anglois auroit avoient avoit bataille Biron Buckingham c'étoit cardinal catholiques Charles Ier comte d'Essex Condé conseil amphictyonique couronne Cromwel crut d'Élisabeth déja devoit disoit donnoit duc d'Yorck duc de Marlborough duchesse Élisabeth ennemis Espagnols étoient étoit faisoit femme fille fils foible foiblesse François François Ier gleterre gloire grace guerre Guillaume Guillaume III haine Heinsius Henri Henri III Henri IV Hollande Hollandois intérêts Irlandois l'Angleterre l'archiduc l'empereur l'Espagne l'Europe ligue loi salique Londres long-temps lord Louis XIV Louis XIV avoit maison d'Autriche maréchal mariage Marie Marlborough marquis de Torci Mazarin Mémoires de Torci ministre monarchie Monmouth mort mourut n'avoient n'avoit nation négociation pagne paix parcequ'il parceque parlement paroît père peuple Philippe Philippe IV politique pouvoit prince d'Orange prince Eugène protestants puissance règne reine Anne religion Richelieu Riswick rivalité rois royaume secours seroit seul Stuart succession sujets Sully sur-tout tion Torci trône vouloit voulu Wighs zéle
Pasajes populares
Página 189 - ... sont le lieu où il se renferme ; on ne sait jamais dans laquelle de ces chambres il couche ; et on assure qu'il ne couche jamais deux nuits de suite dans la même, de peur d'y être égorgé.
Página 190 - Ses enfants, loin d'être son espérance, sont le sujet de sa terreur; il en a fait ses plus dangereux ennemis. Il n'a eu toute sa vie aucun moment d'assuré; il ne se conserve qu'à force de répandre le sang de tous ceux qu'il craint. Insensé, qui ne voit pas que sa cruauté, à laquelle il se confie, le fera périr!
Página 389 - Moi-même, je l'avoue avec quelque pudeur, Charmé de mon pouvoir, et plein de ma grandeur, Ces noms de roi des rois et de chef de la Grèce, Chatouillaient de mon cœur l'orgueilleuse faiblesse.
Página 389 - A vaincre tant de fois mes forces s'affaiblissent: L'État est florissant, mais les peuples gémissent ; Leurs membres décharnés courbent sous mes hauts faits, Et la gloire du trône accable les sujets1.
Página 388 - Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Página 190 - Il ne connoît ni les doux plaisirs, ni l'amitié encore plus douce: si on lui parle de chercher la joie, il sent qu'elle fuit loin de lui , et qu'elle refuse d'entrer dans son cœur. Ses yeux creux sont pleins d'un feu âpre et farouche, ils sont sans cesse errants de tous côtés : il prête l'oreille au moindre bruit, et se sent tout ému; il est pâle, défait, et les noirs soucis sont peints sur son visage toujours ridé.
Página 358 - ... la réserve de Naples et de la Sicile pour le Roi mon petit-fils, ou enfin pour la réserve de Naples seule à toute extrémité. Je lui ferois la même gratification pour Dunkerque conservé sous mon obéissance, avec son port et ses fortifications, sans la réserve de Naples...
Página 269 - L'intérêt de l'Église romaine m'est sans «doute aussi cher que ma vie ; mais c'est ce môme intérêt qui me fait voir avec douleur ce qui se passe, et je vous avoue aussi que j'aime assez la France pour plaindre la désolation d'un si beau royaume. Je souhaite de tout mon ' ' cœur de me tromper dans mes conjectures...
Página 189 - Tout l'agite , l'inquiète , le ronge ; il a peur de son ombre ; il ne dort ni nuit ni jour : les dieux pour le confondre l'accablent de trésors dont il n'ose jouir.
Página 8 - Navarre , ce n'est pas moi qui vous empêche de coucher dans votre lit, c'est vous qui m'empêchez de coucher dans le mien ; la peine que vous prenez vous plaît et vous nourrit; le repos est le plus grand ennemi de votre vie.