 Cet aimable officier, si j'avais été femme, m'aurait inspiré la passion la plus violente, un amour à l'Hermione. J'en sentais les mouvements naissants; j'étais déjà timide. Je n'osais le regarder autant que je l'aurais désiré. Si j'avais été...  Revue des deux mondes - Página 6671906Vista completa - Acerca de este libro
 | Stendhal - 1855 - 380 páginas
...inspiré la passion la plus violente, un amour à l'IIcrmionc. J'en sentais les mouvements naissants, j'étais déjà timide. Je n'osais le regarder autant...j'avais été femme, je l'aurais suivi au bout du monde. Quelle différence d'un Français à mon officier! Quel naturel, quelle tendresse chez ce dernier!... | |
 | Stendhal - 1855 - 698 páginas
...inspiré la passion la plus violente, un amour à l'IIcrmiouc. J'en sentais les mouvements naissants, j'étais déjà timide. Je n'osais le regarder autant...Si j'avais été femme, je l'aurais suivi au bout dû monde. Quelle différence d'un Français à mon officier! Quel naturel, quelle tendresse chez ce... | |
 | Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1859 - 414 páginas
...inspiré la passion la plus violente, un amour à l'Hermionc. J'en sentais les mouvements naissants. J'étais déjà timide. Je n'osais le regarder autant...été femme, je l'aurais -suivi au bout du monde... » Henri Beyle tombe; ici da'ns l'habituel défaut de sa phraséologie sentimentale : l'exaltation... | |
 | Stendhal - 1908 - 492 páginas
...inspiré la passion la plus violente, un amour à l'Hermione. J'en sentais les mouvements naissants ; j'étais déjà timide. Je n'osais le regarder autant...j'avais été femme, je l'aurais suivi au bout du monde. Quelle différence d'un français à mon officier ! Quel naturel, quelle tendresse chez ce dernier... | |
 | Alphonse Séché - 1911 - 208 páginas
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 | Stendhal - 1934 - 370 páginas
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 | Stendhal, Jean Rodes - 1926 - 326 páginas
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 | Jean Davray - 1949 - 204 páginas
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 | Jean Davray - 1949 - 204 páginas
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 | Stendhal - 1955 - 1786 páginas
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