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n'est pas compliqué. Le remède est à portée de votre main, sachez le prendre, car enfin, si les Pilules Pink ont si bien guéri Mlle Marie-Louise Maillard, il n'y a pas de raison pour qu'elles ne vous guérissent pas aussi. De Montbard (Côted'Or), où elle habite, 3, rue des Tanneries, Mlle Maillard nous écrivait :

« J'ai eu la bonne inspiration de prendre vos Pilules Pink et, grâce à elles, ma santé est redevenue excellente. J'étais anémiée, pâle, sans forces et incapable de travailler. Mon appétit, autrefois si bon avait complètement disparu et je mangeais, comme l'on dit, du bout des lèvres. J'avais des points de côté et de l'oppression dès que je marchais un peu vite, lorsque je montais des escaliers ou que je faisais un effort. La migraine me prenait, pour ainsi dire, chaque jour et j'avais aussi des éblouissements, des étourdissements. A certains moments, j'aurais été dans l'obligation de marcher que je n'aurais pas pu. Mon sommeil était souvent troublé et j'étais devenue très frileuse. Vos Pilules Pink ont modifié tout cela. Il est facile de se rendre compte qu'elles m'ont bien donné du sang, car maintenant j'ai des couleurs, je me sens forte, je mange avec appétit et je n'ai plus froid. >>

Les Pilules Pink ont, en effet le pouvoir de donner du sang et elles en fournissent avec chaque pilule. Ce sang nouveau riche et pur, se répand dans tout l'organisme jusque dans ses plus petits recoins et il fait un travail de régénération. Chargé, qu'il est, de principes riches, il fortifie sur son passage tous les organes engourdis et affaiblis et il se produit de suite un renouveau d'activité, de vitalité, qui est la condition essentielle de la santé.

Les Pilules Pink sont souveraines contre l'anémie, la chlorose, la faiblesse générale, les maux d'estomac, migraines, névralgies, douleurs, épuisement nerveux.

Elles sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépôt : Pharmacie Gablin, 23, rue Ballu, Paris, 3 fr. 50 la boîte, 17 fr. 50 les six boîtes franco.

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Rédaction et Administration : 4, Rue Chauveau-Lagarde, Paris. Téléphone Gu' 43-57

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reins et combat l'obésité.

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parmi lesquels: Portrait de Duranty.

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par EDGAR DEGAS

Les Malheurs de la Ville d'Orléans.

La Leçon de Musique. La Femme au piano

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Les Grandes Danseuses Vertes.

Vente après décès: GALERIE GEORGES PETIT, rue de Sèze, N° 8, les 6, 7, et 8 mai à 2 heures.
EXPOSITIONS: particulière le 4 mai; publique le 5 mai.

M. Ch. DUBOURG, suppléant Me F. LAIR-DUBREUIL, 6, rue Favart, mobilisé; M DELVIGNE, Suppléant M. Edmond PETIT, 25, rue Coquillère, mobilisé.

MM. BERNHEIM-JEUNE, 25, boulevard de la Madeleine; MM. DURAND-RUEL, 16, rue Laffitte; M. A. VOLLARD, 28, rue de Grammont.

LIQUEUR

CORDIAL-MEDOC

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Chronologie

Beaucoup de Français, et surtout les parlementaires, se plaignent d'être mal informés sur les circonstances qui intéressent le plus directement notre politique. Ils ont raison. De cette information insuffisante, ils rendent responsables le gouvernement, « qui garde tout pour lui », ou les journaux « qui sont mal faits ». Nous n'entreprendrons ni l'apologie. du gouvernement, ni celle de la presse. Nous observerons seulement que, dans bien des cas, il suffirait au Français, même parlementaire, de lire attentivement chaque jour deux ou trois journaux français pour être mieux éclairé qu'il ne peut l'être par toutes les révélations faites au Comité secret ou aux Commissions. Mais il faut apporter à la lecture des journaux, bien ou mal faits, un peu de soin et de méthode.

Prenons un exemple, le plus actuel l'offre de paix faite par l'Autriche-Hongrie. Nous prévenons le lecteur, afin qu'il nous garde quelque indulgence, que nous n'avons pas été admis à entendre les explications fournies mercredi dernier par le gouvernement, que nous ne connaissons aucun député faisant partie des commissions devant lesquelles ces explications ont été données, et que, en eussions-nous connu un, nous nous serions connu un, nous nous serions fait scrupule de l'induire en indiscrétion. Nous n'interrogeons que les journaux.

Les journaux nous apprennent que le 31 mars 1917, le prince Sixte de Bourbon a communiqué à M. Poincaré une lettre autographe de l'empereur Charles Ier. Dans cette lettre, il est écrit : « J'appuierai par tous les moyens, et en usant de toute mon influence personnelle auprès de mes alliés, les justes revendications françaises relatives à l'Alsace-Lorraine. Quant à la Belgique, elle doit être rétablie entièrement dans sa souveraineté, en gardant l'ensemble de ses possessions africaines, sans

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préjudice des dédommagements qu'elle pourra recevoir pour les pertes qu'elle a subies. Quant à la Serbie, elle sera rétablie dans sa souveraineté et, en gage de notre bonne volonté, nous sommes disposés à lui assurer un accès équitable et naturel à la mer Adriatique, ainsi que de larges concessions économiques. Les événements qui se sont produits en Russie m'obligent de réserver mes idées à ce sujet jusqu'au jour où un gouvernement légal et définitif y sera établi.» On peut supposer que

cette lettre fut écrite dans la dernière dizaine de mars.

Les journaux nous apprennent qu'il y eut une seconde lettre de l'empereur Charles, également communiquée au président de la République française. Le souverain y déclare « qu'il est d'accord avec son ministre ». Cette seconde lettre répondant vraisemblablement aux objections soulevées par la première, la question de l'Italie, que la première passait sous silence, doit être traitée. dans la seconde. Supposons entre les deux lettres impériales, étant donné le temps nécessaire aux allées et venues des messagers, un intervalle approximatif d'un

mois.

Le 10 mai 1917, le Matin reproduit les lignes suivantes, tirées de la Gazette populaire de Cologne: « Il y a chez nous des gens qui prétendent que l'Autriche songe à séparer sa cause de celle de l'Allemagne. L'AutricheHongrie doit pourtant savoir que cette guerre a été commencée par elle et à cause d'elle. L'empereur Charles, tout comme François-Joseph, sait tout ce qui dépend de l'issue de cette guerre pour l'avenir de la monarchie, et qu'une deuxième guerre déciderait du sort de l'Autriche-Hongrie. Ceux qui, chez nous, fondent leur pessimisme sur l'attitude de la double monarchie ne peuvent pas effrayer les politiciens qui réfléchissent avec calme. >>

Le 22 mai, M. Ribot, président du conseil, ministre des affaires étrangères, déclare à la Chambre des députés « Ils viendront demander la paix, non pas

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