La Revue hebdomadaire, Volúmenes7-8;Volumen34,Partes7-8René Moulin Nourrit et Cie, 1925 |
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Pasajes populares
Página 20 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Página 291 - J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin.
Página 19 - La terreur de son nom rendra nos villes fortes, On n'en gardera plus ni les murs ni les portes, Les veilles cesseront au sommet de nos tours ; Le fer, mieux employé, cultivera la terre ; Et le peuple, qui tremble aux frayeurs de la guerre, Si ce n'est pour danser, n'orra plus de tambours.
Página 205 - L'ivoire, où ses mains ont des ailes, Et, comme des papillons blancs, Sur la pointe des notes frêles Suspendent leurs baisers tremblants; L'hermine vierge de souillure, Qui, pour abriter leurs frissons, Ouate de sa blanche fourrure Les épaules et les blasons...
Página 205 - Un givre invisible descend. De quel mica de neige vierge, De quelle moelle de roseau, 30 De quelle hostie et de quel cierge At-on fait le blanc de sa peau?
Página 486 - Mais, c'est l'Ascension aujourd'hui; laissons la terre et le ciel de la terre, montons plus haut que notre demeure, et suivons Jésus-Christ où il est entré. Cette fête est bien belle; c'est la fête des âmes détachées, libres, célestes, qui se plaisent, au-delà du visible, où Dieu les attire.
Página 11 - La belle Oranthe sera tienne ; C'est chose qui ne peut faillir. Le temps adoucira les choses , Et tous deux vous aurez des roses Plus que vous n'en sauriez cueillir. STANCES'.
Página 92 - J'en ai acquis la conviction: nous ne paraîtrons grands auprès d'eux qu'autant qu'ils connaîtront la grandeur de notre religion. Nous ne nous imposerons à eux qu'autant que la puissance de notre foi s'imposera à leurs regards.
Página 17 - Fais choir en sacrifice au démon de la France Les fronts trop élevés de ces âmes d'enfer ; Et n'épargne contre eux, pour notre délivrance , Ni le feu ni le fer.
Página 92 - Depuis six ans que j'ai fait connaissance avec les musulmans 'd'Afrique, je me suis rendu compte de la folie de certains modernes qui veulent séparer la race française de la religion qui l'a faite ce qu'elle est et d'où vient toute sa grandeur.