| Alfred de Musset - 1849 - 428 páginas
...expira. ?.« siècle se fermait — et la mélancolie, Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...L'art avec lui tomba. — Ce fut le dernier nom Dont la peuple toscan ait gardé la mémoire, Aujourd'hui l'art n'est plus — personne n'y veut croire.... | |
| Alfred de Musset - 1877 - 386 páginas
...expira. Le siècle se fermait, — et la mélancolie, Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...Aujourd'hui l'art n'est plus, — personne n'y veut croire. JNotre littérature a cent mille raisons Pour parler de noyés, de morts et de guenilles. Elle-même... | |
| Alfred de Musset - 1885 - 1048 páginas
...expira. Le siècle se fermait, — et la mélancolie. Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...lèvres de sa mère, L'art avec lui tomba. — Ce fût le dernier nom Dont le peuple toscan ait gardé la mémoire. Aujourd'hui l'art n'est plus, —... | |
| Alfred de Musset - 1887 - 418 páginas
...expira. Le siècle se fermait, — et la mélancolie, Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...veut croire. Notre littérature a cent mille raisons Elle-même est un mort que nous galvanisons. Elle entend son affaire en nous peignant des tilles, En... | |
| Alfred de Musset - 1887 - 428 páginas
...bomme avait quitté la terre Pour se suspeudre au ciel, comme le uourrissou Se suspeud et s'attacbe aux lèvres de sa mère, L'art avec lui tomba. — Ce fut le deruier uom frout le peuple toscau ait gardé la mémoire. Aujourd'bui l'art u'est plus, — persouue... | |
| Alfred de Musset - 1895 - 328 páginas
...expira. Le siècle se fermait,—et la mélancolie, 30 Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...tomba. — Ce fut le dernier nom Dont le peuple toscan 89 ait gardé la mémoire. Aujourd'hui l'art n'est plus, — personne n'y veut croire. JX[ptre littérature... | |
| Alfred de Musset - 1895 - 330 páginas
...s'attache aux lèvres de sa mère, L'art avec lui tomba. — Ce fut le dernier nom Dont le peuple toscan39 ait gardé la mémoire. Aujourd'hui l'art n'est plus,...veut croire. Notre littérature a cent mille raisons 5 Pour parler de noyés, de morts, et de guenilles, Elle-même est un mort que nous galvanisons. Elle... | |
| Alfred de Musset - 1896 - 420 páginas
...expira. Le siècle se fermait, — et la mélancolie, Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...mémoire. Aujourd'hui l'art n'est plus, — personne n'y veutcroiiê. Notre littérature a cent mille raisons Pour parler de noyés, de morts, et de guenilles,... | |
| Alfred de Musset - 1899 - 438 páginas
...expira. Le siècle se fermait, — et la mélancolie, Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitté la terre...suspendre au ciel, comme le nourrisson Se suspend et s'atlache aux lèvres de sa mère, L'art avec lui tomba. — Ce fut le dernier nom Dont le peuple toscan... | |
| Ernst Foss - 1902 - 198 páginas
...me"lancolie, Comme un pressentiment, des vieillards s'empara. L'art, qui sous ce grand homme avait quitte la terre Pour se suspendre au ciel, comme le nourrisson Se suspend et s'attache aux levres de sa mere, L'art avec lui tomba.11 Doch hat, glaube ich, Rafael ihm näher gestanden. In ihn... | |
| |