Revue historique, littéraire et archéologique de l'Anjou

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Cosnier et Lachèse, 1903
 

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Página 409 - ... explications... — Oui! opina Tarsul, c'est exact, c'est la race qui veut cela!... Voyez-vous, si, le siècle passé, on a tant guillotiné, je soupçonne que cette particularité d'impertinence ya été pour beaucoup. Il ne pouvait plus s'agir d'un autre motif de rancune... On avait tout repris aux ci-devant. Leurs avantages étaient abolis. Et néanmoins, le public sentait qu'il restait encore un compte à régler : l'opinion des nobles sur ceux qui ne l'étaient pas... Ah! l'on pouvait avoir...
Página 512 - Chambre des députés, tendant à la modification de l'article 24 de la loi du 7 avril 1903, relative à l'application, à la ville de Paris et au département de la Seine, de la loi du 15 février 1902 sur la "protection de la santé publique.
Página 417 - Elle aurait voulu vivre dans quelque vieux manoir, comme ces châtelaines au long corsage qui, sous le trèfle des ogives, passaient leurs jours, le coude sur la pierre et le menton dans la main, à regarder venir du fond de la campagne un cavalier à plume blanche qui galope sur un cheval noir.
Página 405 - ... j'avais à leur faire du bien ! C'est une volupté qui m'est depuis longtemps inconnue, car maintenant j'ai le cœur sec, les larmes se sont séchées. Mais malheur aux hommes qui m'ont rendu corrompu et méchant, de bon et de pur que j'étais ! Malheur à cette aridité de la civilisation qui dessèche et étiole tout ce qui s'élève au soleil de la poésie et du cœur ! Cette vieille société corrompue, qui a tout séduit et tout...
Página 404 - Ah! vous croyez, parce que je passe ma vie à tâcher de faire des phrases harmonieuses, en évitant les assonances, que je n'ai pas, moi aussi, mes petits jugements sur les choses de ce monde ? Hélas oui! et même je crèverai enragé de ne pas les dire.
Página 81 - Mais si un code de lois ne peut sortir parfait et tout entier de cette assemblée nationale, nous voulons du moins que sa sagesse frappe du premier coup sur les abus ruineux du régime fiscal et féodal, qui désolent la nation, et qu'elle pourvoie, par des ordonnances provisoires, à l'encouragement du commerce, à l'équitable distribution de la justice et au rétablissement de l'ordre public. Nous demandons ensuite que deux commissions soient nommées et établies par les États généraux.
Página 232 - Mon fils , vois-tu ce peuple immense ? Comme il accourt de toutes parts ! De ces guerriers chers à la France Vois-tu flotter les étendards? C'est à l'autel de la patrie Que l'amour dirige leurs pas ; Tous vont à leur mère chérie Se dévouer jusqu'au trépas.
Página 399 - Jeune (29 septembre), ce peut être parce qu'il n'a pas eu connaissance du premier de ces événements, plus éloigné, qu'après le second, ou encore parce que la mention de la mort de Charles le Jeune se liait étroitement au récit de la nomination de Vulfadus qui précède. — Le...
Página 396 - I, p. 261) que cet auteur s'intéresse peu à la Germanie, se préoccupe davantage de la France occidentale et est particulièrement bien renseigné sur la marche de Bretagne. Comme, d'autre part, il n'a certainement pas utilisé ici de sources écrites, il est l'écho d'un contemporain originaire de l'Ouest. On peut supposer, avec...
Página 397 - Diimmler (II, 150). M. Lair dans son introduction à Dudon de Saint-Quentin (p. 38, note 5), a déjà relevé que les chroniques signalant sa présence dans le Nord et dans la Méditerranée de 831 à 860 sont sans autorité. Il faut aller plus loin et dire qu'aucun texte sûr ne signale Hasting avant 882. Il est plus que probable que nous sommes...

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