Histoire de Gil Blas de SantillaneJ.J. Dubochet et cie, 1838 - 829 páginas |
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Términos y frases comunes
agréable ajouta-t-il alguazil amant assez Asturies auroit Aurore avez avoient avois avoit bientôt c'étoit cavalier chambre charmé château cher chose comédiens comte connétable connoissance corrégidor d'avoir dame demander demeure dessein devoit dire dis-je discours dit-il don Alphonse don César don Félix don Louis don Mathias don Raphaël duc de Lerme ducats êtes étoient étoit faisoit falloit femme fille fùmes garçon homme j'ai j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus jeune joie jour là-dessus laissa Laure Leontio m'avoit m'en madame Madrid maison maître maîtresse malheur Marialva matin ment messieurs ministre monsieur Moralès nuit Pacheco parler paroissoit paroître paroles parut passer Pedro père personne pistoles plaisir Polan poursuivit-il pouvoit prenois présent prince prit reconnoissance rendre répondis-je répondit répondit-il royaume de Valence s'écria Salamanque Santillane Scipion Ségovie seigneur don seigneur Gil Blas sentiments Séraphine seroit Siffredi sorte souper Tolède trouver vais valet Valladolid venoit veux vint Zénète
Pasajes populares
Página 491 - Désormais je choisirai mieux mes confidents ; j'en veux de plus capables que vous de décider. Allez, poursuivit-il en me poussant par les épaules hors de son cabinet, allez dire à mon trésorier qu'il vous compte cent ducats, et que le ciel vous conduise avec cette somme ! Adieu, monsieur Gil Blas ; je vous souhaite toutes sortes de prospérités, avec un peu plus de goût.
Página 23 - Ah ! très-volontiers , s'éoria-t-il ; je sais trop bon gré à mon étoile de m'avoir . , . . . ! fait rencontrer l'illustre Gil Blas de Santillane , pour ne pas jouir de ma bonne fortune le plus longtemps que je pourrai. Je n'ai pas grand appétit, poursuivit-il; je vais me mettre à table pour vous tenir compagnie seulement , et je mangerai quelques morceaux par complaisance.
Página 25 - Blas, me dit-il en se levant de table, je suis trop content de la bonne chère que vous m'avez faite pour vous quitter sans vous donner un avis important dont vous me paraissez avoir besoin. Soyez désormais en garde contre les louanges. Défiez-vous des gens que vous ne connaîtrez point.
Página 437 - ... C'était un discours diffus, une rhétorique de régent usé, une capucinade. Je ne fus pas le seul qui y prit garde. La plupart des auditeurs, quand il la prononça, comme s'ils eussent été aussi gagés pour l'examiner, se disaient tout bas les uns aux autres: voilà un sermon qui sent l'apoplexie.
Página 16 - Il me prit chez lui dès mon enfance, et se chargea de mon éducation. Je lui parus si éveillé, qu'il résolut de cultiver mon esprit. Il m'acheta un alphabet, et entreprit de m'apprendre lui-même à lire: ce qui ne lui fut pas moins utile qu'à moi; car en me faisant connaître mes lettres, il se remit à la lecture, qu'il avait toujours fort négligée, et à force de s'y appliquer, il parvint à lire couramment son Bréviaire: ce qu'il n'avait jamais fait auparavant.
Página 437 - J'attendis encore une homélie, pour mieux savoir à quoi m'en tenir. Oh ! pour celle-là, elle fut décisive. Tantôt le bon prélat se rebattait, tantôt il s'élevait trop haut ou descendait trop bas.
Página 110 - Oui, ce merveilleux secret que je te révèle, et que la nature impénétrable à mes confrères n'a pu dérober à mes observations, est renfermé dans ces deux points, dans la saignée et dans la boisson fréquente. Je n'ai plus rien à t'apprendre, tu sais la médecine à fond, et, profitant du fruit de ma longue expérience, tu deviens tout d'un coup aussi habile que moi. Tu peux...
Página 25 - ... m'avez faite pour vous quitter sans vous donner un avis important dont vous me paraissez avoir besoin. Soyez désormais en garde contre les louanges. Défiez-vous des gens que vous ne connaîtrez point. Vous en pourrez rencontrer d'autres qui voudront, comme moi, se divertir de votre crédulité, et peut-être pousser les choses encore plus loin. N'en soyez point la dupe, et ne vous croyez point sur leur parole la huitième merveille du monde.
Página 14 - Qui que tu sois, ami lecteur, tu vas Ressembler à l'un ou à l'autre de ces deux écoliers. Si tu lis mes aventures sans prendre garde aux instructions morales qu'elles renferment ' , tu ne tireras aucun fruit de cet ouvrage; mais si tu le lis avec attention, tu y trouveras, suivant le précepte d'Horace, l'utile mêlé avec l'agréable.
Página 102 - Martin Onez, revenez dans trois heures en faire autant, et demain vous recommencerez. C'est une erreur de penser que le sang soit nécessaire à la conservation de la vie; on ne peut trop saigner un malade.