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de transformation; la verticale », celle de Hugo Stinnes, vise à concentrer dans les mêmes mains tous les degrés de la fabrication et tous les moyens d'écoulement et de vente : matières premières, usines, charbon, moyens de transport, banques, etc...

Or l'A. E. G. semble pencher pour l'organisation verticale: elle vient de s'unir avec les usines Linke-Hoffmann, qui fabriquent des locomotives et des wagons. Les conditions de l'accord laissent à la charge de l'A.E.G. une dette de 15 millions de marks, à payer comptant; et l'émission que vient de lancer l'A.E.G. atteint 50 millions de marks d'actions ordinaires et 250 millions d'actions privilégiées, ce qui porte à 850 millions de marks le capital total de l'A.E.G.

On a beau tenir compte de la dépréciation du papier allemand, de la manie du colossal qui peut gagner même d'aussi avisés financiers qu'un Rathenau, il y a dans les émissions formidables l'annonce d'un grand dessein: surtout quand on rapproche cette émission de l'émission récente de 250 millions d'obligations réalisée par la maison. Krupp.

La crise du commerce suisse

C'est la crise-type des pays à change élevé; elle est due aux extêmes difficultés d'exportation qui résultent de la plus-value du franc suisse, et à l'envahissement du marché intérieur par les produits étrangers, allemands en particulier. Pour enrayer le mal, le chef du département de l'Economie publique, qui prévoit un passif d'un milliard de francs suisses de la balance commerciale, n'a pu que demander au Conseil Fédéral pleins pouvoirs pour appliquer les remèdes habituels : majoration temporaire des droits de douane, et restriction des importations. On appréciera la gravité de la crise, si l'on note que les deux arrêtés prescrivant ces mesures sont soustraits à la clause réfé rendaire et doivent recevoir une application immédiate.

Les gros industriels suisses, désireux de reprendre les relations commerciales avec leurs ex-clients de l'Europe Centrale, ont tenté de leur côté une réorganisation des échanges basée sur le système primitif du troc: c'est faire table rase de toutes les méthodes commerciales, fruit de siècles de civilisation, pour remonter d'un coup aux usages des trafiquants. Les résultats de cette initiative, peut-être nécessaire, ont été jusqu'ici décevants. Théoriquement, la « Société Coopérative suisse pour l'échange des marchandises », au capital d'un million, est chargée de centraliser les offres de vente suisses et de rechercher quelles marchandises de compensation le destinataire pourrait envoyer en Suisse. En fait, les opérations réalisées n'ont pas dû être nombreuses, puisque le pourcentage prélevé par la Société ne suffit pas à la faire vivre, et qu'elle a déjà mangé le tiers du capital social.

On parle d'une expédition privée, lancée par un avocat suisse qui s'est terminée en aventure de cinéma. Le bateau italien chargé de marchandises

suisses affrété à destination de la Russie, après avoir erré sur les côtes de la Mer Noire, a lâché une partie de sa cargaison à des commerçants locaux en échange de peaux et fourrrures que les vendeurs trop pressés avaient prises pour une valeur très supérieure à leur valeur réelle.

En 1920, un commissionnaire en tissus de Zurich a fait un envoi de 800.000 francs de marchandises en Pologne et importé des bois pour une valeur correspondante. A l'arrivée, on constata que les bois étaient pourris, et l'expertise leur attribua une valeur de 5.000 francs.

Le troc a fait des dupes. Le seul moyen de reprendre les écharges serait l'ouverture de crédits à long terme garantis par le gouvernement, avec avances assurées par lui. La crise n'est pas encore, paraît-il, assez grave pour que le Conseil Fédéral se décide à s'engager dans cette voie.

Deux méfaits

du « dumping » allemand

Les machines agricoles allemandes importées en France ont à supporter actuellement 30 francs de frais supplémentaires par quintal; elles sont offertes sur notre marché à 240 francs le quintal. En France, les prix de revient sont de 50 à 60 o/o plus élevés qu'en Allemagne, différence établie en comparant deux usines de capacité égale, également bien outillées. La Chambre syndicale des constructeurs de machines agricoles français calcule donc que la compensation minima nécessaire à l'industrie française, traduite par une élévation des droits de douane, doit être de 60 o/o de 210 francs, soit 126 fr. le quintal, droits de douane quadruplés.

Le change bas n'est pas le seul coupable: la vieille astuce boche camoufle en machines de marques françaises des produits allemands. Il n'est donc pas étonnant que les industriels français dé- j sirent être consultés par l'administration lorsqu'elle fixera les contingents de matériel sarrois à introduire en franchise.

Conclusion: empêcher l'Allemagne de subventionner indirectement son industrie, et de vivre au jour le jour avec des émissions nouvelles de papier-monnaie en obtenant un droit de regard sur le budget allemand, et en obligeant l'Allemagne à payer sa dette.

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Mais le jeu même des réparations a causé en Angleterre un dumping d'un autre ordre. Sur les deux millions de tonnes de navires livrés par les Allemands, la Commission des réparations a remis 500.000 tonnes à l'Angleterre. Cet afflux de tonnage a gravement influé sur les cours, particulièrement en Angleterre, où l'encombrement du marché est extrême : c'est ainsi qu'on voit vendre à 6 livres 10 sh. la tonne un bateau construit en 1911, pour le compte d'armateurs anglais, sur le pied de 8 livres 10 sh. la tonne. Il est vrai qu'il y a preneur pour les unités trop âgées... mais c'est en Allemagne; grâce à un tour de passe-passe, on a vu faire retour à l'Allemagne deux navires cédés à l'Angleterre au titre réparations.

Le dumping joue quand l'Allemagne répare en nature, il joue encore quand elle ne répare pas en argent, et ces deux effets opposés contribuent à nous expliquer que tant de conférences n'aient pu venir à bout du problème. ROBERT FABRE.

CE QU'ON LIT

LENGER.

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Les Quatre Saisons, par Marcel BouBien peu de chroniques de journaux méritent qu'on les recueille; M. Marcel Boulenger peut réunir les siennes, et cela indique avec quel soin elles sont pensées et quel talent elles sont écrites. M. Boulenger est curieux des goûts et des snobismes de la bonne société, il nous les expose, et ses recueils de chroniques seront plus tard de précieux documents. Mais ce Paris mondain ne lui plaît guère, et c'est dans les bois et les décors classiques de Chantilly qu'il est vraiment chez lui. Le Carnet par lequel se terminent les Quatre Saisons en témoigne; ce sont des pages d'une sincérité et d'une saveur délicieuses.

L'Apologie pour les nouveaux riches, que publie la collection des Trente rappelle beaucoup ces a physiologies » qui firent la joie de nos grands pères à la fin du règne de Louis-Philippe. Elle est d'une verdeur et d'une verve charmantes, écrite en outre avec beaucoup de saveur. Cette apologie est une satire, la plus mordante qui soit. « Je me défendrai bien contre ma partie, disait cet autre ; mais qui me défendra contre mon avocat ! D

D'Ulm à léna, par le commandant M. H. WEIL. Correspondance inédite du chevalier de Gentz avec Francis James Jackson, ministre de la GrandeBretagne à Berlin (1804-1806) que l'on a fait précéder d'un Avant-propos et il lustré de notes parfaitement érudites.

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Les Humoristes, par Francis CARCO.

L'auteur de tant de romans savoureux nous expose dans ce livre, extrêmement bien illustré, comment l'humour s'est introduit dans notre pays, et s'y est développé. A son étude rétrospective des dessinateurs satiriques, M. Carco a joint des notices excellentes sur nos humoristes contemporains.

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Un foyer, un pays, un ciel, par Henri DE NOUSSANNE. Roman à thèse. Un savant raffiné et naïf, partisan des doctrines internationalistes et individualistes, fait une découverte dont un Allemand naturalisé et richissime le dé

pouille légalement. Désespéré, il se suiciderait si une Polonaise patriote ne le convertissait à la patrie, à la famille et à la religion. Il meurt en observant le commencement de la bataille de la Marne, du sommet d'une colline.

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La Revue de Paris commence la publication d'une série de lettres écrites par Ernest RENAN aux siens lors du séjour qu'il fit en Italie où l'Institut l'avait envoyé en mission en 1849-1850. Elles sont du ton sérieux et même cé

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drid, obsèques de M. Dato. D'après les nouvelles de Russie, toujours confuses, les mouvements antibolchevistes feraient de rapides progrès. Plusieurs villes, Orel, Tambov, Pokov, Kiev, se seraient libérées, par le massacre des communistes.

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Dans la Revue critique, M. Pierre DE NOLHAC étudie Ronsard lecteur d'HoLE II MARS. Le Sénat adopte le mère avec sa grâce coutumière et et projet de loi appelant la classe 1921 M. Charles Du Bos publie des Notes pour le mois d'avril. A la Chambre, sur Joseph de Maistre qu'il faut rap- le débat sur le blé amène des révélaprocher pour leur pénétration et leur fi- tions sur les scandales du ravitaillenesse, des Notes sur Mérimée dont ment. Séance mouvementée. La suite l'Opinion rendait compte, il y a quinze de la discussion est remise à huitaine. jours.

De la Place de Grève :

La chronique a célébré dignement le récent mariage du plus jeune de nos trois maréchaux; mais nous croyons qu'elle a oublié un petit détail. La nouvelle maréchale n'est autre en effet qu'une certaine jeune fille que le grand chef avait distinguée autrefois, au début de sa carrière, et dont les parents difficiles lui avaient alors refusé la main sous prétexte... qu'il n'avait aucun avenir.»

Le Nouveau Spectateur, interrompu depuis trop longtemps, reprend sa publication. M. Roger ALLARD en est l'unique et universel rédacteur. C'est un esprit singulièrement ouvert et avisé : on peut lire en effet toute la collection de sa gazette sans y trouver un lieu commun. Je trouve cela merveilleux.

LES FAITS DE LA SEMAINE

LE 10 MARS. Londres Important discours de M. Lloyd George à la Chambre des Communes : tous les Alliés, unis, feront exécuter le traité.

Questions Financières

La Bourse

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A Berlin, la Commission des affaires étrangères examine la question des résultats de la Conférence de Londres. Toute crise gouvernementale semble momentanément écartée. La Commission félicite le Dr Simons. De Russie les troupes bolchevistes progresseraient, dans Petrograd contre les insurgés.

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LE 12 MARS. Le président de la République part de Paris pour Lyon.

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Berlin Discours du Dr Simons au Reichstag. Vote de confiance. - Dans les villes occupées, particulièrement à Duisbourg, les industriels allemands cherchent à provoquer des incidents contre les Français. Russie Petrograd est entièrement repris par les bol

cheviks.

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LE 13 MARS. A Paris, élections législatives dans le 2° secteur. MM. Le Corbeiller et Bonnet sont élus, avec une faible majorité sur les candidats communistes. M. Millerand parcourt la région du Rhône dans laquelle on doit faire l'aménagement du fleuve pour l'utilisation de la force hydraulique. — Effervescence dans les pays occupés.

Russie la lutte continue entre Cronstadt et Petrograd.

D'une semaine à l'autre le marché pris dans son ensemble accuse des progrès substantiels, bien que les dernières séances aient été marquées par des prises de bénéfices assez considérables. C'est que la Bourse commence à s'inquiéter de l'attitude de l'Allemagne et que les nouvelles relatives au mouvement contre-révolutionnaire en Russie sont peu satisfaisantes.

Il est cependant à remarquer qu'il existe maintenant une volonté de désolidariser les bonnes valeurs françaises des valeurs étrangères qui sont soumises à des considérations qui, le plus souvent, n'intéressent que très peu notre marché. Aux changes, une certaine tension se manifeste par suite de quelques besoins consécutifs à l'échéance du 15 mars. En réalité, l'avance des devises étrangères n'est pas très sensible et ne pourra se maintenir lorsque ces besoins seront couverts. Nos Rentes ne modifient aucunement leur position et n'accusent que fort peu de variations sur les cours de la semaine dernière.

Les actions de nos grandes banques sont en reprise marquée et on note plus particulièrement la bonne tenue de la Banque Nationale de Crédit. A l'assemblée des

LE 14 MARS. Londres: la Chambre des Communes, après un long débat, vote le projet de loi sur les réparations (comprenant la taxe sur les exportations). Le gouvernement allemand fait remettre au bureau de la Société des Nations une note protestant contre les sanctions << injustifiées » prises par l'Entente. Madrid les assassins de M. Dato sont connus ; l'un d'eux est arrêté.

LE 15 MARS. La Chambre commence la discussion des interpellations sur la politique extérieure au sujet de l'Accord de Londres. A Berlin, assassinat, par un étudiant arménien, Salomon Taillirian, de l'ex-grand vizir Talaat pach. A Londres, derniers préparatifs en vue de la signature du Traité anglo-bolcheviste. Le prési dent du conseil bavarois, von Kahr, dé clare une fois de plus, que la Bavière refuse de désarmer. · Russie: les trou

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pes rouges tentent en vain de réduire Cronstadt, qui se dit prêt pour une longue défense. En Ilrande, aucune détente. L'exécution de six sinn-feiners, à Dublin, déchaîne une recrudescence de haine entre Irlandais et Anglais.

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LE 16 MARS. A la Chambre, M. Briand, dans un long discours très applaudi, répond aux interpellateurs. Le débat continuera le lendemain. Le Conseil général de la Seine vote une somme de 1 million pour les communes dévastées de diverses régions du front. M. Millerand rentre à Paris. Londres: Sir Robert Horne et Krassine signent le Traité entre la GrandeBretagne et le gouvernement des Soviets. Le gouvernement allemand fait publier un communiqué dans lequel il déclare n'avoir pas à payer les 12 milliards réclamés par l'Entente avant le 1er mai. Russie les troupes bolchevistes se préparent à une << offensive décisive D contre Cronstadt.

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actionnaires qui sera tenue le mois prochain, le conseil proposera une sensible augmentation de dividende et le bilan qui sera présenté fera ressortir le développement considérable des affaires de l'établissement.

Le groupe turc a été favorisé par l'accord qui vient d'être conclu avec la Turquie, tandis que le groupe russe se trouve ballotté dans les deux sens selon les nouvelles publiées.

Aux valeurs diverses, les valeurs de transports en commun sont recherchées et il en est de même des valeurs d'électricité. La Gafsa, la Penarroya, la Kuhlmann, la Financière des Pétroles, etc., ont été l'objet de gros rachats de vendeurs. Au marché en banque les valeurs russes ont eu des mouvements d'une grande ampleur et l'avance des derniers jours a été ensuite reperdue presque perdue presque entièrement.

La De Beers est très résistante en dépit de la mauvaise situation du marché des diamants, tandis que la Mexican Eagle reprend une bonne partie de sa hausse, l'échelle de primes étant obligée de relâcher une partie de ce qu'elle avait acheté pour se couvrir.

Les mines sud-africaines sont très irrégulières, dans la crainte que les titres séquestrés viennent sur le marché. Quant aux valeurs de caoutchouc, elles ne présentent aucun intérêt et ne donnent lieu à aucune remarque particulière. J. DESPRÉAUX.

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Madrid Cacérès Portugal

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est possible que les obligations Plasencia-Astorga touchent pour la première fois leur coupon intégral de 20 pesetas.

Société française Silva Plana

Avis de répartition : il a été souscrit 316.978 actions à titre irréductible et 90.317 actions à titre réductible. Le nombre d'actions émises étant de 320.000, les 3.022 actions restant après exercice du droit de souscription à titre irréductible permettent d'attribuer une action par 26 titres demandés à titre réductible, sans tenir compte des fractions. Pour la répartition des titres provenant des fractions, toute demande à titre réductible de 1.250 titres et au-dessus reçoit une action nouvelle. Le deuxième quart sur les actions attribuées à titre réductible est exigible immédiatement. Le versement de libération des 3o et 4° quarts sur toutes les actions doit être effectué pour le 30 avril au plus tard.

Les avantages des Bons de la Défense Nationale Prêter ses billets de banque au Trésor qui vous en paye l'intérêt d'avance et qui vous les rend à l'échéance convenue, c'est réaliser le placement le plus commode et le plus sûr. Les Bons de la Défense Nationale offrent la plus solide des garanties et la sécurité la plus parfaite. Si vous craignez de le perdre, traces à l'encre deux barres parallèles sur votre il ne pourra être désormais remboursé que par un banquier qui en connaît le porteur. Faites mieux encore domiciliez votre bon, c'est-à-dire désignez entre les deux barres à l'encre la maison de banque ou le bureau de poste qui pourra seul le rembourser à l'échéance. Le bon de la D.N. sera de la sorte mieux garanti contre le vol que le billet de banque et il vous procurera un intérêt payé d'avance.

bon;

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ORISON SWETT MARDEN: Les Miracles de la pensée Jeheber, à Genève. Colonel DOBRYNINE : La lutte contre le bolchevisme dans la Russie méridionale; traduit du russe par A. G. (Melantrich, à Prague).

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GEORGES BLONDET : Que peut-on dire aujourd'hui des Allemands? (Perrin). MARG. YOURCENAR: Le Jardin des chimères, poèmes (Perrin). PIERRE COUTRAS : Les impressions du défunt (Ed. de la Revue des Indépendants). PAUL GRUET Requisitions militaires et civiles (Alcan). COUTRAS Les impressions d'un nouveau-né (Ed. de la Revue des Indépendants). GEOFFROY DE GRANDMAISON: Le capitaine Pierre de Saint-Jouen (Plon). MAURICE DES OMBIAUX : Psychologie d'une capitale : Bruxelles (Librairie Moderne). OSSIP-LOURIE: La révolution russe (Rieder et Cie). HENRY MARET Le Parlement (Rieder et Cie). ERNEST RENAULD: 1914-1919 Histoire populaire de la guerre (Tolra). Vie économique de l'Algérie, publié par le Gouvernement général de l'Algérie (Heintz, à Alger). Dr Ph. HAUSER : Evolution intellectuelle et religieuse de l'humanité (Alcan). CHARLES CESTRE: Production industrielle et justice sociale en Amérique (Garnier frères).

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BOSSUET Lettres sur l'éducation du Dauphin, suivies de lettres au maréchal de Bellefonds et au roi ; introduction et notes de E. LEVESQUE (Bossard). Charles DERENNES Vie de Grillon (A. Michel). J.-H. ROSNY aîné: La Comtesse Ghislaine (Ferenczi).

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Madrid, 14 mars. — « El Economista » croit que les résul- DIRECTOIRE et EMPIRE

tats de l'exercice 1920 permettront de payer intégralement le coupon des obligations Madrid-Cacérès à revenu variable ; il

EXCLUSIVEMENT ANCIEN

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Obligé par lcs demandes reçues, dès la fin de l'année 1920, de prévoir un afflux énorme d'exposants en 1921, le Comité de la Foire de Paris a dû demander de nouveaux emplacements afin de pouvoir placer les industriels de notre pays désireux de participer à cette grande manifestation du goût, français.

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Blois, Chambord, Cheverny, Chau
mont, Blois (prix par place: 28 francs).

sulter le Bureau spécial du service automo
(1) Pour les jours de mise en marche, con-
bile, 8, boulevard Béranger, Tours.

Le 25 février, le Conseil municipal a auto-
risé le Foire de Paris à disposer de l'avenue
de la Motte-Picquet et de la partie du Champ
de Mars où s'élevait la Galerie des Machines.
Là seront placés les groupes tout à fait im-
portants de l'électricité, de la mécanique et CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS
de la métallurgie.

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7 h. 27. Hendaye arr. 7 h. 49.

ritz-Ville dép. 22 h. 37. Pau dép. 22 h. 11. Paris-Qual-d'Orsay arr. 11 h. 20.

Correspondance à la frontière avec les trains express de ou sur Madrid.

Renseignements et location à la gare de Paris-Quai d'Orsay, à l'Agence Orléans-Midi, 16 boulevard des Capucines, Paris, ainsi qu'aux Agences de la Compagnie des WagonsLits.

Nota.

Pendant la période de circulation du train de luxe Pyrénées-Côte d'Argent les trains rapides 23 P.O., 11 Midi, 10 Midi, 24 P.O., circulant entre Paris, Biar. ritz et Hendaye, ne comprendront aucune place de luxe.

CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS

Rétablissement temporaire entre Paris, Pau, Biarritz en. Hendaye du train rapide de luxe « Pyrénées-Côte d'Argent »

Ce train, exclusivement composé de wagons-lits et avec wagon-restaurant entre Paris et Saint-Pierre-des-Corps, circulera du 16 mars au 16 avril inclus au départ de Paris et du 17 mars au 17 avril inclus au départ d'Hendaye et de Pau.

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Aller Paris-Quai d'Orsay départ 19 h. 01.
Pau arr. 7 h. 37.
Biarritz-Ville arr..

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7 h. 27. Hendaye arr. 7 h. 49.
Retour Hendaye dép. 22 h. 15.
Ville. dép. 22 h. 37. Pau dép. 2 h. 11.
Paris-Qual d'Orsay arr. 11 h. 20.
Correspondance à la frontière avec les
trains express de ou sur Madrid.

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Renseignements et location à la gare de Paris-Quai d'Orsay, à l'Agence Orléans-Midi, 16. boulevard des Capucines, Paris, ainsi qu'aux agences de la Compagnie des Wagons-Lits. Nota. Pendant la période de circulation du train de luxe Pyrénées-Côte d'Argent » les trains rapides 23 P.O, 11 Midi - 10 Midi 24 P.O., circulant entre Paris, Biarritz et Hendaye, ne comprendront aucune place de luxe.

Le Gérant : A. BRUGNE.

RETOUR: Hendaye départ 22 h. 15. Biar Imprimerie G. CADET, 7, rue Cadet, Paris.

Spidoléine

HUILES

POUR

AUTOMOBILES

S.TE AME A. ANDRÉ, FILS 8. RUE DE LA TOUR DES DAMES, PARIS

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