1 nous, . Or, cette note est de 1897, M. Maurras me le fait la raison et de l'impartialité. Si les hommes jugeaient justement observer. Depuis lors, Nietzsche ayant été les idées et les adoptaient en s'aidant de leur seule inteltraduit, il l'a mieux connu, et il a exposé son opinion ligence, ce serait admirable , malheureusement, dès que , l'auteur de l'Origine de la Tragédie en 1903, dans l'on s'adresse à la raison des « majorités compactes », une étude réimprimée, en 1916, au chapitre XI de elles répondent avec leur sentiment. Pour les masses, une Quand les Français ne s'aimaient pas. idée, c'est un sentiment. Les simples ne sont pas faciles On voit là que, tout en faisant des restrictions assez à raisonner. justifiées sur la brutalité d'esprit et le style abrupt et J'imagine le docteur Stockmann ayant fondé son barbare de ce Germain séduit par Minerve, de ce école, ayant trouvé les petits polissons qu'il rédame avec « coureur de la mer latine » — M. Maurras accorde que Nietzsche a été utile, qu'il a été un auxiliaire, un adju- gine leur enseignant cette vérité qui n'est comprise , un ad jul une candeur évangélique à la fin de la pièce. Je l'imavant, qu'il a répandu puissamment les très hautes que des cerveaux équilibrés, car il faut une faculté leçons qu'il a prises chez nous et qu'il n'a comprises que spéciale et innée pour raisonner avec froideur et modépar endroits ». On ne peut donc pas dire que M. Maur ration. - Et j'imagine aussi les petits polissons, lapidant ras a méconnu l'importance de Nietzsche (libre à lui, leur éducateur bien avant leur majorité... Mais cela certes, de ne pas l'aimer esthétiquement!), et il n'y a c'est une autre pièce, que fort heureusement Ibsen n'a qu'à s'accuser d'avoir été insuffisamment informé. pas écrite, car elle eût été bien ennuyeuse. Au reste, comment l'Action française pourrait-elle Oui, ces gens du Nord sont lourdement sérieux ; et avoir d'autres sentiments? L'influence de Nietzche a en somme peu faits pour nous plaire profondément. beaucoup fait pour la renaissance du nationalisme chez Lorsque la modė s'en mêle, chacun prétend comprendre comme pour le développement du pangerma- et apprécier ce qu'il ne pourrait souffrir en d'autres nisme. C'est que tout nationalisme est fondé – je ne temps. dirai pas sur la philosophie de Nietzsche, puisque l'on Ibsen entre dans la vie en se mettant en guerre avec conteste qu'il ait rien inventé – mais sur une phi- la Société. Le premier sujet qu'il aborde c'est Catilina: losophie dont Nietzsche nous offre une saisissante for- Il a une indépendance d'esprit et une logique sans mule. Ainsi l'Action française et le pangermanisme nuances, qui l'amènent rapidement à l'isolement. C'est avouent tous deux les mêmes idées, qui sont de celles dans l'Ennemi du peuple qu'il écrivit : « L'homme le que Nietzsche a exprimées : si bien qu'on peut dire que plus fort du monde, c'est le plus seul ». La supériorité l'Action française recommande la lutte contre le panger- nous isole peut-être, mais il me semble que ce sentiment manisme au nom de la philosophie pangermaniste. Sans d'isolement nous fait aussi remarquer notre faiblesse... doute , c'est là une situation justifiable, qui n'a même Ibsen a cru d'abord pouvoir influencer les masses par rien de bien embarrassant, et qui est, enfin, tout à fait la vertu de son seul génie. Il peut être considéré, avec nietzschéenne. Ce ne sont que les mots qui gênent. Mais les romanciers slaves, comme un des précurseurs de la ils gênent. révolution russe et ce seul fait marque la différence de ces races et de la nôtre. Je crois que le théâtre et la Le Théâtre littérature sont plutôt le reflet des mours; l'influence qu'ils exercent est très modeste. Des idées sont, comme on dit, dans l'air, un certain état d'esprit règne, les "L'ennemi du peuple" écrivains se rencontrent souvent au même moment sur un même sujet, sạns la moindre idée de plagiat, simIbsen est entré au répertoire du théâtre Français. plement parce qu'un instinct les pousse vers des idées Cette consécration officielle n'implique point qu'il soit | qui sont à la mode et quelques problèmes qui intéressent démodé. Son influence se fait encore sentir, trop sentir, momentanément la foule. "Si l'on veut bien considérer car il est plus triste de voir le Nord descendre, que mon- l'esprit de Voltaire et de ses contemporains, la satire ter le Midi . Lemaitre qui aimait le génie latin, rendait alerte et violcnte d'un Beaumarchais, l'on se rendra justice à Ibsen ; on ne rend justice qu'à ce que l'on compte que nos auteurs, précurseurs de notre révolution, n'aime pas. Cependant , il disait, parlant des héros de ne maniaient pas leur plume de la même façon que l'auteur norvégien: « Ils sont très sérieux », et parlant les Russes ou que les Norvégiens. Lemaître écrivait , dans de ses compatriotes : « Ils ont moins besoin que nous un article sur Ibsen, ces phrases prophétiques : « Nous d'être amusés ... Serions-nous gagnés par la banquise, ? avons peu de révolutionnaires sérieux... Il du Latin L'Ennemi du Peuple est fort bien joué dans l'ensemble gouailleur même parfois chez nos plus déterminés et et remarquablement pour M. de Féraudy ; le public a nos plus dangereux anarchistes... Quand les peuples fait à cette quvre un accueil enthousiaste ; j'avoue du Nord, quand les méditatifs et les puritains se metl'avoir trouvée fort ennuyeuse à la scène. Une pièce rem- tront à leur tour à faire des expériences, soyez sûrs que plie d'idées sociales et morales qui, exprimées avec ce sera autre chose. Ils nous auront bientôt rattrapés. l'obligatoire simplification théâtrale, paraissent d'une Ils vous bouleverseront le monde avec une conscience ! généreuse et désespérante banalité, ne me paraît propre, un scrupule ! une suite dans les idées ! un entêtement de buveur de bière ! C'est à eux que nous devons L'intérêt particulier opposé à l'intérêt général, celuilà, triomphant de celui-ci dans toutes les petites âmes, la plus grande révolution religieuse des temps modernes. Peut-être leur devrons-nous les suprêmes transformadont la laideur soudain révélée écceure le vieil homme tions de la société humaine en occident » Rousseau est de science, candide, et stupéfait de découvrir les hom- le seul qui se rapproche de cet esprit gobeur et sérieux, mes. Ceci c'est le côté pessimiste de la pièce. La conclusion est moins amère ; le docteur Stockmann est un brutal et attendri, mais en somme, bien qu'il ait écrit optimiste irréductible. Ses concitoyens l'ayant injurié en français, il n'est pas tout à fait de chez nous. Pour en revenir à l'Ennemi du peuple, je ne puis sans l'avoir compris, il avait d'abord songé à s'expa- m'empêcher de trouver qu'il est dommage que l'on ait trier ; mais l'idée lui vient de fonder une école et d'y former des « hommes libres » : donc il restera. Un phi fait choix de cette pièce pour introduire Ibsen à la losophe serait parti, l'apôtre demeure pour enseigner ce Comédie Française. Combien j'aurais préféré y voir le Canard sauvage où l'auteur a mis tout le désenchanStockmann a été conspué pour avoir fait, dans une tement et toute la poésie dont il est capable, ou même réunion publique, un discours où il soutenait des théo Ennemi du peuple ! les Revenants qui sont infiniment plus scéniques que ties d'aspect fort contradictoire. La foule a horreur de [ CLAUDE ISAMBERT. y.a ni à divertir, ni à intéresser. qu'il croit être la vérité. La Curiosité. rampes des XVII et XVIII° siècles, conservées sur place, ou réemployées dans de nouvelles constructions, comtne les fameuses grilles du château de Maisons, qui ferment Ferronnerie ancienne la Galerie d'Apollon au Louvre et dont on ne connaît La presse artistique a passé sous silence l'installation pas le prodigieux auteur. Il en est de même des serrures et des clefs. Mais les menus objets sont d'une rareté du Musée Le Secq des Tournelles à Rouen. Faut-il s'en étonner en cette season parisienne si riche en expositions insigne. On n'a pas remis à la fonte, comme pour le bronze, tous ceux des hautes époques.. Mais l'oxydation et en inaugurations que l'on ne sait à la lettre où courir ? Peut-être aussi n'a-t-on pas tenu à souligner un les a fait disparaître encore plus sûrement. C'est un petit événement dont la capitale n'a pas lieu de se mon événement de voir passer en vente un objet de fer antétrer particulièrement fière. rieur à l'époque gothique. En revanche, la préciosité du Car cette collection de ferronnerie ancienne, la plus ceoirs, d'étuis à cire du XVI° au XVII° siècle, Toutes les travail a sauvé bon nombre de poires à poudre, de dracomplète probablement qui ait jamais été réunie, était grandes collections en possèdent quelques spécimens destinée de longue date au Musée des Arts décoratifs. curieusement ciselés, parfois rehaussés d'applications Nous avons pu l'admirer naguère dans les salles du Pavillon de Marsan et, si j'ai bonne mémoire, elle a fait d'or et d'argent ou repercés comme de l'ivoire. Mais l'objet d'un magistral album où mon érudit collègue, quel faible apport d'une production qui dut être inM. Metman, a associé son nom à celui du possesseur de croyablement active, si nous en jugeons par les innom brables modèles que les petits maîtres de la Renaissance, cette incomparable série. Mais le Musée des Arts déco les Delaulne, les De Bry, les Collaert, les Mignot, les ratifs est trop riche. Les salles regorgent de trésors. Tant que le ministère voisin ne se sera pas décidé à lui Jacquard et tant d'autres n'ont cessé de prodiguer aux ciseleurs du fer ! céder la place, il lui faudra laisser échapper des aubaines comme celles ue lui offrait la collection Le Secq. Un amateur de bon aloi, qui a laissé au Musée du Louvre quelques bonnes pièces de bronzes islamiques, La ville de Rouen, mieux avisée ou moins à l'étroit, Pascal-Marie Piet-Lataudrie, a réservé pour sa ville s'est substituée à la capitale. Elle a accordé, dans une natale de Niort une charmante variété de bibelots en vieille église désaffectée, une généreuse hospitalité à la fer, et cette générosité n'était pas superflue pour donner collection dédaignée. Elle a la juste fierté d'avoir ouvert le premier grand musée du fer, de même que Lyon local n'a su orienter dans aucun sens. quelque intérêt à des collections que leur conservateur possède son admirable musée des tissus et Sèvres son C'est une faible partie des trésors du bel apparteincomparable musée de céramique. Espérons que l'exem ment de l'avenue de Messine, dont cet amateur érudit ple sera contagieux. Il faudrait que nos centres pro et aimable aimait à faire les honneurs à ses amis. J'y vinciaux, où la place ne manque pas, cherchassent à ai retrouvé, au milieu d'une importante série de bronzes constituer et à développer des musées d'art industriel orientaux, cette petite cuirasse d'enfant en acier incrusspécialisés, au lieu de consacrer uniquement leurs res té d'or dont Piet-Lataudrie était justement fier, sans sources à des musées des Beaux-Arts à l'instar de Pa parler des clefs, des serrures, des étuis, des bonbonnièris. Il y a longtemps que Besançon devrait avoir un res, des mouchettes, des forces, des râpes à tabac, des grand musée d'horlogerie, Beauvais ou Versailles, un cachets, des gardes d'épée, des chiens de pistolet, des musée de la tapisserie, et je ne sais vraiment pas ce briquets, des coffrets, qu'il avait patiemment recueillis. qu'attendent Bordeaux ou Marseille pour réclamer les Sans viser à réunir une série aussi complète, l'exemcollections du Musée de la Marine dont le Louyre ne ple est bon à limiter, en province surtout, où, en dépit cherche qu'à se débarrasser et qui seraient infiniment des lamentations des pessimistes, les greniers ont gardé mieux à leur place sur les bords de l'Océan ou de la quelques mystères. Mais c'est l'école de la patience. Non Méditerranée qu'au donjon de Vincennes ou aux Inva seulement on n'arrive à découvrir une pièce intéressante lides. qu'après des sondages et des fouilles sans cesse renouL'avantage de ces collections spécialisées, qui offri velées, inais encore faut-il se livrer à un véritable traraient d'ailleurs un réel attrait pour la décentralisation vail de bénédictin pour mettre sa trouvaille en état de provinciale et le tourisme, c'est qu'on ne serait pas figurer dans une vitrine. obligé de les limiter à des pièces de choix, à des objets La rouille des siècles a la peau dure. d'art précieux, mais qu'elles pourraient accueillir les Si vous voulez faire de bonne besogne, ne cherchez moindres objets d'usage, pour peu qu'ils présentassent pas à atteindre le but par des moyens expéditifs. Ecarun intérêt suffisant d'authenticité et de conservation. tez les acides et les agents chimiques. Vous risqueriez Une collection, comme celle de M. Le Secq des Tour- d'achever la ruine d'un objet plus profondément rongé nelles, ne vaut pas seulement par sa grille de l'abbaye qu'il ne le paraissait. Même si le « décapage » n'avait d'Ourscamps du XIIIe siècle, par ses admirables serrures pas sur le champ de fâcheux résultats, il perdrait tout gothiques du XIV° et du xve siècle, par ses coffrets son effet au bout de fort peu de temps. L'oxydation ciselés et damasquinés de la Renaissance. Elle tire éga- reparaîtrait de plus belle. Le meilleur traitement, c'est lement son mérite de centaines d'ustensiles de la vie de faire « boire de l'huile » à l'objet. Baignez-le plucourante, depuis les appareils luminaires jusqu'aux sim- sieurs semaines dans de l'huile lourde de pétrole. Puis ples accessoires de cuisine, exécutés par de modestes commencez le nettoyage avec une petite curette de bois artisans d'autrefois, mais où leurs successeurs peuvent tendre. Recommencez plusieurs fois l'opération, et puiser la leçon d'un beau travail de forge et les histo- quand la rouille paraîtra céder, attaquez-la avec de la riens d'inestimables documents de meurs. Bien loin de poudre d'émeri délayée dans l'huile ou de la toile représenter un caprice d'amateur, c'est le résultat de d'émeri très fine. Quand vous trouverez la pièce assez la passion d'un amoureux fervent du fer qui a consacré claire il n'est pas désirable de la faire briller comme toute son existence à la poursuite de sa chimère. Ce une casserolle essuyez-la avec un chiffon graissé de sera plus tard l'oeuvre des historiens de l'art de démêler vaseline. C'est le meilleur préservatif contre l'oxydation, dans cette énorme apport les pièces de choix. Le prin- avec la cire à parquet. cipal, c'était de les sauver de la rouille et du marchand Bien entendu, les amateurs qui veulent jouir tout de de vieille ferraille. suite de leur acquisition, trouveront dans le commerce Le fer ne tient pas dans la curiosité la place qu'il des objets tout prêts à figurer dans une vitrine. Mais mérite. Leur utilité a sauvé les grandes pièces de ser- qu'ils prennent garde. De toutes les matières sur lesTurerie, grilles de clôture, grilles intérieures, balcon et quelles s'exerce l'industrie du truqueur, le fer est peut а. QUATORZIÈME ANNÉE : PREMIER SEMESTRE 1921 592 AFFAIRES INTERIEURES MAURICE COLRAT, A propos du Congrès de Tours.. - La chute du Cabinet Leygues Lettre à un Américain.... Les Géorgiques à la Chambre 339. . Les véritables origines et les différentes solutions des incidents franco-britanniques Notre politique étrangère.. Une politique allemande : Les garanties nécessaires L'entente cordiale et l'Orient Méditerranéen Le voyage de Lord Curzon et les décisions de la Triple Entente RENÉ BERGER Le problème de la Haute-Silésie 670, JACQUES CARLES. - Un moyen négligé de pression sur l'Allemagne Comment agir en Rhénanie. Le plébiscite de Haute-Silésie ADOI PHE DELEMER. La mobilisation des · créances. alliées est-elle praticable ? ALFRED FABRE-LUCE, Les craquements de l'Empire britannique L'état d'esprit des Anglais BERTHE-GEORGES GAULIS. La situation orientale 88, 118, HALPURINE-KAMINSKY. - La Constituante russe à Paris Bilan de la conférence russe de Paris LOUIS FAUTEC(EUR. La crise du parti socialiste italien La question des dettes interalliées ERNEST L.ÉMONON. Les intérêts français en Grèce.. la Géorgie franco-belge LOUIS PIÉRARD. France et Belgique: ANDRÉ FRANÇOIS PONCET. L'organisation du mensonge en Allemagne ROBER-RAYMOND. La question de Tanger P. E. G. RÉGNIER. Le traité de paix avec la Hongrie ANTOINĖ DE TARLÉ. Walter Rathenau.. NOTES ET FIGURES GEORGES BEAUME. Tartarin .en Tarascon.. Le Moulin de Daudet Neuvaine parisienne Titre riche Intrigues de carnaval Prédicateurs Location de chefs-d'euvre Un musée condamné Cour du Dragon Réclame et . poésie.. Paris ville de peintres.. Veľ d'Hiv. Sainte-Assise L'abbé Rousselot HENRI CARRÉ. La mort des abréviations... YAVIER DE COURVILLE. Sur diverses manières d'en- tendre l'Opéra 508 J. ALAZARD. Mæurs électorales italiennes ... JACQUES BARDOUX. Le désaccord oriental et l'opti- La négociation financière et le désarmement alle- Le Conseil suprême et la liquidation diplomatique Le nouveau ministère et la méthode diplomatique 86 - La politique française et le Conseil suprême - La Conférence de Paris : Ses caractères, ses déci- - La négociation américaine. 193 227 - La méthode anglaise. et le refus allemand - Lloyd George, Harding eť Simons : - L'équation européenne et l'inconnue russe - Deux leçons : La défaite grecque et les grèves - L'inéluctable échéance et la manæuvre allemande 453 -. L'inéluctable échéance et l'intervention américaine - L'inéluctable échéance : Guerre ou Paix .....: - La transaction britannique et la capitulation - 398 - L'art de la guerre et les Allemands..... ROBERT REY. L'attentat des Tuileries. RICHELIEU. Histoire d'une gaffe..... Nos fouilles de Grèce passeront-elles aux Alle- Flaubert et Frédéric Masson... E. DE ROUGEMONT. Portraits graphologiques....90, ALFRED DE TARDE. Une exposition française aux bords du Rhin... Un journaliste français à New-York. LA LITTERATURE « Gisèle », puis « Barabour ».. L'inquiète adolescence » Le dandysme de Baudelaire. Sur Binet-Valmer et à propos de prix littéraires. Gérard d'Houville et les femmes.. la nouvelle Querelle des Anciens et des Modernes 458 Le rêve du pessimiste.... Souvenirs sur Déodat de Séverac. r Chass'bi ».... A bord de la « Madelon... Le diocèse aquatique Le docteur Rosen... PAUL HEUŽÉ. Lord Kitchener et la Marne. Miss Pearl White..... Le tramway des morts. · Les passeports Pâques lumineuses JACQUES DE LACRETELLE. Mrs Asquith. A propos de Dante.... Variations sur la fève. A. LICHTENBERGER. Lettre à une féministe. PIERRE LIÉVRE. Achille Fournier. Le délégué grec... lemagne EUGÈNE MARSAN. Le drapeau de l'ambassadeur alle- Pour les fumeurs de tabac blond. H. MARTINEAU. Stendhal au cinéma. CHARLES MOULIÉ. Du porte-monnaie. NANTUCKET. Une boursc noire... La ville de l'avenir..... GEORGES QUDARD. Flaubert et Louis Bouilhet. A.-F.-P. Le président Ransson... MARIE-LOUISE PAILLERON. Etrennes. La Barbe-Bleue et Miss Panckurst.. Vente après' décès.. 511 CLAUDE ISAAIBERT. « La huitième femme de Barbe- Bleue » « Les scrupules de Sganarelle ». « La souriante Madame Beudet ».. « La maîtresse imaginaire GEORGES OUDARD. « La rose de Roseim »... FRANÇOIS PONCETTON. « Le simoun ).. FERNAND HAYWARD. A propos du schisme tchéco- - Chronique pour le temps de Pâques GEORGES BEAUME. Chez Robert de Flers, en Lozère 680 ALFRED DE TARDE. Tagore, messager de l'Orient EDMOND DELAGE. La renaissance de la mårine de - « Les Mariés de la Tour Eiffel » ETIENNE.FOURNOL. Blasphèmes économiques 45 72 JEAN-LOUIS VAUDOYER. Quelques aspects du Cézan- Petit traité des passions et des intérêts. - A l'Académie des Beaux-Arts Académiciens J. AUGUSTIN LÉGER. Comment un industriel anglais envisage la question du chômage MONTCHRESTIEN. Jugement sur deux jugements Grandeur et décadence de l'Ustica Les Femmes peintres au Salon de la Nationale L'Exposition d'Ingres et la Salle des Etats Nos - relations commerciales avec l'Allemagne 129 Le voyage de M. Millerand et l'aménagement du Le travail forcé en Bulgarie et l'opinion alle. HENRI CLOUZOT. Une collection de jouets anciens 16 69 - L'expansion commerciale britannique 126 LOUIS T'HOMAS. Le cinéma aux Etats-Unis. - La radiographie et les tableaux anciens. 291 MARCEL DUNAN. Charles üle Habsbourg et l'Autriche 435 LOUIS HAUTECEUR. M. Giolitti et le contrôle syndical 319 432 MARCEL NAST, La Question du bilinguisme en Al- Instruments de musique discordants LE COMMERCE ET L'EXPANSION DU LIVRE MAURICE BOURGEOIS. Le livre français en Irlande.. MARIE-ANTOINETTE CHAIS, Le livre français en Polo- GEORGES GIRARD. Livres d'enfants La Campagne allemande contre la JEAN CARVALHO. – Le million quotidien. Un effort français en 'Amérique latine. BENJAMIN CRÉMEUX. Guillaume II peint par Bis- GEORGES GIRARD. – L'Ecole des Chartes Les résultats du Congrès du Livre. Cabinets de lecture militaires HENRI GRAPPIN. - Comment interpréter le plébiscite MARCEL NAST. La fin d'une équivoque. BERTHE-GEORGES GAULIS. Constantinople.. 266, 293, GER:LANICUS. Conversation avec Klara Zetkine. Le droit de suite aux artistes.. La « Grande pitié » des petits enfants de Berlin 348 CAMILLE SERVAT – Le recensement prochain.. · Le Prix de littérature coloniale NANTUCKET. - Ce que l'on appelle prohibition L'aide coloniale et la reconstitution française.... La Société des Nations et la vie Comment les New-Yorkais résol- X. X. X. - Impressions florentines 267 JOSEPH DE PESQUIDOUX. Post-scriptum – Les générations et l'histoire - Une nouvelle philosophie de l'histoire CHARLES BRUN. Un nouveau projet d'organisation MARCEL PROVENCE, La bonne méthode. propos des « Joyeuses Commères de Wind- |