L'Art décoratif qui, plus que tout autre, révèle la fluctuation du goût d'un peuple n'avait pas encore de mémorialiste aussi lucide et aussi averti que Gabriel Mourey. 24 planches hors texte habilement choisies pour mieux faire comprendre les idées si personnelles l'auteur complètent l'attrait de ce livre nécessaire et attendu. Librairie P, OLLENDORFF 50, Chaussée d'Antin - PARIS (IX et Hygiénique BYRRI JOURNAL DE LA SEMAINE PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS QUATORZIEME ANNEE SAMEDI 3 DECEMBRE 1921 N° 49 . SOMMAIRE : La Musique. 528 613 La reprise d'Ascanio : HENRY BIDOU La Curiosité. 615 628 Ce qu'on dit. 615 Enquêtes. Enquête sur la situation financière (IV) : JEAN Altaires Intérieures. LABADIÉ 620 L'équivoque dissipée ou la leçon de politique : TRYGÉE 619 Los Idées. La philosophie d'Emile Boutroux : GONZAGUE TRUC., 632 Attalres Extérieures. En pleine crise ; une solution : JACQUES BARDOUX... 620 La Vie Economique. 622 Une forme nouvelle di socialisme en Angleterre : A, DE TARLE 623 Feuillets de la Semaine. Lettres : GEORGES OUDARD 633 624 Arts : ROBERT REY 636 La gloire et le bonheur : GEORGES DELAQUYS 625 637 Film cubiste... mais romantique : LEGRAND-CHABRIER 625 co qu'on lit. 637 Los falts do la semaino, . 638 La Littérature. Poésies : JACQUES BOULENGER 626 La Bourse.J. DESPRÉAUX... 639 638 L'anglais et le français dans le monde qu'il est » Un jour, Taine, dans une polémique avec | écrivait exclu de la société comme un bossu l'est de l'armée. Il L'Opinion, remplissant ainsi son rôle de tribune libre, a publié, dans son dernier numéro, la réponse de ignorait que Naquet était précisément bossu, et comme Taine avait horreur de contrister ou d'attaquer personM. Julien Benda à l'article de M. Albert Thibaud et sur l'emploi international de la langue française. Voici au nellement les gens, sa desolation et ses regrets furent sans borne. Il se voit que M. Maurras n'éprouve pas les jourd'hui l'intéressante réponse de M. Thibaudet. mêmes craintes : car enfin le bois sur les fronts est plus Je remercie M. Julien Benda de la discussion à la commun que la gibbosité sur les dos. Il aurait pu m'arquelle il a bien voulu soumettre mon article sur la situa river, comme aux plus grands personnages... Enfin, tion de la langue française. Celui qui écrit sur ces ma- l'impudence de M. Maurras ne comportait heureusetières délicates, glissantes, fragiles, resscnt cruellement l'infirmité de l'écriture. Tout cela, en bonne justice, Sganarelle? Il était cocu imaginaire. Imaginaire, enten ment pas de suite. Mais, au fait, qu'est-ce qu'il était, devrait relever du dialogue. Les jardins d'Académus, dez-vous! La comédie saine n'en a jamais eu qu'au vile mail de M. Bergeret, une table de café, voilà les lieux lain homme de jaloux et non au pauvre et brave homme naturels où l'on penserait et parlerait en sûreté de tout de..... cela. Tout ce qui conforme à ces milieux excellents Car le mal qui 110us vient des vices qui sont nôtres le livre et le journal, doit être accueilli joyeusement et Est pire que le mal que nous font ceulx des autres. tenu pour un moyen de se rapprocher un peu de la vérité. Il ne dépend pas de nous de ne pas être malheureuk. Certes, je suis d'accord avec tous les Français qui Il dépend de nous de ne pas l'être imaginairement. Et estiment que la perte pour notre langue de son privilège le pantagruélisme nous apporte ici un bon secours. Même séculaire est regrettable en soi. J'avoue que j'en prends și Sganarelle était ce qu'il n'est pas, il vaudrait mieux si mon parti, comme je le prends, depuis sept ans, de tout lui laisser encourir le reproche de M. Maurras que de ce qui peut m'arriver sinon de terrible, tout au moins lui crier le : « Tue-la! » du fils Dumas. de désagréable. Je suis émerveillé de ce que quatre ans Notez que dans l'article auquel a répondu M. Benda, de vie en plein air, et tant de durs moments terminés je re pantagruélisais pas plus que ne fait M. Briand par la victoire, m'ont laissé de ce pantagruélisme qui lui-même. A une démarche de l'Académie française, est, nous rappelait Jacques Boulenger dans la Revue M. Briand répondit que la question n'était plus entière, des Deux Mondes, art de ne jamais prendre en mau- que le français avait partagé à Versailles avec l'anglais vaise part chose quelconque. M. Maurras m'a reproché son privilège de langue diplomatique, et qu'il continueun jour assez durement de ressembler à ces maris qui rait de le partager, parce qu'il est impossible de faire cherchent toujours des excuses à la légèreté de leurs femmes. « En attendant, s'écriait-il, Szanarelle est ce autrement. Je n'ai nullement « prêché d'admettre l'arglais comme langue diplomatique », vu que l'anglais est déjà installé et qu'il n'est plus questaon de l'admettre. Il y a Tà peut-être une illusion: Rien ne montre que Quand Roland fut nommé ministre de l'Intérieur, il l’Angleterre ait « fait un geste » pour nous ravir un jugea qu'il avait le droit de pénétrer aux Taikeries sans privilège par orgueil national ou par jalousie. Croire permission. C'est ce qu'il fit. Le maître des cérémonies, à une volonté hostile de sa part serait un sentiment assistant à ce scandale, sauva l'étiquette en lui criant : encore plus dangereux que faux : les causes naturelles « Monsieur, le roi vous accorde les grandes entrées ! » de mésintelligence entre nos deux pays grandissent J'ai fait comme ce maître des cérémonies. J'ai voulu - hélas assez, pour que ce soit un strict devoir pour ! l'écri sauver la face. Je n'ai pas allégué les raisons pour les vain de marcher, comme sur une mèche périlleusement quelles l'anglais devrait être langue diplomatique, mais allumée, sur toutes les causes artificielles. les raisons pour lesquelles 11 l'est. Il l'est, indépendam- Si la paix avait été une paix européenne, le traité ment de la bonne ou de la mauvaise figure que nous de paix eût été rédigé dans la langue diplomatique pourrions lui faire. Faisons-en donc une bonne. Une de l'Europe, c'est-à-dire en français. L'Allemagne vicmauvaise ne changerait rien. torieuse ne s'est pas départie de cette tradition en 1871 La prépondérance économique des Anglo-Saxons et en 1878. La langue officielle du Congrès de Berlin sur le globe explique cette promotion de l'anglais, avait été le français. Si les Allemands nous avaient comme la prépondérance de la civilisation française écrasés en 1914, et si nous avions signé alors une paix expliquait, au XVIIsiècle, le privilège du français. Com- de défaite, elle eût été encore en français. On nous ment peut-on mettre ces deux prépondérances sur le eût noyés, comme Clarence, dans du vin de chez même pied ? dit M. Benda. « Est-ce'un écrivain que nous. Mais la paix victorieuse de 1918 réunit les peuj'entends? Est-ce M. Poirier ? » Pourquoi ne serait-ce ples de l'Europe, de l'Amérique, de l'Extrême-Orient pas M. Poirier? Le maître des cérémonies sur lequel je Ce ne fut pas la faute du président Wilson si elle prends exemple estima que tout était perdu parce que ne fut pas une paix américaine : des quatorze points Roland, ce Poirier, venait aux Tuileries avec des sou- à la Société des nations, il pensa qu'il apportait à l'Eu'liers à boucle. Relisez les Drames philosophiques de rope l'Evangile des treize colonies. L'Angleterre vint Renan, mon cher confrère . Prospero trouve de bonnes à Versailles avec des idées d'intérêt matériel. L'Amé. Taisons pour accepter le gouvernement de Caliban. N’en ricain, qui se croyait désintéressé, rayonna (avec sínaurons-nous pas de meilleures pour tolérer M. Poirier, cérité et générosité) d'un immense orgueil national, dans je veux dire M. Pierpont Peer-tree, ou Peer-tree, esq? lequel disparaissait presque son orgueil personnel La La noblesse de l'écrivain peut bien se comporter comme langue anglaise, c'est le français de l'Amérique et de celle de Gaston de Presles. Les petits-fils de M. Poirier l'Extrême-Orient, leur langue commune et quasi diplo seront peut-être, si nous voulons, Guy et Gontran de matique. Les Etats-Unis en tirent dans ces deux contiPresles, et quatre millions doreront leur blason. nents un prestige exactement analogue à celui de la Décadence de l'esprit, me dit M. Benda, comme celle langue française en Europe et en Orient. Ils devaient de « la philosophie allemande, qui, autrefois, avec He exiger la parité avec la langue diplomatique de l'Eugel, n'avait d'estime pour les nations de l'histoire qu'en Tope. L'anglais prenarit place à côté du français, a Taison de leur étendue, abaissant l'empire romain devant n'est pas l'Angleterre qui grandit devant la France, Athènes, et qui maintenant, avec Ratzel et Lamprecht, c'est l'Amérique qui grandit devant l'Europe. Lisez tient en honneur les empires de l'espace. » Mais qu'est Spengler et le Déclin de l'Europe, de M. Demangeon. la France, sinon, elle aussi, et heureusement, un empire Cette initiative que l'Angleterre n'avait pas prise-dellede l'espace? Le temps des cités n'est plus, la civilisation même et d'elle seule, il va de soi qu'elle l'a suivie d'un moderne s'est développée surtout par les grands Etats, coeur allègre. L'événement n'en tient pas moins elle consiste aujourd'hui en ces grands Etats. Du point place dans un ensemble de faits 'inquiétants pour de de vue des intérêts matériels, du point de vue de M. Poi X rier, il est peut-être parfois avantageux d'appartenir aujourd'hui à un petit Etat. Du point de vue moral, je Une telle diminution ne concorde donc pas avec une ne sais (ce serait à discuter). Mais du point de vue de déchéance de la France, mais avec un déplacement de la culture, celui qui vous intéresse, non. Le monde du l'axe du monde. Quand j'ai écrit l'article zuquel répond XX° siècle est un monde de grandes unités, non de pe- M. Benda, la Conférence de Washington n'était pas tites. Hegel était un philosophe, et il écrivait sous Napo- ouverte. Depuis, ses séances ont commenct. Et que léon. Ratzel est un géographe et Lamprecht un 'histo- s'est-il passé ? Officiellement l'anglais et le français " rien, ils ont les yeux ouverts sur les réalités. Ils ont rai- sont les deux langues de l'assemblée. En fait, M. Briand son du point de vue de l'histoire et de la géographie est seul à employer la langue française. La trachaction d'aujourd'hui. Plus nous saurons de géographie, plus des discours anglais en français est de plus en plus nous verrons le monde comme il est, et mieux nous écourtée, et il est probable que lorsque M. Briand sera pourrons y prendre notre place, y acquérir les avantages parti elle sera réduite à une assez simple expression nouveaux qui remplaceront ceux que nous Italiens, Hollandais, Portugais prennent la parole en perdus. anglais. L'Académie de Belgique a voté, comme l'AcaEncore une fois, je comprends les regrets de démie française, un ordre du jour énergique en faveur M. Benda et de tant de bons Français. Mais ces regrets du privilège diplomatique du français . Or, le représen.stériles peuvent devenir des regrets dangereux. Voici tant de la Belgique s'exprime en anglais ! A la Société des Nations, la situation est plus com comment. plexe. Les statuts de la Société indiquaient le français et l'anglais comme ses deux langues officielles. Dès la M. Benda remarque avec justesse à quel point l'or- première assemblée, l'Amérique du Sud demanda qu'on gueil national s'est exalté chez tous les peuples et quelles y adjoignit l'espagnol, pour cette raison qu'il est la causes continuelles de conflits il engendre. Il attribue langue du tiers des membres de la Société. Encore à une manifestation de cet orgueil ce gain de la langue l'Amérique qui grandit, car elle est espagnole devant anglaise. L'Angleterre, dit-il, se contentait « de valoir l'Europe.) Et l'Italie fit savoir que si on accordait cette dans le monde par sa puissance de fait, laissant au faveur à l'espagnol, elle la demanderait pour l'italien. --Continent plus chimérique la rivalité des cultures. Le Il n'y avait plus de raison de s'arrêter avant le bas geste qu'elle vient de faire prouve qu'elle est gagnée, breton. Grand embarras. On décida qu'il n'y aurait pas qu'elle entend, elle aussi, compter par sa langue, par de langue officielle, que l'anglais et le français xeraient son âme ». déclarès langues usuelles, et qu'on pourrait parler en aurons que n'importe quelle langue, quitte à faire ensuite traduire portait 7 ou 8.010 auant la guerre ne rapporte plus. qual son discours en anglais ou en français. Il n'en est pas I an 2 0/0, Lorsque, même, il. ne: codite pas. Qui dona moins vrai que, le siège de la Société se trouvant dans voudrait construize, dans ales canditions, alors que le un pays de langue française, et ses populeux bureaux prix de la batisse est follement élevé et que. l'Etat se étant par conséquent obligés pratiquement de parler livre, à une véritable persécution des propriétaires ? notre langue, sinon au théâtre, du moins à la ville, le Tout cela tombe sous le sens. Au point de vue prafrançais bénéficie encore d'un avantage international tique, il faut encourager les propriétaires. Mais le point appréciable. de vue sentimental, est fort intéressant : et il commande Tout cela est pris dans un rythme planétaire si géné: | de protéger les lacataires. Revenons à la liberté, mais ral, si inévitable, que la résignation viêndra facilement : en prenant toutes les précautions pour ménager ceux qui un rentier s'affligera moins de la perte de la moitié oni souffert de la guerre. de sa fortune si elle provient de la baisse du franc- N'abrogeons pas les lois antérieures. Orientons-les papier que si elle a pour cause un cambriolage. Or il seulement vers le retour au droit commun. Moins on n'y a pas de cambriolage dans l'affaire. Nos voisins prolongera la situation actuelle, mieux cela vaudra. La d'outre-Manche sont innocents. Et n'allons pas croire concurrence jouera et on verra bientôt ses heureux ré l'expansion de notre langue soit frappée par là sultats. dans ses oeuvres vives. M. Strowski proteste dans la SERGE ANDRÉ. Renaissance, avec raison, contre les discours irréfléchis mu qui nous montrent perdant des lieues de terrain intel çà et là. lectuel et moral dans le monde. Ceux qui parcourent l'étranger savent que c'est exagéré, ou plutôt que nos Sainte-Catherine fêtée mi-chômée. rapports intellectuels avec l'étranger sont une réalité vivante, soumise aux oscillations de la vie et qui a ses En dépit des règlements de police, qui ne tolèrent incidents et ses accidents. Mais l'accident dont s'est guère, par tradition, que le Mardi Gras et la Mi-Carême, il y a maintenant un carnaval d'automne, comme il y a émue l'Académie et que M. Benda croit si fâcheux, ne aussi un carnaval d'été, la nuit du bal des Quat'z-Arts. doit nullement nous décourager. Le rayonnement de La Sainte-Catherine, à Paris, était, il y a quelques annotre langue n'est pas une affaire de chancelleries ou nées, une simple fête de métier, célébrée dans l'intimité de congrès. La situation matérielle et morale de la de l'atelier un peu avant la sortie, et réservée aux auFrance permet de croire que le français restera l'une thentiques Catherinettes de l'année par leurs compagnes des deux langues internationales. Il n'y aurait de dé de travail. Peu à peu, cela passa le seuil de la coutuchéance véritable que si l'anglais l'évinçait au lieu de rière. Il y eut des visites en cortège de maison à maison. l'accompagner. Il n'en est pas question. Qu'il ne soit Toutes les midinettes coiffèrent le bonnet, puis on se cospas question non plus de modifier la situation de fait actuelle et d'évincer l'anglais. tuma, puis on se travestit ; et la fête gagna la rue. Cette année, elle s'y est installée souverainement. Il ALBERT THIBAUDET. y eut même de jeunes hommes déguisés ! Et plus d'un passant affairé dut sauter à la ronde et prendre part au charivari.. wo CE QU'ON DIT L Les morts vivent-ils? La mort du général Niox, ancien gouverneur militaire A Chambre discute depuis la rentrée la loi sur les de Paris, décédé voici quelques semaines, avait été déjà loyors La lenteur de la discussion, le nombre annoncée par quelques journaux il y a plusieurs mois, considérable d'amendements proposés et le mécon- alors que le général était encore plein de santé. De cette tentement du public font assez voir que cette loi macabre nouvelle, le général Niox ne fit que rire. ne satisfait personne. Ne serait-ce pas qu'il est impos Pareille aventure était arrivée à bien d'autres. A sible qu'elle satisfasse quelqu'un ? ou, autrement dit, Saint-Saëns, il y a quelque vingt ans. En tous cas, à qu'elle est impossible à établir ? Les intérêts opposés, les Dumas le père : au lendemain de l'affaire du Cloître arguments qu'on peut avancer de part et d'autre se ba- Saint-Merry, en 1832, une gazette annonça qu'Alexan'ancent si exactement qu'on ne voit guère comment se dre Dumas, ayant été pris les armes à la main, avait été Brononcer. En pareil cas, la sagesse voudrait qu'on lais-jugé militairement pendant la nuit et fusillé à trois åt la nature, ou pour mieux dire les forces économi- heures du matin. Le journal ajoutait que le condamné -ues agir librement. avait subi son exécution avec courage. Le spirituel NoOn a pu constater pendant et après la guerre que l'in- dier, à la lecture de cette « nouvelle à pieds palmés », érance de l'Etat dans les affaires privées avait inva- adressa à Alexandre Dumas le billet que voici : Eablement eu un résultat facheux. Des mono poles de Mon cher Alexandre, zit se sont établis, et ils n'ont pas eu comme effet de endre la vie plus facile ni de faire baisser les prix Je lis à l'instant que vous avez été fusillé hier, à trois Een au contraire. heures du matin : ayez la bonté de me faire savoir si En somme, pourquoi y a-t-il une crise des loyers ? cela vous empêchera de venir demain, à l'Arsenal, diner arce qu'il n'y a pas assez de logements. Comment re avec Taylor. édier à cette situation? En bâtissant, A quoi Dumas ne put que répondre, tant la nouvelle Mais on n'a pas envie de batir. Les propriétaires d'im-annoncée par la gazette revêtait un caractère officiel, eubles anciens ont vu leurs charges et leurs impôts que, pour ce qui était d'être vivant ou mort; il n'avait ugmenter considérablement : c'est fort juste; il faut pas d'opinion bien arrêtée sur ce point, mais que, dans ue chacun contribue selon ses forces à l'effort nouveau l'un comme dans l'autre cas, il irait toujours le lendenposé par la guerre. Mais les revenus de ses proprié- main à l'Arsenal. ires n'ont pas bougé. Aucune loi n'a contraint les tailurs à livrer leurs vêtements au prix d'avant-guerre : Chez caux qui règneat. n oblige pourtant les propriétaires à louer leurs apparments dans des conditions. déterminées. Le prix de Au Quai. outes les choses a presque triple : permet-on aux loyers MM. Briand et. Berthelot. reviennent. Le Quai d'Ore tripler également ? En samme tel immeuble, qui rapo say se retrouve: Quai. d'Orsay.. Ces derniers temps it |