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L'Art décoratif qui, plus que tout autre, révèle la fluctuation du goût d'un peuple n'avait pas encore a de mémorialiste aussi lucide et aussi averti que Gabriel Mourey.

24 planches hors texte habilement choisies pour mieux faire comprendre les idées si personnelles de l'auteur complètent l'attrait de ce livre nécessaire et attendu.

Librairie P. OLLENDORFF 50, Chaussée d'Antin - PARIS (IX

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L'anglais et le français dans le monde

L'Opinion, remplissant ainsi son rôle de tribune libre, a publié, dans son dernier numéro, la réponse de M. Julien Benda à l'article de M. Albert Thibaudet sur Pemploi international de la langue française. Voici aujourd'hui l'intéressante réponse de M. Thibaudet.

Je remercie M. Julien Benda de la discussion à laquelle il a bien voulu soumettre mon article sur la situation de la langue française. Celui qui écrit sur ces matières délicates, glissantes, fragiles, ressent cruellement l'infirmité de l'écriture. Tout cela, en bonne justice, devrait relever du dialogue. Les jardins d'Académus, le mail de M. Bergeret, une table de café, voilà les lieux naturels où l'on penserait et parlerait en sûreté de tout cela. Tout ce qui conforme à ces milieux excellents le livre et le journal, doit être accueilli joyeusement et tenu pour un moyen de se rapprocher un peu de la vérité.

Certes, je suis d'accord avec tous les Français qui estiment que la perte pour notre langue de son privilège séculaire est regrettable en soi. J'avoue que j'en prends mon parti, comme je le prends, depuis sept ans, de tout ce qui peut m'arriver sinon de terrible, tout au moins de désagréable. Je suis émerveillé de ce que quatre ans de vie en plein air, et tant de durs moments terminés par la victoire, m'ont laissé de ce pantagruélisme qui est, nous rappelait Jacques Boulenger dans la Revue des Deux Mondes, art de ne jamais prendre en mauvaise part chose quelconque. M. Maurras m'a reproché un jour assez durement de ressembler à ces maris qui cherchent toujours des excuses à la légèreté de leurs femmes. «En attendant, s'écriait-il, Sganarelle est ce

Economique: ROBERT FABRE

Ce qu'on lit.

Les faits de la semaine.

La Bourse.J. DESPRÉAUX..

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qu'il est. » Un jour, Taine, dans une polémique avec

Naquet, écrivait qu'un pervers qui pratique doit être exclu de la société comme un bossu l'est de l'armée. Il ignorait que Naquet était précisément bossu, et comme Taine avait horreur de contrister ou d'attaquer personnellement les gens, sa désolation. et ses regrets furent sans borne. Il se voit que M. Maurras n'éprouve pas les mêmes craintes car enfin le bois sur les fronts est plus commun que la gibbosité sur les dos. Il aurait pu m'arriver, comme aux plus grands personnages... Enfin, l'impudence de M. Maurras ne comportait heureusement pas de suite. Mais, au fait, qu'est-ce qu'il était, Sganarelle? Il était cocu imaginaire. Imaginaire, entendez-vous! La comédie saine n'en a jamais eu qu'au vilain homme de jaloux et non au pauvre et brave homme dc.....

Car le mal qui nous vient des vices qui sont nôtres
Est pire que le mal que nous font ceux des autres.

Il ne dépend pas de nous de ne pas être malheureux. Il dépend de nous de ne pas l'être imaginairement. Et le pantagruélisme nous apporte ici un bon secours. Même si Sganarelle était ce qu'il n'est pas, il vaudrait mieux lui laisser encourir le reproche de M. Maurras que de lui crier le « Tue-la!» du fils Dumas.

Notez que dans l'article auquel a répondu M. Benda, je ne pantagruélisais pas plus que ne fait M. Briand lui-même. A une démarche de l'Académie française, M. Briand répondit que la question n'était plus entière, que le français avait partagé à Versailles avec l'anglais son privilège de langue diplomatique, et qu'il continuerait de le partager, parce qu'il est impossible de faire autrement. Je n'ai nullement « prêché d'admettre l'anglais comme langue diplomatique », vu que l'anglais

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est déjà installé et qu'il n'est plus question de l'admettre. Quand Roland fut nommé ministre de l'Intérieur, il jugea qu'il avait le droit de pénétrer aux Tuileries sans permission. C'est ce qu'il fit. Le maître des cérémonies, assistant à ce scandale, sauva l'étiquette en lui criant: « Monsieur, le roi vous accorde les grandes entrées! >> J'ai fait comme ce maître des cérémonies. J'ai voulu sauver la face. Je n'ai pas allégué les raisons pour lesquelles l'anglais devrait être langue diplomatique, mais les raisons pour lesquelles il l'est. Il l'est, indépendamment de la bonne ou de la mauvaise figure que nous pourrions lui faire. Faisons-en donc une bonne. Une mauvaise ne changerait rien.

La prépondérance économique des Anglo-Saxons sur le globe explique cette promotion de l'anglais, comme la prépondérance de la civilisation française expliquait, au XVII° siècle, le privilège du français. Comment peut-on mettre ces deux prépondérances sur le même pied? dit M. Benda. « Est-ce un écrivain que j'entends? Est-ce M. Poirier? » Pourquoi ne serait-ce pas M. Poirier? Le maître des cérémonies sur lequel je prends exemple estima que tout était perdu parce que Roland, ce Poirier, venait aux Tuileries avec des souliers à boucle. Relisez les Drames philosophiques de Renan, mon cher confrère. Prospero trouve de bonnes raisons pour accepter le gouvernement de Caliban. N'en aurons-nous pas de meilleures pour tolérer M. Poirier, je veux dire M. Pierpont Peer-tree, ou Peer-tree, esq? La noblesse de l'écrivain peut bien se comporter comme celle de Gaston de Presles. Les petits-fils de M. Poirier seront peut-être, si nous voulons, Guy et Gontran de Presles, et quatre millions doreront leur blason.

Décadence de l'esprit, me dit M. Benda, comme celle de « la philosophie allemande, qui, autrefois, avec Hegel, n'avait d'estime pour les nations de l'histoire qu'en raison de leur étendue, abaissant l'empire romain devant Athènes, et qui maintenant, avec Ratzel et Lamprecht, tient en honneur les empires de l'espace. » Mais qu'est la France, sinon, elle aussi, et heureusement, un empire de l'espace? Le temps des cités n'est plus, la civilisation moderne s'est développée surtout par les grands Etats, elle consiste aujourd'hui en ces grands Etats. Du point de vue des intérêts matériels, du point de vue de M. Poirier, il est peut-être parfois avantageux d'appartenir aujourd'hui à un petit Etat. Du point de vue moral, je ne sais (ce serait à discuter). Mais du point de vue de la culture, celui qui vous intéresse, non. Le monde du XXe siècle est un monde de grandes unités, non de petites. Hegel était un philosophe, et il écrivait sous Napoléon. Ratzel est un géographe et Lamprecht un historien, ils ont les yeux ouverts sur les réalités. Ils ont raison du point de vue de l'histoire et de la géographie d'aujourd'hui. Plus nous saurons de géographie, plus nous verrons le monde comme il est, et mieux nous pourrons y prendre notre place, y acquérir les avantages nouveaux qui remplaceront ceux que perdus.

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Encore une fois, je comprends les regrets de M. Benda et de tant de bons Français. Mais ces regrets stériles peuvent devenir des regrets dangereux. Voici

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Il y a Tà peut-être une illusion. Rien ne montre que l'Angleterre ait « fait un geste » pour nous ravir un privilège par orgueil national ou par jalousie. Croire à une volonté hostile de sa part serait un sentiment encore plus dangereux que faux: les causes naturelles de mésintelligence entre nos deux pays grandissent, hélas! assez, pour que ce soit un strict devoir pour l'écrivain de marcher, comme sur une mèche périlleusement allumée, sur toutes les causes artificielles.

Si la paix avait été une paix européenne, le traité de paix eût été rédigé dans la langue diplomatique de l'Europe, c'est-à-dire en français. L'Allemagne victorieuse ne s'est pas départie de cette tradition en 1871 et en 1878. La langue officielle du Congrès de Berlin avait été le français. Si les Allemands nous avaient écrasés en 1914, et si nous avions signé alors une paix de défaite, elle eût été encore en français. On nous eût noyés, comme Clarence, dans du vin de chez nous. Mais la paix victorieuse de 1918 réunit les peuples de l'Europe, de l'Amérique, de l'Extrême-Orient. Ce ne fut pas la faute du président Wilson si elle ne fut pas une paix américaine: des quatorze points à la Société des nations, il pensa qu'il apportait à l'Europe l'Evangile des treize colonies. L'Angleterre vint à Versailles avec des idées d'intérêt matériel. L'Américain, qui se croyait désintéressé, rayonna (avec sincérité et générosité) d'un immense orgueil national, dans lequel disparaissait presque son orgueil personnel La langue anglaise, c'est le français de l'Amérique et de l'Extrême-Orient, leur langue commune et quasi diplo matique Les Etats-Unis en tirent dans ces deux continents un prestige exactement analogue à celui de la langue française en Europe et en Orient. Ils devaient exiger la parité avec la langue diplomatique de l'Europe. L'anglais prenant place à côté du français, a n'est pas l'Angleterre qui grandit devant la France, c'est l'Amérique qui grandit devant l'Europe. Lisez Spengler et le Déclin de l'Europe, de M. Demangeon. Cette initiative que l'Angleterre n'avait pas prise d'ellemême et d'elle seule, il va de soi qu'elle l'a suivie d'un cœur allègre. L'événement n'en tient pas moins place dans un ensemble de faits inquiétants pour d

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Une telle diminution ne concorde donc pas avec une déchéance de la France, mais avec un déplacement de l'axe du monde. Quand j'ai écrit l'article auquel répond M. Benda, la Conférence de Washington n'était pas ouverte. Depuis, ses séances ont commencé. Et que s'est-il passé ? Officiellement l'anglais et le français sont les deux langues de l'assemblée. En fait, M. Briand est seul à employer la langue française. La traduction des discours anglais en français est de plus en plus écourtée, et il est probable que lorsque M. Briand sera parti elle sera réduite à une assez simple expression. Italiens, Hollandais, Portugais prennent la parole en anglais. L'Académie de Belgique a voté, comme l'Académie française, un ordre du jour énergique en faveur du privilège diplomatique du français. Or, le représen tant de la Belgique s'exprime en anglais !

A la Société des Nations, la situation est plus complexe. Les statuts de la Société indiquaient le français et l'anglais comme ses deux langues officielles. Dès la première assemblée, l'Amérique du Sud demanda qu'on y adjoignit l'espagnol, pour cette raison qu'il est la langue du tiers des membres de la Société. (Encore l'Amérique qui grandit, car elle est espagnole devant l'Europe.) Et l'Italie fit savoir que si on accordait cette faveur à l'espagnol, elle la demanderait pour l'italien Il n'y avait plus de raison de s'arrêter avant le basbreton. Grand embarras. On décida qu'il n'y aurait pas de langue officielle, que l'anglais et le français seraient déclarés langues usuelles, et qu'on pourrait parler en

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n'importe quelle langue, quitte à faire ensuite traduire son discours en anglais ou en français. Il n'en est pas moins vrai que, le siège de la Société se trouvant dans un pays de langue française, et ses populeux bureaux étant par conséquent obligés pratiquement de parler 5 notre langue sinon au théâtre, du moins à la ville, le français bénéficie encore d'un avantage international appréciable.

Tout cela est pris dans un rythme planétaire si géné ral, si inévitable, que la résignation viendra facilement : un rentier s'affligera moins de la perte de la moitié de sa fortune si elle provient de la baisse du francpapier que si elle a pour cause un cambriolage. Or il n'y a pas de cambriolage dans l'affaire. Nos voisins d'outre-Manche sont innocents. Et n'allons pas croire que l'expansion de notre langue soit frappée par là in dans ses œuvres vives. M. Strowski proteste dans la Renaissance, avec raison, contre les discours irréfléchis gir qui nous montrent perdant des lieues de terrain intellectuel et moral dans le monde. Ceux qui parcourent l'étranger savent que c'est exagéré, ou plutôt que nos des rapports intellectuels avec l'étranger sont une réalité vivante, soumise aux oscillations de la vie et qui a ses incidents et ses accidents. Mais l'accident dont s'est émue l'Académie et que M. Benda croit si fâcheux, ne doit nullement nous décourager. Le rayonnement de notre langue n'est pas une affaire de chancelleries ou de congrès. La situation matérielle et morale de la France permet de croire que le français restera l'une des deux langues internationales. Il n'y aurait de déchéance véritable que si l'anglais l'évinçait au lieu de l'accompagner. Il n'en est pas question. Qu'il ne soit pas question non plus de modifier la situation de fait actuelle et d'évincer l'anglais.

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ALBERT THIBAUDET.

CE QU'ON DIT

A Chambre discute depuis la rentrée la loi sur les loyers. La lenteur de la discussion, le nombre considérable d'amendements proposés et le mécontentement du public font assez voir que cette loi ne satisfait personne. Ne serait-ce pas qu'il est impossible qu'elle satisfasse quelqu'un ? ou, autrement dit, qu'elle est impossible à établir? Les intérêts opposés, les arguments qu'on peut avancer de part et d'autre se balancent si exactement qu'on ne voit guère comment se prononcer. En pareil cas, la sagesse voudrait qu'on laissat la nature, ou pour mieux dire les forces économiques agir librement.

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On a pu constater pendant et après la guerre que l'ingérance de l'Etat dans les affaires privées avait invariablement eu un résultat fâcheux. Des monopoles de fait se sont établis, et ils n'ont pas eu comme effet de rendre la vie plus facile ni de faire baisser les prix bien au contraire..

En somme, pourquoi y a-t-il une crise des loyers? Parce qu'il n'y a pas assez de logements. Comment remédier à cette situation? En bâtissant.

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Mais on n'a pas envie de bâtir. Les propriétaires d'immeubles anciens ont vu leurs charges et leurs impôts augmenter considérablement c'est fort juste; il faut que chacun contribue selon ses forces à l'effort nouveau imposé par la guerre. Mais les revenus de ces propriétaires n'ont pas bougé. Aucune loi n'a contraint les tailleurs à livrer leurs vêtements au prix d'avant-guerre : on oblige pourtant les propriétaires à louer leurs appartements dans des conditions. déterminées. Le prix de toutes les choses a presque triplé permet-on aux loyers de tripler également ? En samme tel immeuble qui rap

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partait 7 ou 8. olo avant la guerre ne rapporte plus que 1 au 2 0/0, lorsque, même, il ne coûte pas. Qui donc voudrait construire dans ces conditions; alors que le prix de la bâtisse est follement élevé et que l'Etat se livre à une véritable persécution des propriétaires? Tout cela tombe sous le sens. Au point de vue pratique, il faut encourager les propriétaires.. Mais le point de vue sentimental est fort intéressant: et il commande de protéger les lacataires. Revenons à la liberté, mais en prenant toutes les précautions pour ménager ceux qui ont souffert de la guerre.

N'abrogeons pas les lois antérieures. Orientons-les seulement vers le retour au droit commun. Moins on prolongera la situation actuelle, mieux cela vaudra. La concurrence jouera et on verra bientôt ses heureux résultats. SERGE ANDRÉ.

Sainte-Catherine fêtée mi-chômée.

Çà et là.

En dépit des règlements de police, qui ne tolèrent guère, par tradition, que le Mardi-Gras et la Mi-Carême, il y a maintenant un carnaval d'automne, comme il y a aussi un carnaval d'été, la nuit du bal des Quat'z-Arts.

La Sainte-Catherine, à Paris, était, il y a quelques années, une simple fête de métier, célébrée dans l'intimité de l'atelier un peu avant la sortie, et réservée aux authentiques Catherinettes de l'année par leurs compagnes de travail. Peu à peu, cela passa le seuil de la couturière. Il y eut des visites en cortège de maison à maison. Toutes les midinettes coiffèrent le bonnet, puis on se costuma, puis on se travestit ; et la fête gagna la rue.

Cette année, elle s'y est installée souverainement. II y eut même de jeunes hommes déguisés! Et plus d'un passant affairé dut sauter à la ronde et prendre part au charivari..

Les morts vivent-ils?

La mort du général Niox, ancien gouverneur militaire de Paris, décédé voici quelques semaines, avait été déjà annoncée par quelques journaux il y a plusieurs mois, alors que le général était encore plein de santé. De cette macabre nouvelle, le général Niox ne fit que rire.

Pareille aventure était arrivée à bien d'autres. A Saint-Saëns, il y a quelque vingt ans. En tous cas, à Dumas le père : au lendemain de l'affaire du Cloître Saint-Merry, en 1832, une gazette annonça qu'Alexandre Dumas, ayant été pris les armes à la main, avait été jugé militairement pendant la nuit et fusillé à trois heures du matin. Le journal ajoutait que le condamné avait subi son exécution avec courage. Le spirituel Nodier, à la lecture de cette « nouvelle à pieds palmés », adressa à Alexandre Dumas le billet que voici :

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