DHAL, éd. établie par journal indochinois conseille des pri- les licences d'exportation et d'importa- sul belge à Cologne eut averti M. de mes à la non-production, et des primes tion nécessaires, sans tenir compte des Gaiffier que, toutes les 3 ou 4 minutes, diminuées aux exploitations qui rédui- dispositions contraires en vigueur. des trains militaires allemands partaient sent de moitié leur production. ROBERT FABRE. vers Aix-la-Chapelle, qu'il n'y eut plus D'autre part, les comités de vente un moyen de douter. Ce jour-là encore, le enrôlant les producteurs ne viennent au soir, M. von Below, ministre d'Allemajour qu'à grand peine, et le seul effet CB QU'ON LIT gne, « se porta une fois de plus garant de la crise est d'éliminer les nombreuses des dispositions amicales de son pays petites sociétés qui ne peuvent tenir le Chroniques italiennes, par italiennes, par" STEN- envers la Belgique ». Puis l'attaché mi. coup, au bénéfice des grosses compa documentaire litaire allemand pria le XXe siècle de gnies. Ce phénomène est la résultante René-Louis DOYON. Nous devons démentir la déclaration de guerre à la normale des grandes crises. On n'a beaucoup de reconnaissance à M. Re- France et à la Belgique, et l'occupation pas à juger si cette élimination brutale né-Louis Doyon ; un certain nombre du Luxembourg. Et à 7 heures, von Be. 7 est conforme aux lois de la morale so- de textes précieux et rares (Banville, low remettait à M. Davignon, minisciale. Elle rendra plus aisée l'organi-Laforgue, Lettres à Pauline, Barbey tre des affaires étrangères, l'ultimatum sation de la production et de la vente. d'Aurevilly, etc.), ont été réédités par allemand ! un ses soins ou sous sa direction par la Connaissance. Leurs éditions sont pro- Le Mercure de France continue la puUn plan allemand pres à plaire aux bibliophiles par leur blication d'une amusante étude de M. de « dissolution pacifique charmante apparence matérielle, non Georges MAUREVERT sur les Généalogies Il semble que les milieux industriels moins qu'à enchanter les lettrés par le fabuleuses, où l'on voit par les prétenet commerciaux allemands, les vrais goût et la précision de leurs notices et tions généalogiques de certaines familles maîtres de l'Allemagne républicaine, de leurs annotations. Joignez qu'elles et la vanité nobiliaire de certains perestiment suffisante une préparation qui ne sont pas d'un prix décourageant. sonnages que le ridicule a cessé de tuer. dure depuis l'armistice pour songer à Cette fois se sont les Chroniques itaune offensive de grand style. liennes, que M. R.-L. Doyon réédite. Il manque un volume aux mémoires Le coup est dirigé contre l'Italie et Il a soigneusement examiné les fameux de Bismarck. C'est le tome III ; Guilla méthode est une réédition exacte des manuscrits conservés à la Bibliothèque laume II avait toujours mis son veto moyens de pénétration économique ap- Nationale où Beyle avait fait copier à sa publication, c'est qu'il s'y trouve pliqués avant la guerre ! On doit à les novelle qu'il se proposait d'adap- des lettres de l'ex-kaiser, que celui-ci i'indiscrétion d'un journal italien ter, et il en a tiré des notes inédites de ne se souciait pas de voir. rendues pul'Idea Nazionale, la divulgation du toutes sortes. bliques. Mais les plus curieuses de ces plan détaillé destiné à ruiner l'indus Le Chicvalier de Méré, par Edmond lettres ont été publiées par la presse trie italienne conçu par l'attaché com scandinave ; il était question d'en faire mercial allemand à Rome, qui travaille CHAMAILLARD. Le chevalier de Mé une brochure. Guillaume a donc levé ré fut l'ami de Pascal ; mais ce n n'est en ennemi beaucoup plus qu'en obser son veto. Le Temps du 6. septembre vateur. pas pour cette raison seulement qu'il donne celle où le père du futur kaiser Il s'agit, simplement, de soumettre mérite sa biographie (publiée par G. recommande que, en présence du l'Italie à un dumping gigantesque, de Clouzot, de Niort, le premier éditeur manque de maturité D et de l'orconcurrencer les industries italiennes à d'Ernest Pérochon), M. Chamaillard gueil et de la présomption » de son fils tel point que leur activité cesse totale- nous le prouve. Rien de plus fin et de aîné, on s'abstienne de le mettre ment, et de transformer la voisine et plus délicieux que les lettres et frag contact avec la politique extérieure : et ancienne amie en un fief économique de ments de Méré qui forment la seconde aussi celle où Guillaume, ayant encore l'Allemagne nouvelle, par l'absorption partie de ce volume. On eût aimé seule deux empereurs devant lui, recomdes industries principales que la crise ment que le biographe indiquât d'une mande au « chancelier de fer » les meéconomique laisse en état de moindre façon plus précise les sources où il les sures à prendre au cas où, l'empereur résistance ; on commencerait par l'ina pris. et son père venant à décéder, il dustrie du caoutchouc et celle de l'au Fayolle, par Henry BORDEAUX. trouverait lui-même monter sur le trône. tomobile, pour continuer par l'industrie M. Bordeaux dont l'activité est infati mim textile, les matières colorantes, et l'in gable nous offre cette semaine une biodustrie sidérurgique, création artifi graphie du maréchal Fayolle. Elle est LES FAITS DE LA SEMAINE cielle de la guerre. Le moyen, c'est l'inondation par les produits allemands claire, vivante et semble parfaitement renseignée. du marché italien. Les premières éta LE I er SEPTEMBRE. Comme on s'y pes semblent parcourues, et la grande Hélène Jarry, par Auguste BAILLY. attendait, la réunion du Conseil de la industrie marquera d'une pierre blan- Un homme de lettres parisien, fati- Société des Nations aboutit encore à un che la trouble affaire Stinnes-Fiat, qui gué de sa notoriété, se retire à Andelot ajournement de la solution du problème aboutit à la cession au consortium alle dans le Jura. Il y connaît une jeune silésien. Le Conseil, en effet, a désigné, mand de la majorité des actions de la femme, musicienne et fière. Entre eux pour faire de nouveaux rapports, quatre société autrichienne Alpine-Montange l'amour naît, mais pour éviter les ra- experts représentant la Belgique, le Brésellschaft. On songe maintenant à l'abgots de province, il leur faut demeurer sil, l'Espagne et la Chine. - La Comsorptior. de la Fiat par la firme Sie dans une réserve austère. Et leur pas- mission interalliée de secours à la Rusmens-Schukert et l'Alpine, devenue al- sion haute et pure aboutit au renonce- sie a arrêté les instructions à donner aux lemande sous une étiquette autrichienne. ment, à l'acceptation des devoirs ordi experts qui se rendront sur place : seL'ambassade allemande affirme que naires. C'est méritoire exemple cours aux affamés, mais non à l'armée le document est un faux grossier avec la d'amour platonique. rouge. — Guerre hispano-marocaine : même énergie que les services d'infor violents. combats aux environs de: Melilmation, pendant la guerre, reniaient les Dans la Revue de France du 1er sep- la. En Espagne, les partis extrêmes eslettres compromettantes. On ne conclura tembre, M. Raymond RECOULY, conti- sayent de créer une agitation hostile à pas moins de l'existence d'un plan aussi nuant l'enquête qu'il a entreprise au- l'expédition. méthodique, que l'Allemagne ne s'hyp- près de quelques-unes des principales notise pas sur les réparations, reprend personnalités sur les Heures tragiques LE 2 SEPEMBRE. Le Conseil des son grand dessein de contrôler, par l'I- d'avant-guerre, nous donne les souve- ministres refuse, à l'unanimité, de ratalie, le commerce avec l'Europe çen- nirs du baron de Gaiffier d'Hestroy, di- tifier les accords financiers signés a sous trale et assure ses débouchés dans les recteur au ministère des Affaires étran- réserve o par M. Doumer, le 13 août pays voisins. Il est d'ailleurs notable gères de Bruxelles. Rien ne confirme dernier. « Le gouvernement va recherque la divulgation du rapport confiden- mieux la surprise que l'attitude des cher avec les Alliés, les solutions pro tiel en question coincide avec la signa- Allemands causa à la Belgique. Celle- pres à consacrer les droits de chacun. , ture du traité de commerce germano-ita- ci n'entretenait aucun service d'espion- La légion américaine quitte Paris lien par lequel les deux contractants nage en Allemagne. C'est seulement à pour se rembarquer au Havre. Adieux s'engagent à se délivrer réciproquement 3 heures, le 2 août, quand le vice-con émouvants. Vifs débats, au ReichsJ. DESPRÉAUX. en se un -X Accident grave : un avion Paris-Strasbourg capote au Bourget : le pilote et quatre passagers sont tués. avec cesse) gie. : tag, entre le chancelier Wirth et le 're- des dominions serait acceptable. présentant de la Bavière M. Von Pre- Sports : au Circuit de Brescia, double ger. Berlin fait le procès de la réac- victoire française, Goux, sur Ballot, tion bavaroise : « Il faut que cela gagne le Grand Prix de l'Automobile, dit le chancelier éner- (510 kilom. en 3 h. 35 m.) (moyenne D'après les rapports officiels 144 kilom. 800); Sadi-Lecointe enlève grecs, les Turcs battent en retraite sur le Grand Prix de l'Aviation (280 kilom. la presque totalité du front. - Sports : en 1 h. 13 m.). La course cycliste Padépart de la course Paris-Brest. ris-Brest est gagnée par le Belge Mot tiat (1.196 kilom, en 55 heures) (moyenLE 3 SEPTEMBRE. Il semble qu'une ne : 21 kilom. 600); second : Christoscission se prépare à la C. G. T. A phe, en 55 h. 30. Les Grecs donnent propos des prochaines élections à la des détails sur leur dernière victoire. Commission administrative, pour les- Les Turcs les démentent. quelles les extrémistes présentent seize candidats, les majoritaires posent la LE 5 SEPTEMBRE. Des pourparlers question de confiance : ils ne veulent pas ont commencé, entre la France et la de collaboration avec les extrémistes. Si Belgique particulièrement, au sujet de ceux-ci échouent, ils pourront donc être la revision des accords financiers du 13 expulsés de la C. G. T. - Le bruit août. – A Genève, la Société des Nasuivant lequel Guillaume II s'était en- tions élit président un Hollandais, fui de Doorn est démenti. D'Espa- M. Van Karnebeck. La tension entre gne : le général Sylvestre serait vivant, Berlin et Munich s'accentue. La Baréfugié, gravement blessé, dans la zone vière refuse de lever l'état de siège. française. Les Grecs annoncent la prise d'Angora. LE 7. SEPTEMBRE. La Commission des questions constitutionnelles et juridiques de la Société des Nations prend une résolution d'une importance capitale : elle rejette « l'admission automatique de tout Etat souverain » proposée jadis par la République Argentine (en vue de faire admettre l'Allemagne). Berlin et Munich continuent à négocier au sujet de la suppression de l'état de siège en Bavière : la note est à l'optimisme. Une nouvelle entrevue est proposée par M. Lloyd George à M. de Valera. Grand esprit de conciliation de la part de l'Angleterre : Elle demandera seulement à l'Irlande de ne pas se séparer d'elle. A la suite des troubles entre Autrichiens et Hongrois (au sujet de la transmission des territoires) les Alliés envoient un ultimatum à la Hon. grie, exigeant la remise sans conflit du territoire de Funfkirchen. Le roi de Roumanie quitte la France. Les Turcs démentent formellement la prise d'Angora : les Grecs n'ont avancé que de 7 kilomètres, en perdant 20.COO hommes. san LE 4 SEPTEMBRE, La réponse de LE 6 SEPTEMBRE. Conflits M. de Valera à M. Lloyd George est glants entre Autrichiens Autrichiens et Hongrois publiée : L'Irlande revendique le droit dans les régions de Kirschschlag et Stedes peuples à disposer d'eux-mêmes. gersbach. - Mort de M. Claveille, anElle laisse entendre que le vrai statut cien ministre des travaux publics. La Bourse Principales fluctuations du 31 Août au 7 Sept Le mouvement de hausse a fait de nouveaux progrès et les réalisations de bénéfices quand elles se produisent sont absorbées avec une très grande facilité. Les achats incessants du comptant ont déblayé la Bourse en absorbant les titres déclassés qui pesaient sur le marché. La décision de la Banque de Paris de porter son capital de 150 à 200 millions a été fort bien accueillie et a été un stimulant pour la Bourse qui l'interprète comme étant le meilleur indice d'une campagne d'affaires. La hausse a été générale et les achats ont porté non seulement sur les valeurs de Banque mais encore dans tous les compartiments. Le marché des Rentes françaises demeure fort calme mais il est à remarquer que les écarts pratiqués hors cote ne sont plus que de 2 à 2 1/2. Les Bons du Trésor se maintiennent très fermes aux environs du pair. Le compartiment des Etablissements de crédit est très favorisé, et la Banque de Paris, la Banque de l'Union Parisienne et le Crédit Lyonnais sont en forte avance. Lies Banques étrangères sont fermes et do grosses demandes sont remarquées en Banque du Mexique. Les valeurs de navigation, les valeurs de transports en commun et les valeurs d'électricité sont très fermes. Les valeurs de produits chimiques, la Penarroya, le Rio Tinto, etc., sont en hausse: Les valeurs de sucre sont discutées mais en dernière heure sont plus résistantes. Au marché en banque le Mexican Eagle est aussi demandé qu'il était offert il y a encore quelques jours ; l'attitude du gouvernement mexicain à l'égard de l'industrie pétrolifère est plus conciliante et une réduction sensible de la taxe d'exportation est probable. La De Beers qui, dit-on, va absorber la Jagersfontein accentue sa hausse tandis que les mines sud-africaines sont beaucoup plus calmes. Les valeurs de caoutchouc sont meilleures à la suite de gros rachats. Les valeurs russes sont toujours négligées. A signaler des achats suivis en valeurs de cuivre et plus particulièrement en Tharsis. VALEURS EN HAUSSE Part... 530+100 2.337 + 132 131+ 33 105 +. 49 1.580 + 105 274 + 49 200+ 34 243+ 59 665 + 90 1.575+ 176 503 + 38 346+ 56 625+ 60 105+ 29 332 + 33 420 + 50 775 + 97 485+ 75 568 + 73 475+ 76 331+ 28 402 +116 215+ 20 130+. 10 1.200 + 150 263+ 28 423 + 40 1.375'+ 105 148 + 17 1.610+ 161 Pointe-à-Pitre.. Informations Financières Crédit Lyonnais De source autorisée on déclare qu'aucune décision n'est encore prise en ce qui concerne la convocation d'une assemblée extraordinaire pour décider une augmentation du capi. tal. On sait que, d'après des bruits mis en circulation depuis plusieurs mois, il serait question du doublement du fonds social fixé, depuis 1900, à 250 millions de francs. Dans les milieux bancaires, on croit toutefois que cette opération suivra d'assez près celle qu'effectue la Banque de Paris et des Pays-Bas. L'amélioration du marché des potasses La crise que vient de traverser l'industrie de la potasse semble prendre fin en ce qui concerne les ventes. Celles-ci reprennent peu à peu, encore lentement, mais avec une croissance régulière. La demande est surtout satisfaisante en sels bruts et particulièrement en sylvinite. Les expéditions se font rapidement et on parle de réduire le nombre mensuel des jours de chômage. Société “Los Affrêteurs réunis." A l'occasion de l'augmentation de capital à laquelle cède actuellement cette Société, il convient de montrer le développement progressif de cette affaire. La flotte de la Société malgré des torpillages portant sur so o/o de ses unités est passée de 12 navires en 1914 à 40 navires aujourd'hui. Les anciennes lignes qui reliaient les ports occidentaux : Anvers, Dunkerque, Rouen, Brest, Nantes, Bordeaux, avec l'Algérie et la Tunisie, ont été développées. Une ligne nouvelle a été organisée mettant en relations New-York et Philadelphie avec Alger, Marseille et divers ports espagnols ou italiens : cette ligne est très appréciée par la clientèle américaine et par les chargeurs algériens ou marseillais. Sous le nom de Ligne Française du Levant, la Société a créé 4 services importants qui, partant de Hambourg, Anvers, Le Havre, Bordeaux et Marseille, desservent la Grèce, la Turquie, l'Egypte et la Syrie. Ainsi la Société met en échec la mainmise déjà esquissée des lignes allemandes vers ces régions. D'accord avec une Société filiale « L'Union Fruitière », des services ont été organisés des Canaries (pour les bananes) et d'Espagne (pour les oranges) sur Bordeaux, Rouen et Auvers, Enfin, de Nantes et de Bordeaux fonctionne un service bi-mensuel sur le Maroc. De plus, pour répondre au désir de nos administrations coloniales, un service par paquebots de luxe a été établi entre Marseille, Oran, Tanger, Casablanca et Dakar, servant ainsi de trait d'union entre le Nord-Africain et le Sénégal. On voit que le pavillon vert aux trois étoiles se montre aujourd'hui dans toute la Méditerranée au Maroc, au Sénégal et aux Etats-Unis. Faisons encore remarquer que les seules exploitations con acconage, charbonnage, transit, assurances ont suffi à couvrir la totalité des frais généraux de la Société, tout en laissant encore un bénéfice important. Il est rappelé que l'augmentation de capital nécessitée par cette extension du trafic, s'effectue par la création de 74.000. actions nouvelles de 100 fr. nominal, émises à 112 fr. 50. Les porteurs d'actions anciennes peuvent souscrire 4 actions nouvelles pour 5 anciennes, et une action nouvelle pour 5 parts bénéficiaires. Les souscriptions sont reçues au siège social de la Société, 15, rue Scribe, Paris, ainsi que dans ses succursales dans les ports. Elles sont reçues en outre aux sièges et succursales des *Banques suivantes : Banque Française pour le Commerce et l'Industrie, 17, rue Scribe ; Banque Privée, 30, rue Laffitte ; Crédit Français, 52, rue de Châteaudun ; Société Centrale des Banques de Province, 41, rue Cambon ; Banque Bonnasse à Marseille ; Banque R. Varin-Bernier et Co, 102, boulevard Haussmann. Les phosphates du Maroc Cinq cents nouvelles tonnes de phosphates viennent d'être embarquées à Casablanca à destination de Marseille. C'est la troisième cxportation de phosphates marocains. Dorénavant chaque semaine un vapeur partira de Casablanca, emportant 400 ou 500 tonnes des produits des gisements d'OuedZem vers différents ports de la métropole. nexes Le caoutchouc Le comité de l'association des actionnaires des Compagnies de caoutchouc s'occupe activement de mettre l'organisation sur pied et de lui donner plus l'étendue. Une réunion se tiendra ce mois-ci. Augmentation de capital de la Banque de Paris et des Pays-Bas En vue de porter son capital de 150.000.000 de francs à 200.000.000 de francs, la Banque de Paris et des Pays-Bas procède actuellement à l'émission de 100.000 actions nouvelles d'une valeur nominale de 500 francs chacune. Ces actions sont réservées par préférence aux actionnaires actuels, qui possèdent un droit de souscription à titre irréductible, dans la proportion d'une action nouvelle pour trois anciennes. Ils peuvent également souscrire, à titre réductible, tel nombre d'actions qu'ils désirent ; l'attribution des titres qui n'au. raient pas été absorbés par l'exercice du droit de préférence irréductible sera faite, s'il y a lieu, proportionnellement au nombre d'actions anciennes possédées. Le prix d'émission est fixé à 750 francs, soit avec une prime de 250 francs par action, Il est payable comme suit : 375, francs en souscrivant, du 6 au 26 septembre 1921 et 375 francs du 19 au 31 décembre 1921. Ces 100.000 actions nouvelles seront créées jouissance de l'exercice commençant le 10 janvier 1922. Elles auront droit, à partir du 26 septembre et jusqu'au 31 décembre 1921 à un intérêt de 5 0/0 sur la somme de 375 francs. Le montant de cet intérêt, moins l'impôt de 10 0/0, sera déduit du dernier versement à effectuer le 31 décembre au plus tard. La souscription sera ouverte à partir du 6. septembre et close le 26 septembre au siège social, 3, rue d'Antin, à Paris, dans les succursales de la Banque à Genève et à Amsterdam et dans son agence de Rotterdam. L'insertion prescrite par la loi du 30 janvier 1907 a paru dans le Bulletin des Annonces légales obligatoires, à la charge des Sociétés Financières, portant la date du 5 septembre 1921, no 36. Les Bons de la Défense Nationale Les souscriptions aux Bons de la Défense Nationale ont reçues sans aucune formalité dans toutes les caisses publiques, dans tous les bureaux de poste, dans les succursales de la Banque de France et des principaux établissements de crédit. Les intérêts des Bons de la Défense Nationale sont payés d'avance et exonérés de l'impôt sur les valeurs mobilières. Ils s'élèvent à solo pour les Bons à un an, à 4,50 o/o pour les Bons à six mois, à 4 0/0 pour les Bons à trois mois et à 3,60 olo pour les Bons à un mois. ACCUSE DE RECEPTION Roger GAILLARD, L'If et les constellations, poèmes (Ed. des Feuilles libres). Orphée-roi, par Victor SÉGALEN (G. Crès) Johan BOJER, Le Caméléon, trad. par P.-G. LA CHESNAIS (Calmann-Lévy). René ARCOS, Caserne (F. Rieder). Premier rapport de la Commission d'enquête américaine sur la situation de l'Irlande (La Démocratie). La Cilicie en 1919-1920, par E. BRÉMOND (Imprimerie Nationale). — Charles DUTOIT : L'énergie universelle (Alcan). Gustave BELOT La conscience française et la guerre. (Alcan). - Michel PETROVITCH : Mécanismes communs aux phénomènes disparates (Alcan). Henry BORDEAUX : Le mariage, hier et aujourd'hui (Flammarion). ARYS 8, Rue de la Paix, Paris. LA REVUE DE LA SEMAINE ILLUSTRÉE, qui est la moins chère des grandes revues françaises, s'est assuré le droit exclusif de publier les conférences de la Société des Conférences et par là les plus illustres collaborations, notamment celle de M. le président Raymond Poincaré. Elle offre en outre dans chacun de ses numéros un ou deux romans, des travaux économiques, historiques et critiques, signés des noms les plus qualifiés, des illustrations d'actualité et le résunié de la "Vie de la Semaine". Elle peut être lue par tous avec plaisir et profit. LA HERNIE Tous les hernioux, torturés par les ressorts gides ou déçus par la contention illuso les mauvais bandages, doivent avoir recours u nouvel appareil pneumatique, imperméa. fle et sans ressorts de A. Claverie, le seul probrant, sans aucune gêne, la réduction im. thediate et définitive de la dangereuse infir uté. Conseils, renseignements et Traité de la mizernie, franco et discrètement sur demande, Claverie, laubourg Saint-Martin, 234, Paris. Visites et applications tous les jours de h, à 7 h. et tous les deux mois dans les incipales villes de province. (Demander les CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS Vient de paraitre : Extension du service des locations de places dans les trains. HENRI CRENON de la La question Pensez-vous que le problème de l'en Nationalisation des Mines cignement doit entre tous préoccuper En vue de donner de nouvelles facilités au public pour la location des places dans les trains, qui entre de plus en plus dans les meurs, la Compagnie d'Orléans a jugé utile d'étendre à un certain nombre de points de son réseau le régime primitivement restreint à quelques grandes gares. Des tickets carde places de 1r, 20 et 30 classe sont ainsi à la disposition des voyageurs pour les trains rapides et express de grand parcours dans les gares de : Paris-Quai d'Orsay, Agen, Angers, Angoulême, Auray, aurillac, Bordeaux-Bastide et Saint-Jean, Bourges, Brives, Cahors, Châteauroux, La Baule-Escoublac, La Bourboule, Le Croisic, Le Lioran, le Mont-Dore, Le Pouliguen, Libourne, Limoges-Bénédictins, Lorient, Montluçon, Nantes, Orléans, Périgueux, Pornichet, Quiberon, Quimper, Saint-Nazaire, Toulouse, Tours, Vannes, Vic-sur-Cère, Vierzon. Pour tous renseignements s'adresser aux gares intéressées. COMPAGNONS DE L'UNIVERSITE NOUVELLE secrétaire général Lionel Bataillon Rond-Point Bugeaud (169). LES PLUS BEAUX PORTRAITS CONNUS HENRI MANUEL 79, At da hubaurg-Portaartra, 27 CHENIIN DE FER DE FARIS A ORLEANS Un vol. grand octavo, avec deux planches. 10 fr. Mouvelles facilités pour la livraison à domicile des bagages dans Paris Ed. DUCHEMIN, éditeur Les voyageurs désireux de faire livrer leurs bagages à domicile dans Paris sont invités, 18, rue Soufflot -- PARIS dans leur intérêt, et en vue de faciliter la re mise rapide desdits bagages, à le faire connaitre dès la gare de départ. A l'arrivée, ils présentent leur bulletin à CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS un bureau spécial installé dans la salle des bagages des gares du Quai d'Orsay ou d'Austerlitz en remettant leur commande de livrai. son et, le cas échéant, leurs clefs s'ils ne veu. Nouvelles facilités par relations directes lent point assister eux-mêmes à la visite de l'octroi, entre Paris-Quai d'Orsay et Irun Ils suvent, ainsi gagner ensuite leur domi cile débarrassés de tout souci. Pour plus amples renseignements et notam- Le Gérant : G. DESMARES. voyageurs tout transbordement à BordeauxSaint-Jean et leur assurant dans tous les cas une continuation par train express. (ASCENSEUR) Téléph. Loarro 18-89 ASTHME ESPIC Imprimerie G. CADET, 7, rue Cadet, Paris.. hoidno Saovaralo ОКАНtoon Poudro war is ugatura do d. ESPIO ser abagus diront LIBRAIRIE JULES MEYNIAL Successeur de E.- JEAN FONTAINE MAXIMA 30, Boulevard Haussmann 30 - PARIS Grand choix de beaux livres anciens et modernes OBJETSPART BIJOUX et d'Ameublement AUTOS de Marques MAXIMA VEND AU MEILLEUR PRIX GALERIES d'EXPOSITION: 3. Ru. Taitbout. - Tél. 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