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Journal indochinois conseille des primes à la non-production, et des primes diminuées aux exploitations qui réduisent de moitié leur production.

D'autre part, les comités de vente enrôlant les producteurs ne viennent au jour qu'à grand' peine, et le seul effet de la crise est d'éliminer les nombreuses petites sociétés qui ne peuvent tenir le coup, au bénéfice des grosses compagnies. Ce phénomène est la résultante. normale des grandes crises. On n'a pas à juger si cette élimination brutale est conforme aux lois de la morale sociale. Elle rendra plus aisée l'organisation de la production et de la vente.

Un plan allemand

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de "dissolution pacifique Il semble que les milieux industriels et commerciaux allemands, les vrais maîtres de l'Allemagne républicaine, estiment suffisante une préparation qui dure depuis l'armistice pour songer à une offensive de grand style.

Le coup est dirigé contre l'Italie et la méthode est une réédition exacte des moyens de pénétration économique appliqués avant la guerre ! On doit à l'indiscrétion d'un journal italien l'Idea Nazionale, la divulgation du plan détaillé destiné à ruiner l'industrie italienne conçu par l'attaché commercial allemand à Rome, qui travaille en ennemi beaucoup plus qu'en obser

vateur.

Il s'agit, simplement, de soumettre. l'Italie à un dumping gigantesque, de concurrencer les industries italiennes à tel point que leur activité cesse totalement, et de transformer la voisine et ancienne amie en un fief économique de l'Allemagne nouvelle, par l'absorption des industries principales que la crise économique laisse en état de moindre résistance; on commencerait par l'industrie du caoutchouc et celle de l'automobile, pour continuer par l'industrie textile, les matières colorantes, et l'industrie sidérurgique, création artificielle de la guerre. Le moyen, c'est l'inondation par les produits allemands du marché italien. Les premières étapes semblent parcourues, et la grande industrie marquera d'une pierre blanche la trouble affaire Stinnes-Fiat, qui aboutit à la cession au consortium allemand de la majorité des actions de la société autrichienne Alpine-Montangesellschaft. On songe maintenant à l'absorptior de la Fiat par la firme Siemens-Schukert et l'Alpine, devenue allemande sous une étiquette autrichienne.

L'ambassade allemande affirme que le document est un faux grossier avec la même énergie que les services d'information, pendant la guerre, reniaient les lettres compromettantes. On ne conclura pas moins de l'existence d'un plan aussi méthodique, que l'Allemagne ne s'hypnotise pas sur les réparations, reprend son grand dessein de contrôler, par l'Italie, le commerce avec l'Europe centrale et assure ses débouchés dans les pays voisins. Il est d'ailleurs notable que la divulgation du rapport confidentiel en question coincide avec la signature du traité de commerce germano-italien par lequel les deux contractants s'engagent à se délivrer réciproquement

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beaucoup de reconnaissance à M. René-Louis Doyon; un certain nombre de textes précieux et rares (Banville, Laforgue, Lettres à Pauline, Barbey d'Aurevilly, etc.), ont été réédités par ses soins ou sous sa direction par la Connaissance. Leurs éditions sont propres à plaire aux bibliophiles par leur charmante apparence matérielle, non moins qu'à enchanter les lettrés par le goût et la précision de leurs notices et de leurs annotations. Joignez qu'elles ne sont pas d'un prix décourageant. Cette fois se sont les Chroniques italiennes, que M. R.-L. Doyon réédite. Il a soigneusement examiné les fameux manuscrits conservés à la Bibliothèque Nationale où Beyle avait fait copier les novelle qu'il se proposait d'adapter, et il en a tiré des notes inédites de toutes sortes.

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Le Chevalier de Méré, par Edmond CHAMAILLARD. Le chevalier de Méré fut l'ami de Pascal; mais ce n'est pas pour cette raison seulement qu'il mérite sa biographie (publiée par G. Clouzot, de Niort, le premier éditeur d'Ernest Pérochon), M. Chamaillard nous le prouve. Rien de plus fin et ce plus délicieux que les lettres et fragments de Méré qui forment la seconde partie de ce volume. On eût aimé seulement que le biographe indiquât d'une façon plus précise les sources où il les a pris.

Fayolle, par Henry BORDEAUX.

M. Bordeaux dont l'activité est infatigable nous offre cette semaine une biographie du maréchal Fayolle. Elle est claire, vivante et semble parfaitement

renseignée.

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sul belge à Cologne eut averti M. de Gaiffier que, toutes les 3 ou 4 minutes, des trains militaires allemands partaient vers Aix-la-Chapelle, qu'il n'y eut plus moyen de douter. Ce jour-là encore, le soir, M. von Below, ministre d'Allemagne, se porta une fois de plus garant des dispositions amicales de son pays envers la Belgique ». Puis l'attaché militaire allemand pria le XX Siècle de démentir la déclaration de guerre à la France et à la Belgique, et l'occupation du Luxembourg. Et à 7 heures, von Below remettait à M. Davignon, ministre des affaires étrangères, l'ultimatum allemand !

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Le Mercure de France continue la publication d'une amusante étude de M. Georges MAUREVERT sur les Généalogies fabuleuses, où l'on voit par les prétentions généalogiques de certaines familles et la vanité nobiliaire de certains personnages que le ridicule a cessé de tuer.

Il manque un volume aux mémoires de Bismarck. C'est le tome III; Guillaume II avait toujours mis son veto à sa publication, c'est qu'il s'y trouve des lettres de l'ex-kaiser, que celui-ci ne se souciait pas de voir rendues publiques. Mais les plus curieuses de ces lettres ont été publiées par la presse scandinave; il était question d'en faire une brochure. Guillaume a donc levé son veto. Le Temps du 6 septembre donne celle où le père du futur kaiser recommande que, « en présence du manque de maturité » et de K l'orgueil et de la présomption de son fils aîné, on s'abstienne de le mettre en contact avec la politique extérieure et aussi celle où Guillaume, ayant encore deux empereurs devant lui, recommande au « chancelier de fer les mesures à prendre au cas où, l'empereur et son père venant à décéder, il se trouverait lui-même monter sur le trône.

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LES FAITS DE LA SEMAINE

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LE 1er SEPTEMBRE. Comme on s'y attendait, la réunion du Conseil de la Société des Nations aboutit encore à un ajournement de la solution du problème silésien. Le Conseil, en effet, a désigné, pour faire de nouveaux rapports, quatre experts représentant la Belgique, le Brésil, l'Espagne et la Chine. La Commission interalliée de secours à la Russie a arrêté les instructions à donner aux experts qui se rendront sur place: secours aux affamés, mais non à l'armée rouge. - Guerre hispano-marocaine : violents combats aux environs de Melilla. En Espagne, les partis extrêmes essayent de créer une agitation hostile à l'expédition.

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LE 2 SEPEMBRE. Le Conseil des ministres refuse, à l'unanimité, de ratifier les accords financiers signés a sous réserve par M. Doumer, le 13 août dernier. Le gouvernement va rechercher avec les Alliés les solutions propres à consacrer les droits de chacun.

La légion américaine quitte Paris pour se rembarquer au Havre. Adieux émouvants. Vifs débats, au Reichs

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tag, entre le chancelier Wirth et le représentant de la Bavière M. Von Preger. Berlin fait le procès de la réaction bavaroise : « Il faut que cela dit le chancelier énergie. D'après les rapports officiels grecs, les Turcs battent en retraite sur la presque totalité du front. Sports: départ de la course Paris-Brest.

cesse »

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LE 3 SEPTEMBRE. Il semble qu'une scission se prépare à la C. G. T. A propos des prochaines élections à la Commission administrative, pour lesquelles les extrémistes présentent seize candidats, les majoritaires posent la question de confiance : ils ne veulent pas de collaboration avec les extrémistes. Si ceux-ci échouent, ils pourront donc être expulsés de la C. G. T. Le bruit suivant lequel Guillaume II s'était enfui de Doorn est démenti. D'Espagne le général Sylvestre serait vivant, réfugié, gravement blessé, dans la zone française.

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LE 4 SEPTEMBRE. - La réponse de M. de Valera à M. Lloyd George est publiée L'Irlande revendique le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Elle laisse entendre que le vrai statut

La Bourse

des dominions serait acceptable. Sports au Circuit de Brescia, double victoire française, Goux, sur Ballot, gagne le Grand Prix de l'Automobile, (510 kilom. en 3 h. 35 m.) (moyenne 144 kilom. 800); Sadi-Lecointe enlève le Grand Prix de l'Aviation (280 kilom. en I h. 13 m.). La course cycliste Paris-Brest est gagnée par le Belge Mottiat (1.196 kilom, en 55 heures) (moyenne 21 kilom. 600); second: Christophe, en 55 h. 30. Les Grecs donnent des détails sur leur dernière victoire. Les Turcs les démentent.

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Le mouvement de hausse a fait de nouveaux progrès et les réalisations de bénéfices quand elles se produisent sont absorbées avec une très grande facilité. Les achats incessants du comptant ont déblayé la Bourse en absorbant les titres déclassés qui pesaient sur le marché.

La décision de la Banque de Paris de porter son capital de 150 à 200 millions a été fort bien accueillie et a été un stimulant pour la Bourse qui l'interprète comme étant le meilleur indice d'une campagne d'affaires. La hausse a été générale et les achats ont porté non seulement sur les valeurs de Banque mais encore dans tous les compartiments.

Le marché des Rentes françaises demeure fort calme mais il est à remarquer que les écarts pratiqués hors cote ne sont plus que de 2 à 2 1/2. Les Bons du Trésor se maintiennent très fermes aux environs du pair.

Le compartiment des Etablissements de crédit est très favorisé et la Banque de Paris, la Banque de l'Union Parisienne et le Crédit Lyonnais sont en forte avance. Les Banques étrangères sont fermes et de grosses demandes sont remarquées en Banque du Mexi

que.

Les valeurs de navigation, les valeurs de transports en commun et les valeurs d'électricité sont très fermes. Les valeurs de produits chimiques, la Penarroya, le Rio Tinto, etc., sont en hausse: Les valeurs de sucre sont discutées mais en dernière heure sont plus résistantes.

Au marché en banque le Mexican Eagle est aussi demandé qu'il était offert il y a encore quelques jours; l'attitude du gouvernement mexicain à l'égard de l'industrie pétrolifère est plus conciliante et une réduction sensible de la taxe d'exportation est probable.

La De Beers qui, dit-on, va absorber la Jagersfontein accentue sa hausse tandis que les mines sud-africaines sont beaucoup plus calmes. Les valeurs de caoutchouc sont meilleures à la suite de gros rachats. Les valeurs russes sont toujours négligées.

A signaler des achats suivis en valeurs de cuivre et plus particulièrement en Tharsis.

J. DESPRÉAUX.

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LE 7 SEPTEMBRE. La Commission des questions constitutionnelles et juridiques de la Société des Nations prend une résolution d'une importance capitale elle rejette a l'admission automatique de tout Etat souverain proposée jadis par la République Argentine (en vue de faire admettre l'Allemagne). Berlin et Munich continuent à négocier au sujet de la suppression de l'état de siège en Bavière : la note est à l'optimisme. Une nouvelle entrevue est proposée par M. Lloyd George à M. de Valera. Grand esprit de conciliation de la part de l'Angleterre Elle demandera seulement à l'Irlande de ne pas se séparer d'elle. A la suite des troubles entre Autrichiens et Hongrois (au sujet de la transmission des territoires) les Alliés envoient un ultimatum à la Hon grie, exigeant la remise sans conflit du territoire de Funfkirchen. Le roi de Roumanie quitte la France. Turcs démentent formellement la prise d'Angora les Grecs n'ont avancé que

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Augmentation de capital de la Banque de Paris et des Pays-Bas

En vue de porter son capital de 150.000.000 de francs à 200.000.000 de francs, la Banque de Paris et des Pays-Bas procède actuellement à l'émission de 100.000 actions nouvelles d'une valeur nominale de 500 francs chacune.

Ces actions sont réservées par préférence aux actionnaires actuels, qui possèdent un droit de souscription à titre irréductible, dans la proportion d'une action nouvelle pour trois anciennes.

Ils peuvent également souscrire, à titre réductible, tel nombre d'actions qu'ils désirent; l'attribution des titres qui n'au raient pas été absorbés par l'exercice du droit de préférence irréductible sera faite, s'il y a lieu, proportionnellement au nombre d'actions anciennes possédées.

Le prix d'émission est fixé à 750 francs, soit avec une prime de 250 francs par action.

Il est payable comme suit :

375 francs en souscrivant, du 6 au 26 septembre 1921 et 375 francs du 19 au 31 décembre 1921.

Ces 100.000 actions nouvelles seront créées jouissance de l'exercice commençant le 1er janvier 1922. Elles auront droit, à partir du 26 septembre et jusqu'au 31 décembre 1921 à un intérêt de 5 0/0 sur la somme de 375 francs. Le montant de cet intérêt, moins l'impôt de 10 0/0, sera déduit du dernier versement à effectuer le 31 décembre au plus tard.

La souscription sera ouverte à partir du 6 septembre et close le 26 septembre au siège social, 3, rue d'Antin, à Paris, dans les succursales de la Banque à Genève et à Amsterdam et dans son agence de Rotterdam.

L'insertion prescrite par la loi du 30 janvier 1907 a paru dans le Bulletin des Annonces légales obligatoires, à la charge des Sociétés Financières, portant la date du 5 septembre 1921, no 36.

Société "Les Affrêteurs réunis "

A l'occasion de l'augmentation de capital à laquelle cède actuellement cette Société, il convient de montrer le développement progressif de cette affaire.

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La flotte de la Société malgré des torpillages portant sur So o/o de ses unités est passée de 12 navires en 1914 à 40 navires aujourd'hui.

Les anciennes lignes qui reliaient les ports occidentaux : Anvers, Dunkerque, Rouen, Brest, Nantes, Bordeaux, avec F'Algérie et la Tunisie, ont été développées.

Une ligne nouvelle a été organisée mettant en relations New-York et Philadelphie avec Alger, Marseille et divers ports espagnols ou italiens : cette ligne est très appréciée par la clientèle américaine et par les chargeurs algériens ou marseillais.

Sous le nom de Ligne Française du Levant, la Société a créé 4 services importants qui, partant de Hambourg, Anvers, Le Havre, Bordeaux et Marseille, desservent la Grèce, la Turquie, l'Egypte et la Syrie. Ainsi la Société met en échec la mainmise déjà esquissée des lignes allemandes vers ces régions.

D'accord avec une Société filiale « L'Union Fruitière »,. des services ont été organisés des Canaries (pour les bananes) et d'Espagne (pour les oranges) sur Bordeaux, Rouen et Anvers.

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Enfin, de Nantes et de Bordeaux fonctionne un service bi-mensuel sur le Maroc. De plus, pour répondre au désir de nos administrations coloniales, un service par paquebots de luxe a été établi entre Marseille, Oran, Tanger, Casablanca et Dakar, servant ainsi de trait d'union entre le Nord-Africain et le Sénégal.

On voit que le pavillon vert aux trois étoiles se montre aujourd'hui dans toute la Méditerranée au Maroc, au Sénégal et aux Etats-Unis.

Faisons encore remarquer que les seuies exploitations connexes acconage, charbonnage, transit, assurances ont suffi à couvrir la totalité des frais généraux de la Société, tout en laissant encore un bénéfice important.

Il est rappelé que l'augmentation de capital nécessitée par cette extension du trafic, s'effectue par la création de 74.000 actions nouvelles de 100 fr. nominal, émises à 112 fr. 50. Les porteurs d'actions anciennes peuvent souscrire 4 actions nouvelles pour 5 anciennes, et nouvelle pour 5 parts bénéficiaires.

une action Les souscriptions sont reçues au siège social de la Société, 15, rue Scribe, Paris, ainsi que dans ses succursales dans les ports.

Elles sont reçues en outre aux sièges et succursales des Banques suivantes :

Banque Française pour le Commerce et l'Industrie, 17, rue Scribe ; Banque Privée, 30, rue Laffitte ; Crédit Français, 52, rue de Châteaudun ; Société Centrale des Banques de Province, 41, rue Cambon; Banque Bonnasse à Marseille ; Banque R. Varin-Bernier et Co, 102, boulevard Haussmann.

Les Bons de la Défense Nationale

Les souscriptions aux Bons de la Défense Nationale sont reçues sans aucune formalité dans toutes les caisses publiques, dans tous les bureaux de poste, dans les succursales de la Banque de France et des principaux établissements de crédit.

Les intérêts des Bons de la Défense Nationale sont payés d'avance et exonérés de l'impôt sur les valeurs mobilières. Ils s'élèvent à 5 0/0 pour les Bons à un an, à 4,50 0/0 pour les Bons à six mois, à 4 o/o pour les Bons à trois mois et à 3,60 0/0 pour les Bons à un mois.

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ACCUSE DE RECEPTION

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Roger GAILLARD, L'If et les constellations, poèmes (Ed. des Feuilles libres). Orphée-roi, par Victor SEGALEN (G. Crès). Johan BOJER, Le Caméléon, trad. par P.-G. LA CHESNAIS (Calmann-Lévy). René ARCOS, Caserne (F. Rieder). Premier rapport de la Commission d'enquête américaine sur la situation de l'Irlande (La Démocratie). La Cilicie en 1919-1920, par E. BREMOND (Imprimerie Nationale). — Charles DUTOIT L'énergie universelle (Alcan). Gustave BELOT La conscience française et la guerre (Alcan). Michel PETROVITCH: Mécanismes communs aux phénomènes disparates (Alcan). Henry BORDEAUX : Le mariage, hier et aujourd'hui (Flammarion).

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LA

REVUE de la SEMAINE ILLUSTRÉE

LA REVUE DE LA SEMAINE ILLUSTRÉE, qui est la moins chère des grandes revues françaises, s'est assuré le droit exclusif de publier les conférences de la Société des Conférences et par là les plus illustres collaborations, notamment celle de M. le président Raymond Poincaré.

Elle offre en outre dans chacun de ses numéros un ou deux romans, des travaux économiques, historiques et critiques, signés des noms les plus qualifiés, des illustrations d'actualité et le résumé de la "Vie de la Semaine".

Elle peut être lue par tous avec plaisir et profit.

LA REVUE DE LA SEMAINE ILLUSTRÉE paraît tous les vendredis

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CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS

Extension du service des locations de places dans les trains.

En vue de donner de nouvelles facilités au public pour la location des places dans les trains, qui entre de plus en plus dans les mœurs, la Compagnie d'Orléans a jugé utile d'étendre à un certain nombre de points de son réseau le régime primitivement restreint à quelques grandes gares.

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Des tickets garde places de 1o, 2o et 30 classe sont ainsi à la disposition des voyageurs pour les trains rapides et express de grand parcours dans les gares de Paris-Quai d'Orsay, Agen, Angers, Angoulême, Auray, lac, Bordeaux-Bastide et Saint-Jean, Bourges, Brives, Cahors, Châteauroux, La Baule-Escoublac, La Bourboule, Le Croisic, Le Lioran, le Mont-Dore, Le Pouliguen, Libourne, Limoges-Bénédictins, Lorient, Montluçon, Nantes, Orléans, Périgueux, Pornichet, Quiberon, Quimper, Saint-Nazaire, Toulouse, Tours, Vannes, Vic-sur-Cère, Vierzon.

Pour tous renseignements s'adresser aux gares intéressées.

CHEMIN DE FER DE FARIS A ORLEANS

Nouvelles facilités pour la livraison à domicile des bagages dans Paris Les voyageurs désireux de faire livrer leurs bagages à domicile dans Paris sont invités, dans leur intérêt, et en vue de faciliter la remise rapide desdits bagages, à le faire connaître dès la gare de départ.

A l'arrivée, ils présentent leur bulletin à

CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS un bureau spécial installé dans la salle des

Nouvelles facilités par relations directes

entre Paris-Quai d'Orsay et Irun

Par suite d'accord intervenu entre les Réseaux d'Orléans et du Midi les trains 33 (P. 0.) + 3 (Midi) (départ de Paris-Quai d'Orsay à 21 h. 40) et 12 (Midi) + 34 (P. O.) (arrivée à Paris-Quai d'Orsay à 8 h. 12) comportent, depuis le 1er juin, une rame de voitures directes des trois classes Paris-Irun à l'aller, Hendaye Paris au retour, évitant aux Voyageurs tout transbordement à BordeauxSaint-Jean et leur assurant dans tous les cas une continuation par train express.

bagages des gares du Quai d'Orsay ou d'Austerlitz en remettant leur commande de livraison et, le cas échéant, leurs clefs s'ils ne veulent point assister eux-mêmes à la visite de l'Octroi.

Ilsouvent ainsi gagner ensuite leur domicile débarrassés de tout souci.

Pour plus amples renseignements et notamment pour les tarifs consulter les prospectus spéciaux et les affiches apposées dans les gares.

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