Trois semaines sont en effet nécessaire pour disperser les merveilles réunies dans cette propriété au cours de cinq sièeles par les ducs de Buckingham. ÉCONOMIQUE La crise des "Kartells" en Allemagne L'Allemagne souffre actuellement d'un accès d'indiscipline commerciale qui se manifeste dans la crise des kartells, et qui est une conséquence directe du malaise économique dont les pays d'outre-Rhin ont été plus longtemps préservés que les pays à change élevé. Les groupements fixent des prix que leurs adhérents s'engagent à pratiquer, mais quand les stocks commencent à encombrer les producteurs, ceux-ci n'hésitent pas à reprendre leur liberté, et font des offres à des prix inférieurs à ceux de la Convention. Une fissure de ce genre vient d'être constatée à la Convention de la Tréfilerie, qui existe depuis 1916 la société Noesch notifiait en effet sa résolution de se retirer du groupement à partir du 30 juin. Cette désertion ne fait pas l'affaire des autres affiliées, qui voient sans plaisir disparaître une association qui les défendait contre la concurrence sur le marché intérieur, et leur permettait de maintenir leurs prix à un taux relativement élevé. Malgré la prolongation pour un mois de la Convention de la Tréfilerie, la politique des comptoirs a fait son temps, aussi bien que la politique de dumping à rebours poursuivie depuis l'armistice. Aujourd'hui, c'est le vrai dumping que la sidérurgie allemande est obligée de pratiquer, en vendant à l'étranger moins cher qu'à l'intérieur. De nombreuses lézardes indiquent d'ailleurs que la plupart des organisations de vente de la métallurgie allemande chancellent le comptoir des aciers pour constructions navales, l'union pour la vente à l'intérieur des grosses tôles, l'union du minerai du Siegerland, toutes filiales de la Convention de la Tréfilerie, se séparent du comptoir central: c'est l'accumulation des stocks et la difficulté des ventes qui lui auront porté le plus rude coup. Le fait prouve que la prospérité des comptoirs, qui exige une stricte discipline des prix et une parfaite soumission de tous les adhérents, n'est compatible qu'avec une production limitée et une vente facile. Robert FABRE. Minerve ou Belphegor, par Gaëtan BERNOVILLE. Lorsque ces études parurent dans les Lettres, elles soulevèrent toute une polémique qui agita le monde littéraire. Elles discutent les idées soulevées par l'ouvrage déjà célè bre de M. Julien Benda, Belphegor, contre lesquelles M. Bernoville prend position avec une vigueur remarquable. Ce n'est pas le sur-romantisme et la passion de sentir qui, selon lui, caractérisent notre société contemporaine : c'est au contraire un intellectualisme desséché; et elle s'efforce de se désaltérer aux sources de l'émotion qu'elle veut faire jaillir facticement. Nous vivons sous Minerve et non sous Belphégor. La Baraka, par Edouard de KEYSER, se passe au Maroc, dans le décor savoureux de Fez. On y voit comment Denyse Barriaux, que son mari s'applique par des manoeuvres fort noires à rendre folle, est sauvée par son amie, la poétesse Evelyne Varaines, et par un inflexible et tranchant soldat, le commandant Trajac. C'est un récit très attachant. Petite Idole, par Sarah BERNHARDT. Idole de tous ceux qui l'approchent, cette blondinette, qui est fille d'un philosophe, a la vocation du théâtre. Elle a enfin la beauté et divers genres de génie, grâce à quoi elle fait une carrière triomphale à étonner Sarah Bernhardt elle-même. On se bat elle. Enfin elle expire sur la scène. C'est fort touchant. pour Les Amours de Raspoutine, roman vrai par Charles PETTIT. Ce livre qui n'a pas la prétention de nous apporter de l'inédit sur le moine débauché, mauvais génie du tsar, nous narre au moins de façon agréable sa vie, ses aventures et sa mort tragique. par d'autres organisations. L'Association française du Livre et du Papier, dont il annonce la fondation, a un objet intéressant, mais il serait bon qu'elle s'entendit avec les organisations déjà existantes, car si l'on recommence toujours sur de nouveaux frais... La Revue Hebdomadaire publie une notice de M. François Aquin sur l'ossuaire de Douaumont, le discours du maréchal Pétain et des articles de Mme la comtesse de Noailles et de MM. Maurice Barrès, Dorgelès, G. Duhamel et H. de Montherlant, secrétaire de l'Œuvre. L'Œuvre de l'ossuaire de Douaumont est fort à encourager. Il y a déjà plusieurs mois que M. de Montherlant, son secrétaire, l'a signalée et recommandée dans nos colonnes. pour négocier au nom du gouvernement avec Hoefer et le fameux comité des Douze, a complètement échoué dans sa mission de conciliation. La campagne continue en Allemagne en faveur de l'annexion de la Silésie. LE 24 JUIN. La commission des af. faires étrangères de la Chambre, après celle du Sénat, entend un exposé dé taillé de M. Briand. Au cours de son voyage en Syrie, le général Gouraud est victime d'un attentat sur la route de Damas à Kunaïtra : Des agresseurs à cheval tirent sur son automobile et sur celle de sa suite: L'interprète français Branet est tué. De grandes manifestations de sympathie, pour pro tester contre ce crime, ont lieu dans toute la région. En Irlande, à peine le roi parti, les violences redoublent ; les sinn-feiners font sauter un train de troupes anglaises, de celles même qui étaient venues pour le service d'ordre. Dans différentes villes, on tue, on jette des bornbes. A la Chambre des Communes, le ministre de la guerre déclare que la force seule viendra à bout des rebelles et il déclare étudier l'envoi en Irlande de toutes les forces disponibles. LE 25 JUIN. Terrible accident de chemin de fer sur le Nord. Quatre wa gons de queue du rapide Lille-Paris déraillent, à Beaucourt-Hamel, et sont écrasés. Vingt-sept morts, plus de soixante blessés. La situation en Ir lande M. Lloyd George envoie une lettre au président de Valera par laquel le il l'invite à venir à Londres, avec tels de ses collègues qu'il choisira luimême, pour discuter les possibilités d'une réconciliation et d'un accord pour l'avenir. La surprise est d'autant plus grande que M. de Valéra avait été, il y a deux jours, arrêté, puis relâché sans aucune explication. En Orient le gouvernement d'Angora fait un accueil favorable à l'offre de médiation des Alliés; par contre, la Grèce, s'il faut en croire des déclarations officieuses de M. Gounaris, la repoussera probable LE 26 JUIN. Une note de la Grèce refusant toute médiation est remise aux légations des Alliés à Athènes par M. Baltazzi. En Irlande, un communiqué officiel dit que le président de la République ne prendra aucune décision avant d'avoir consulté les membres du Dail Eireann, dont plusieurs d'ailleurs sont en prison. Sports A Longchamp, le Grand-Prix, dont le montant est cette année de 519.000 francs, est gagné par Lemonora, anglais, à M. J. Watson, monté par Childs. LF 27 JUIN. Le roi d'Espagne, voyageant incognito, passe par Paris et visite Versailles en compagnie de M. Millerand et du prince Hirohito. César Caire est élu président du Conseil Municipal de Paris. En Silésie, les Polonais ayant continué leur ment de repli pour obéir aux sugges tions des alliés, le général Hoefer finit par s'incliner et s'engage à évacuer la zone qu'il occupe. A Londres, les entrevues entre patrons et ouvriers (grève des mineurs) semblent sur le point d'aboutir. Le ministre, sollicité dans ce sens par les deux partis, rétablirait la Les dispositions de la Bourse sont décidément meilleures et pour la semaine écoulée nous avons à enregistrer une reprise générale quoique encore timide, les indications qui nous parviennent de Londres étant plus satisfaisantes. La Banque d'Angleterre a réduit son taux officiel d'escompte de 6 1/2 0/0 à 6 o/o et la grève des mineurs qui dure depuis si longtemps est en voie d'arrangement. Par ailleurs la dépression de New-York fait place à une vive reprise et enfin la question de la HauteSilésie paraît résolue. Les transactions cependant continuent à être réduites, le public sollicité par d'importantes émissions d'obligations désertant toujours la Bourse. Le marché des changes ne présente aucun intérêt et eu égard aux besoins de fin de semestre conserve toute sa fermeté. Les Rentes françaises ne modifient en rien leur situation. Les offres très nourries ne sont absorbées que dans des proportions minimes. Les actions de nos grandes Banques sont beaucoup plus résistantes et le découvert vendeur devra par ses rachats contribuer à une bonne reprise. Aux valeurs diverses le fait saillant est la forte hausse des valeurs de sucre. La récolte par suite de la sécheresse prolongée est compromise et les achats escomptent en conséquence la hausse du produit. Les valeurs de Navigation, de Transports en commun, d'Electricité, la Kuhlmann et la Gafsa sont très soutenues. Le Rio Tinto est ferme sur une amélioration du marché du cuivre. Au marché en Banque les valeurs de Pétrole sont meilleures, l'approche de la liquidation exigeant des rachats. La De Beers paraît mieux disposée, tandis que les Mines sud-africaines et les valeurs de Caoutchoucs sont toujours lourdes. Les valeurs russes sont très fermes sur l'attitude concluante du gouvernement des Soviets. La Balia-Karaïdin demeure discutée et des achats sont remarqués en Estrellas. J. DESPRÉAUX. Sosnowice VALEURS EN BAISSE .... Dakar à Saint-Louis. Tubes de Sosnowice. Part Héraclée Informations Financières Le Marché des Rentes 300 On a annoncé que la liberté du marché des rentes serait réinstituée à partir du mois d'août. Au ministère des finances on déclare que la question est seulement à l'étude mais qu'aucune décision n'a été prise encore. Banque de France Le Conseil général de la Banque de France a fixé le dividende du premier semestre 1921 à 135 francs net. Ce dividende sera payé à dater du 30 courant. Emprunts Serbes 1881 et 1888 On annonce la reprise des tirages de ces emprunts. Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie M. Eugène Regnault, ambassadeur de France, ancien ministre à Tanger, est appelé au Conseil de cette société. Nord Sud En ce qui concerne le nouvel accord avec la Ville, on précise que la concession ne devant expirer qu'en 1955, l'exploitation aura lieu jusqu'à cette date, pour le compte de la Ville qui versera à la Compagnie comme indemnité, une prime de 34 millimes par billet. L'Emprunt de Verdun S'il est un nom évocateur d'héroïsme, symbole des vertus qui nous ont permis de vaincre, c'est Verdun. Ces deux Principales fluctuations du 22 au 29 juin 1921 syllabes dominent de haut l'histoire d'une guerre qui domine Qui ne se souvient des heures angoissantes de 1916 où Verdun était vraiment devenu le cœur de la France, lorsque les régiments s'y succédant l'un à l'autre, venaient, l'un après l'autre, y tenir et y mourir. Verdun a tenu. Sa gloire est sans égale, mais l'imprenable citadelle a payé sa gloire de sa ruine. Tous ceux qui ont fait le pieux pélerinage sont restés confondus devant la désolation de ces lieux qui éveillent l'idée du désert et de la mort. Il faut maintenant que Verdun renaisse à la vie ; il faut qu'elle rebâtisse ses 'foyers; pour cela l'argent lui est nécessaire. Usant de la faculté que lui confèrent les nouvelles dispositions législatives, la Ville de Verdun émet un emprunt de 55 millions de francs, en obligations 6 0/0 de 500 francs, amortissables en 30 ans, nettes de tous impôts présents et futurs, offertes au public au prix de 475 francs. Cet emprunt, qui est gagé, intérêts et amortissement, par les annuités de l'Etat Français que la ville délègue à la Société Civile des Porteurs d'obligations, offre aux souscripteurs un rendement net de 6,30 0/0 environ. C'est le plus beau des placements, et c'est aussi le plus sûr. Car le crédit de Verdun se confond avec celui de la France. Verdun n'est pas un centre industriel, mais c'est mieux et plus que cela. C'est la sentinelle avancée, l'éternelle gardienne de toutes les industries françaises. Elle est celle sans laquelle les autres ne seraient pas. Existe-t-il au monde meilleure et plus riche signature ? Souscrire à l'Emprunt de Verdun, c'est avoir foi en l'honneur même de la France. Les demandes sont reçues dès maintenant aux guichets des établissements suivants : Banque privée, Banque VarinBernier et Cie, Banque d'Alsace et de Lorraine, Société Nancéienne, Banque Renauld, Crédit de l'Ouest, Morgan Harjes et Cie, Guaranty Trust Company of New-York, London County Westminster and Parr's Foreign Bank Limited, Royal Bank of Canada. L'Emprunt de 120.000.000 de la Ville de Reims Par un décret en date du 20 juin 1921, la Ville de Reims vient d'être autorisée à émettre un emprunt de 120.000.000 de francs, destiné à la reconstruction d'es immeubles détruits pendant la guerre. Les fonds provenant de cet emprunt ne pourront être utilisés que pour couvrir les dépenses de reconstruction des immeubles appartenant aux sinistrés de ia ville de Reims, qui auront adhéré au groupement qu'elle aura constitué, conformément aux dispositions législatives qui concernent le règlement des indemnités pour dommages de guerre. Cet emprunt qui sera net de tous impôts présents et futurs, est divisé en 240.000 obligations 6 o/o de 500 fr., émises au prix. de 475 fr. et remboursables au pair, en 30 ans, par voie de tirages au sort annuels. Le premier remboursement aura lieu le 1er juillet 1922. Chaque obligation rapportera un intérêt, annuel de 30 fr. net, payable par coupons semestriels de 15 fr., les 1er janvier et er juillet de chaque année, le premier coupon étant à échéance du 1er janvier 1922. Les coupons et les titres appelés au remboursement seront payés aux guichets des Etablissements chargés du placement. Société Générale Pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France. Société Anonyme. Capital: 500 millions. Il est rappelé à MM. les actionnaires que l'assemblée générale du 22 mars 1921 a fixé le dividende total à 22 fr. 50 bruts par action, soit net 20 fr. 25, sur lesquels un acompte de 6 fr. 25 a été payé le 2 janvier 1921. Il sera donc distribué, à partir du 1er juillet 1921, 14 francs nets par action. Le paiement s'effectuera à Paris, au Siège de la Société, 29, boulevard Haussmann, et dans toutes ses agences. Le Directeur Général : SIMON. Groupement de l'Industrie sucrière française Emprunt de 200 millions de francs 6 olo nets d'impôts, gagé par des annuités de l'Etat Le groupement de l'Industrie sucrière française en reconstitution (sucreries et raffineries) émet un emprunt d'un montant nominal de 200.000.000 de francs en obligations 6 o/o de 500 francs, nettes d'impôts présents et futurs. Les titres de cet emprunt peuvent servir d'emploi aux fonds des incapables, des communes, des établissements publics et d'utilité publique et autres particuliers et collectivités autorisés ou obligés à convertir leurs capitaux en rentes sur l'Etat. Ces obligations rapporteront un intérêt annuel de 6 05 net, soit 30 francs par titre payable par coupons semestriels les 1er janvier et 1er juillet de chaque année. Echéance du premier coupon 1er janvier 1922. Elles seront remboursables au pair, en trente ans, à partir du 1er juillet 1921, sauf remboursement anticipé à partir du 1er juillet 1926, moyennant un préavis de trois mois. Le présent emprunt a pour but de procurer aux industriels ci-après désignés les ressources nécessaires à la reconstitution de leurs usines : MM. Louis Beauchamps fils, Waeles et Cie, Bernard frères, Compagnie nouvelle de sucreries réunies, Joseph Cuvelier, Charles Delloye, Joseph Delloye, Victor Dujardin et fils, Flambert et Cie, Lebaudy frères, J. Millet et Cie, Pagniez Risbourg et Cie, Th. Risbourg et Cie, Sailly et Cie, Société anonyme des sucreries Ternynck, Société anonyme de la sucrerie agricole de Maisy, Société anonyme sucrière FrancoBelge, Société anonyme de la sucrerie de Masny, Société anonyme de Faucouzy, Société anonyme des anciennes sucreries Macherez, Goumant et Cie, Société F. Beghin, Société de la sucrerie de Bohain, Société de la sucrerie distillerie de Solesmes, Société industrielle et agricole de la Somme, Société sucrière anonyme de Marle, Société de la sucrerie agricole de Guignicourt, Société de la sucrerie agricole de Loivre, Société de la sucrerie de Montcornet, Société de la sucrerie de Saint-Germain mont et d'Ecly, Société industrielle et agricole de Crépy-en-Laonnais, Société sucrière d'Aulnois-sousLaon, Société Bertrand Sarazin et Cie ; Société Sarazin et Cie; Société sucrière anonyme de Chevresis-Monceau, Société Vermandoise de sucreries (usines réunies de SainteEmilie, Cartigny, Hervilly), Sucrerie de Milempart, Sucrerie centrale de Cambrai, Sucrerie agricole de Chambry. En considération des ressources financières qui leur seront ainsi procurées, ces industriels se sont engagés, chacun en ce qui le concerne, à effectuer entre les mains du groupement de l'industrie sucrière française en reconstitution (sucreries et raffineries) sur simple demande, au profit et pour le compte de la Société civile des obligataires, des versements échelonnés sur trente ans, dont le total, aux dates indiquées, couvrira exactement le service de l'emprunt, intérêt et amortis sement. En garantie de ce service, le groupement de l'Industrie sucrière française en reconstitution a remis en gage à la Société civile des obligataires du présent emprunt les titres des annuités délivrés par l'Etat en application de la loi du 31 juillet 1920 et des lois subséquentes, pour un montant total annuel de 14.529.782 francs payables au profit des industriels susvisés, qui les lui ont préalablement délégués. Ces annuités seront maintenues en gage pendant toute la durée de l'emprunt, pour un montant égal au service de l'intérêt et de l'amortissement. Le groupement de l'industrie sucrière française en recons titution constituera de plus, en provision, pour le paiement du premier coupon semestriel de l'emprunt, une somme égale au montant de ce coupon. Les engagements faisant l'objet des mentions ci-dessus, ne pourront être modifiés sur aucun point sans l'assentiment de l'unanimité des obligataires. Le prix d'émission est fixé à 475 francs par obligation, payables en souscrivant, jouissance du 1er juillet 1921. La publication de la notice exigée par la loi a été faite au Bulletin des Annonces légales obligatoires, à la charge des sociétés financières, en date du 27 juin 1921. Trois nouveaux contes de la vieille France, par Jean MoMo RÉAS (Emile-Paul). Mémoires du comte Witte, 1849-1915 (Plon-Nourrit). Pages françaises, par Georges CLEMENCEAU, ed. by Regis MICHAUD (Scott, New-York). Le génie américain, par W. RILEY (Bibliothèque de philosophie contemporaine, F. Alcan). Charles GUIGNEBERT: Le Christianisme antique (E. Flammarion). Charles BAUSSAN Joseph de Maistre et l'idée de l'ordre, introduction du marquis de ROUX (G. Beauchesne). Raoul STOUPAN : Les Dieux de La Fontaine (Ed. des Tablettes). Gaston HOMSY : Si les Alle mands avaient gagné la guerre, roman (Ed. indépendantes). LORENZI DE BRADI: La sirène bleue; L'histoire de Tégla, romans (E. Chiron. Roland CHARMY: Les culs-terreux, roman (Renaissance du Livre). Les maîtres du théâtre : D'Eschyle à Curel, par Alfred POIZAT (Renaissance du Livre). CANUDO Reflets du feu sur quinze visages des masses, des villes et des hommes (Renaissance du Livre). CHARLES GALLET: Le pape Benoit XV et la Guerre (Pierre Téqui). La résistance au Concordat; profils d'évêques, profils de prêtres, par RENÉ DE CHAUVIGNY (Plon-Nourrit). JULIE BERLIET: Les amis oubliés de Port-Royal (Dorbon aîné). : Édition définitive augmentée d'une préface nouvelle << Kiel et Tanger est l'analyse des efforts diplomatiques tentés depuis vingt ans par la démocra française. Je le mets sur le même rayon de ma bibliothèque où se trouvent aussi Machiavel et Montesquie DANIEL HALEVY (Quelques nouveaux maîtres, 1913) Cinquante exemplaires sur pur fil Lafuma, l'un. . . 60 fr. Un volume in-8 carré de la Collection des Écrivains de la Renaissance française. 15 En vente le 10 mille: LÉON DAUDET VERS LE ROI SOUVENIRS DES MILIEUX POLITIQUES, LITTÉRAIRES, ARTISTIQUES ET MÉDICA Avec ce volume de ses Souvenirs, Léon Daudet entre dans la période contemporaine. C'est l'histo du mouvement de l'Action française où l'on verra vivre et agir, au milieu d'événements mémorabl les personnalités unies à Charles Maurras pour la renaissance nationale. C'est donc un grand li d'histoire plus passionnant que le plus passionnant des romans. Il a été tiré de cet ouvrage une première édition sur vergé d'Arches et sur pur fil Lafuma SON IMPORTANCE -- COMMENT IL SE POSE AUJOURD'HUI C'est parce que le billet ne vaut plus ce qu'il valait autrefois que la vie est chère, que les rentie sont ruinés, que la vie économique est troublée. Ce livre apporte la vérité sur ce problème, le pl grave de notre temps. Un volume in-16 double-couronne de la Bibliothèque des Hautes Etudes Nationales. 6 fr.! Rappel d'actualité : GEORGES VALOIS LA MONNAIE SAINE TUERA LA VIE CHÈR CE QU'EST LA VIE CHÈRE- INFLATION ET DÉFLATION L'ASSAINISSEMENT DE LA MONNAIE COMMENT ORGANISER LE RETOUR AUX PRIX VRAIS Un volume in-16 double-couronne (5e mille). 4 f AJOUTER 10% POUR LES FRAIS D'EMBALLAGE ET DE PORT |