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2. Usage et la tolérance.

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devine quel peut être le rôle décisif du représentant de fort aimable quand on reprendra le bateau-mouche le la grande puissance d'outre-Atlantique.

mois prochain. Nous sommes d'accord ? Oui. Eh bien, Šes instructions semblent lui laisser une assez vaste pourquoi donc des orangers autour de la colonne Venam latitude. Et jusqu'alors il n'a pas pris nettement posi- dôme seraient-ils si ridicules ?

tion. A Londres, il a déclaré que l'Angleterre était la Un facteur me souffle : coiffez donc aussi la place mère des Etats-Unis, mais il a aussitôt ajouté que la d'un vitrail gigantesque pour en faire une serre. France en était la soeur. Au Conseil suprême, théori- Non, Monsieur, je n'y réclame même pas de chaises. quement simple observateur, il parle assez peu. Mais Qu'on nous laisse seulement la libre disposition de

son silence, plus que tout autre, est d'or, tout chargé celles des Tuileries ! bike

qu'il est de dollars : les brillants premiers rôles de la Excusez l'audace de la midinette qui signa anonye lid

Conférence s'efforcent, à l'envi, d'en percer le mystère. mement de que je contresigne.
Et les bésicles du colonel Harvey leur paraissent de

LEGRAND-CHABRIER. magiques miroirs dans les reflets desquels ils cherchent, non sans quelque inquiétude, à lire l'avenir. JACQUES CARLES.

Joies d'été Requête de la midinette.

Voici que déjà les affiches multicolores et tentatrices

claironnent sur les murs l'éternelle invitation au voyage. esta

Permettez-moi de parler par votre truchement, Mon- Les boulevardiers les plus endurcis se découvrent sou

sieur le Rédacteur, aux lecteurs de l'opinion, pour dain un cour idyllique et « Trianon »; ils aspirent aux ite: qu'ils appuient notre supplique. La question ne vous calmes joies champêtres, hamacs sous les arbres frais, ed: semblera sans doute que d'un piètre intérêt général. laitages bus en d'antiques fermes aux toits de chaume. Duis. Cependańt notez qu'il s'agit là d'une tradition locale A moins que, tout simplement, ils ne brûlent de reFi charmante, touchante aussi

, établie depuis des années, trouver, à Deauville ou ailleurs (et à des prix défiant gotis et que nous voudrions voir désormais inscrite dans la toute concurrence) la même vie que durant l'hiver : charte par

le Conseil municipal de Paris. En ce mo- potins, thés, courses, pâtissiers et dancings. Comme ole ment même il y a contestation de notre droit acquis par les marionnettes d'antan, les protagonistes de la vie

parisienne font trois petits tours au bord de la mer Oui, nous autres, midinettes ah, je sais que nous

avant de s'entasser dans les palaces de la côte d'azur. n'avons plus la vedette dans la popularité des revuis- Cependant il est de malheureux esclaves que leur tes et des chansonniers, ce sont les sténo-dactylos, profession, ou — hélas ! - le manque de pécune, atnous réclamons la gratuité officielle et reconnue des tachent aux rivages de la Seine. Et ces bords ne sont sièges dans les squares et jardins pendant l'heure du guère fleuris et manquent des « tendres brebis » chères déjeuner. Et un complaisant conseiller a introduit notre à Mme Deshoulières. A quelles joies peuvent prétendre equête.

les citadins durant les mois caniculaires ? Mais elles jamais vous avez passé à midi aux Tuileries, au foisonnent et les journaux ne nous en ont donné qu'un lais-Royal, aux Champs-Elysées,

vous savez bien

faible aperçu... burquoi. En effet, n'eûtes-vous pas l'impression d'une

Tout d'abord mentionnons les plages du pauvre : alle à

le à manger imprévue et improvisée ? C'est notre Ivry, Saint-Denis et autres lieux. Là, pas de dames estaurant de la nature. Ne fûtes-vous pas touché de costumes de bain théâtraux. Le caleçon du Fingénuité de nos menus et de notre vaisselle ? Le

l'honnête mouchoir noué en nega zand ces repas, c'est le grand air. Voilà, n'est-ce pas, el de

pagne, suffisent à ces êtres simples et la vue de leurs me coutume aussi hygiénique que pittoresque. Or, au

ébats innocents arracherait sans doute des larmes d'atfefois

, jamais la chaisière n'apparaissait pour quêter tendrissement à Jean-Jacques, de Genève et d'Ermee prix du siège. Depuis, l'entente tacite a été dénon- nonville. eppée. Et l'on nous poursuit pour recouvrement

d'une Une association d'idées ou plutôt une alliteration che dime dont nous réclamons l'exonération: Ah, ne taxez nous amène, sans autre transition, à célébrer les voluppas la note de notre frugal repas...

tés du bois de Boulogne, de la Cascade et du pavillon Pour une question de gros sous, ne troublez donc d'Armenonville

. Il n'est pas donné à tous d'aller à pas cet instant délicieux et idyllique de la vie de Paris Corinthe, ni même à Venise. Mais chacun peut aller squ'est l'heure de la midinette. Y a-t-il rien de plus déguster nonchalamment quelque glace au bois, ou, émouvant à la réflexion que cette gaie nourriture de plus démocratiquement, s'étendre au pied des acacias,

plein vent pour des citadines aux vies encloses? Rappel en guettant la gracieuse indécision des daims farouches. des conditions premières de l'humanité, geste analogue Que nous parlez-vous de la Suisse? N'avons-nous pas aux collations des paysans dans les champs, aubaine les Buttes-Chaumont et ses grottes, le parc Montsouris, de miettes pour les moineaux et les pigeons.

et tant d'autres jardins où des jets d'eau irrisés verTelles sont nos meurs de midi. Elles mettent une sent la fraîcheur aux pelouses, comme aussi au caur singulière animation dans la ville. Respectez-en la tra- des citadins. Louerons-nous le Luxembourg, cher aux dition. Ou sinon, nous manifesterons sous les orangers. poètes et aux sénateurs? Verlaine, Sand et Watteau

Car voici encore qui nous intéresse. La place Ven- y sourient aux couples enlacés, comme d'ailleurs la dôme est de notre domaine. Pourquoi ne pas nous de- bonne Ségur qui perpétra le Général Dourakine. mander notre avis sur ce projet de décoration florale Pour le soir, programme varié : berges de la Seine autour de la colonne, dont la presse a parlé ?

où clapote une eau moirée, terrasses des cafés et des L'autre jour, j'errais sur les quais, en guise de dessert Biard, petites places paisibles et provinciales de la e un repas un peu bref pris non loin de cette dodue Butte, de Grenelle, de la Butte aux Cailles. statue qui fit tant parler d'elle. J'aperçus dans une Mais il est un paradis terrestre pour les belles soirées boite de bouquiniste une image du Pont des Arts en d'été : les Champs-Elysées. Sous les saules pleureurs l'ancien temps... je ne sais au juste lequel, je ne suis

sous les marronniers, que n'allez-vous fumer le cipas érudite.. où il y avait une suite de baqucis d'orangers, et j'ai trouvé cela assez agréable à l'oeil

. Je me

gare d'après-dîner! Assis sur ces chaises rebondis

santes, voire, ces fauteuils imposants, vous entendrez, demande même pourquoi on n'en remettrait pas : cette sans bourse délier, les Thérésā et les Paulus contema

porains. Un, deux, trois orchestres se répondent. Les

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bazar à treize, voir

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voitures remontent vers l'Etoile et vers le bois. Il fait cevoir et refaire. « La femme du XIII° siècle », au condoux de s'abandonner à quelque rêverie en ce décor traire, ce n'est rien, parce que nulle documentation délicieux! Mon Dieu! n'est-ce pas préférable aux ca

écrite ne peut être assez abondante pour nous permet sinos sahariens et aux masures bretonnes ?...

tre de créer cette notion. C'est l'infirmité de l'histoire

des mæurs que d'être toujours forcée de généraliser EDOUARD DEVERIN.

ainsi au petit bonheur.

« La géographie et la chronologie sont les deux flam.

beaux de l'histoire », comme chacun sait. Mais l'histoire La Littérature

des moeurs ne prend quelque apparence de vie qu'à condition qu'ils soient à peu près éteints. Si, pour faire un

portrait du paysan français au XIX° siècle, quelque écri(1) Aux champs

vain de 2521 juxtaposait des renseignements cueillis

dans Balzac, George Sand, Zola, Maupassant, Mistral L'histoire des paysans au moyen âge n'apparaît pas

et Jules Renard, il ferait à peu près ce que nous faisi noire que le disaient les historiens romantiques. Socia

sons quand nous cherchons à représenter le manant du Jement, dès la fin du XI° siècle (auparavant on ne sait

XIII° siècle ; et voilà pour le flambeau chronologique. à peu près rien), les possesseurs du sol commencent à

Quant au géographique, songeons à ce qu'était la comprendre que leur bien ne rendra tout son fruit que

France de jadis : un pays dont les habitants différaient si le paysan peut travailler sans être opprimé, foulé, traité comme un esclave. Et les affranchissements des plus, d'une région à l'autre, qu'à cette heure un Anglais

d'un Espagnol. A quoi peut bien correspondre cette serfs deviennent nombreux, en même temps que leur condition s'adoucit beaucoup. D'autre part, les nobles expression le « paysan de France au moyen. âge » ? s'efforcent d'attirer les colons libres en leur concédant,

Léopold Delisle nous a montré, dans un travail qui

est un des modèles classiques de l'érudition franmoyennant de faibles redevances, des parcelles à défricher. On accorde des chartes aux communes villageoi- çaise (1), qu'en Normandie, par exemple, au XIII° et au

début du XIV° siècles, la condition des ruraux était à ses (car depuis une haute antiquité les paysans sont syn

peu près celle qu'ils auront à l'époque où il écrira diqués, conformément au rêve de Rougeron, l'ami de

lui-même, cinq siècles et demi plus tard. Leurs charM. Daniel Halévy) ; on favorise même quelquefois les

rues, leurs vans, leurs fléaux sont les mêmes ; leurs associations de communes, les fédérations de syndi bestiaux plus nombreux, les granges dont ils disposent cats... Au XIII° siècle, la population paysanne se com

au moins aussi belles. Les moins favorisés acquittent pose de fermiers, qui tiennent des terres à bail comme

des redevances aux seigneurs et aux gens d'Eglise, des aujourd'hui, d'ouvriers agricoles qui se louent, et

droits d'héritage, ils accomplissent des corvées ; mais d'une foule de petits propriétaires en fait, je veux dire

tout cela est réglé et ils peuvent s'en racheter moyenqui ont pratiquement (s'ils ne l'ont en droit) la pro

nant finances. D'ailleurs, les plus libres n'ont guère à priété de leurs domaines, soit qu'ils les tiennent en cen

payer qu'une rente et des droits de mutation, à faire sive, c'est-à-dire à perpétuité, avec le droit de les ven

tems dre et léguer, moyennant une redevance, un cens fixée quelques petits travaux, à prêter de temps en

,
un cheval au maître. Et tout porte à croire que

les une fois pour toutes, soit par tradition immémoriale,

midables impôts modernes sont une charge plus lour moyennant redevance également. Comme ces redevan

que celles-là. En Artois, à la même époque, « le rendemes ces se payent souvent en argent, et que la valeur de

du blé était voisin de ce qu'il est aujourd'hui i pom l'argent diminue sans cesse, dès cette époque la noblesse

les mêmies terres, il se tenait de 1319 à 1327, entre 7 et yoit ses revenus fondre au profit des paysans ; à

par

11,6, et il est évalué, de nos jours, avec une culture per tir du XVI° siècle, elle sera complètement ruinée :

fectionnée, entre 11 et 13. Le bétail était abondant. Les effet, que vaudront alors les 3 ou les 5 sous que rap- jardins étaient soignés. Les fermes étaient bien pourporte annuellement tel fief ? Enfin il semble bien qu'en

vues de matériel. La plupart des ouvriers étaient à fait, au temps de Saint-Louis, la propriété rurale ait été morcelée autant, sinon plus, que de nos jours.

gages ou payés à la tâche ; le travail par corvées ten

dait à disparaître. Les femmes, qui étaient en aployés Après la guerre de Cent Ans, la classe paysanne fait en assez grand nombre, travaillaient cinq jours et demi de nouveaux progrès parce qu'on a besoin d'elle plus la semaine et étaient payées tous les samedis. Il y que jamais : il faut l'attirer de nouveau sur la terre avait dans les villages des institutions charitables, mille en friche, et pour cela les seigneurs font aux colons tolérances, droits d'usage, de glanes, etc... (2). des offres avantageuses. En général, la condition des

Malheureusement la guerre de Cent Ans éclate, et un serfs (il y en avait encore dans l'Est, le Centre et quel siècle plus tard la France n'est plus qu'un désert en ques pays du Midi) ne différait plus guère, depuis long- friche. La guerre, les famines qui tenaient à temps, de celle des paysans libres, en pratique tout au vaise organisation économique et aux transports, les moins ; on les affranchit pourtant par masses. Partout | contagions, voilà les trois grands fléaux de la classe les salaires sont en hausse des baux, des censives

rurale à travers l'histoire. Le premier, il ne parait pas avantageux sont accordés aux cultivateurs... Le paysan du moyen âge était donc moins à plaindre qu'on ne l'a garantisse, et je ne pense pas qu'aucune guerre du

que notre organisation sociale et politique nous dit ? Ah ! cela, dame, on n'en sait rien ! Et d'abord, passé ait pu faire endurer aux populations des soufqu'est-ce que le « paysan du moyen âge » ?

frances égales à celles qu'a causées à nos Ce n'est pas qu'on ne puisse légitimement généra-ments du Nord et de l'Est la guerre de 1914. Quan

départe Tiser dans ce sens. Assurément, « le paysan », ou « la aux deux autres, si nous ne les sentons plus,

C’est a femme », ou « le Français », etc., ce ne sont là que des progrès de l'industrie et de la science que nous antités mais fort vivantes tant que nous les considérons devons, non pas au progrès politique... dans l'absolu; seulement, dès que nous voulons les loca- Voilà le grand mot lâché. Il est peu de questions a Liser dans l'espace et dans la durée, elles s'évanouissent. laissent moins impassibles les historiens que celle d m La femme », c'est une abstraction claire, que chacun conséquences des régimes politiques sur le bonheur de nous trouve dans sa propre expérience de quoi con

(1) Etude sur la condition de la classe agricole et l'état (1) Daniel Halévy, Visites aux paysans du Centre (« Les l'agriculture en Normandie au Moyen-Age (1851). Cahiers verts », B. Grasset éd.). – Joseph de Pesquidoux, (2) Histoire de France, dirigée par Ernest Lavisse, t. Chez nous; travaux et jeux rustiques (Plon éd.).

première partie, p. 20-21, par A. Coville.

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peuple dans l'ancienne France. Je l'ai dit : il est abso- M. de Pesquidoux, le terrien regarde les siens du delument impossible de faire une réponse simple à une hors , 'soucieux de nous peindre les usages, les scènes question si complexe. Le peuple de l'ancienne France, de mours d'un pays où elles sont pittoresques et charc'est une abstraction arbitraire : il faut préciser les mantes. Ils n'ont dertainement pas choisi des modèles dates et les lieux. Et le sujet n'a pas encore été étudié correspondants. suffisamment ; faute de monographies et d'ailleurs

On verra la qualité du livre de M. Daniel Halévy. d'une documentation suffisante, on est amené à généra

C'est une consultation sur l'état moral de certaines de liser des conclusions particulières. M. Ernest Lavisse

nos campagnes, ou, si l'on veut, un graphique de la présente , d'après les mémoires des intendants, un

température de quelques âmes paysannes d'élite en tableau étonnamment noir de la situation des classes

1910 et en 1920. Tout y est noté, en quelque sorte, rurales sous Louis XIV, entre 1661 et 1685 (i). Sans

comme un fait scientifique, avec une exactitude stricte, doute faudrait-il regarder de plus près aux époques et

non pas avec cette exactitude photographique qui donne aux pays, car des recherches poussées dans les archi

souvent l'image la plus fausse, mais avec un soin rigouves de Rouen ont établi que, en dehors des années de

reux à traduire fidèlement toutes les valeurs morales. famine naturellement, il n'y avait alors aucune misère

Ah ! c'est le contraire d'un livre de dilettante ! Mais au pays normand, c'est-à-dire dans une des provinces c'est pourtant un livre plein d'art et composé avec une les plus lourdement grevées d'impôts (2). D'ailleurs, adresse invisible mais remarquable. M. Halévy a reM. Daniel Halévy, refaisant en 1920 ses visites

trouvé sans les avoir cherchées quelques-unes des séducpaysans du Centre qu'il n'avait pas vus depuis dix ans, tions de Gérard de Nerval : je ne sais quelle simplicité les trouve très enrichis : les trouve-t-il plus heureux ? entraînante, commandée par un goût pur. C'est le proIl ne semble pas.

pre de son talent, au reste, que ce mouvement, et l'on Si même nous arrivions à nous faire quelque idée de peut dire cette inspiration. On les retrouve dans tous l'existence matérielle des classes rurales dans l'ancienne

ses ouvrages. C'est par là qu'ils sont si attachants. France, cela ne nous apprendrait rien de l'âme et des sentiments des individus qui composaient ces collectivi

M. Joseph de Pesquidoux est bien différent. M. de tés

. Il nous faudrait pour cela dles témoignages analo Pesquidoux habite le pays qui porte son nom aux frongues à celui de M. Daniel Halévy, et nous n'en avons

tières de la Gascogne, et où sa famille, depuis des temps aucun. Des romans, des mémoires, des documents litté.

et des temps, possède la terre. Il y dirige et conduit lui,

même toute l'année l'exploitation de son bien ; on ne raires nous renseignent sur l'histoire morale des nobles et des ecclésiastiques, puis, à partir du

XVII° siècle peut être plus « enraciné ». Les lecteurs de l'Opinion (guère avant), des bourgeois; mais celle des gens du

connaissent et apprécient depuis des années les articles peuple, c'est-à-dire des neuf dixièmes de la popula- qu'il envoie à ce journal, et où il peint avec un talent tion de la France nous échappe complètement pour

saisissant la vie campagnarde qui l'entoure. Il s'est cette raison qu'avant la fin du XVIII° siècle nul écrivain

décidé récemment à les réunir, et, comme tout le faisait n'a jugé qu'il pût être intéressant de peindre la vie et

prévoir, la première série, qui vient de paraître en voVâme populaires ; encore semble-t-il que Restif de la

lume, a obtenu sur-le-champ un succès considérable. Je retornc, qui n'est pas bien profond, ni exact, embel

sais que ce gentilhomme campagnard, naguère encore peu ise le tableau. Robin et Marion, d'Adam de la Halle ;

connu dans le monde des lettres, est devenu subitement * Dit de la Pastoure , de Christine de Pisan ; les Pro

l'écrivain dont le plus grand journal, la plus grande rustiques, de Noël Du Fail , et les cuvres de ce genre

revue sollicitent la collaboration. Et jainais succès ne jue j'oublie sans doute, où l'on nous fait voir des scè

fut plus justifié. ses rurales, tout cela n'est qu'églogues et n'a point beau

C'est que M. de Pesquidoux unit des qualités rare oup plus de vérité qu'Astrée, les poèmes de Mme Des

ment jointes : une compétence, une précision, un souci de s'informer des moindres détails du sujet dont il

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tre part, l'imagination et la poésie de l'artiste. Il notait, en 1912, l'influence des remous sur le vol des palombes et ce qui cause ceux-ci, avec une exactitude qui n'éton nera pas les aviateurs nombreux aujourd'hui ; mais

de

gens savaient ces choses au temps où M. de

cité d'imagination qui permet qu'on suscite en soi ceux

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la palombe, la taupe et le blaireau. Il connaît la vie obscure et confuse de la vigne, du mais et du blé. Et

a réalité campagnarde, c'est peut-être les Paysans, de 1 Zola a créé dans la Terre un poncif du paysan qu'ont stepris depuis lors Maupassant dans ses contes et beau

bien peu coup d'autres, et qui est comme l'envers du poncif idylment vrai. Quel auteur a su découvrir l'âme secrète des apprises : c'est qu'il les a devinées. Car il a cette vivalique et pastoral, mais qui ne semble pas plus profondé- Pesquidoux les écrivait. Et ce n'est pas qu'il les ait paysans ? Jules Renard ? On l'assure ; et pourtant je mêmes dont on parle. Il sait ce qu'éprouvrent l'isard et me retrouve guère dans ces ètres élémentaires qu'il montre les intelligents, et fins Bas-Normands, villageois renfondés pourtant, avec qui j'ai vécu intimement durant la guerre. Et cela prouve que « les paysans », à part pourtant il ne romance pas le moins du monde ; il ne la terre, ne se ressemblent pas, même à vouloir les regar quelques traits' qu'ils ont communs, comme l'amour de der d'ensemble. Quelle similitude y a-t-il entre les habitants socialistes ou du moins radicaux et anticléricaux des campagnes du Centre que nous présente M. Daniel Halévy, et les Gascons, les Basques catholiques, tout enfoncés dans leurs vieilles et curieuses coutumes, que nous décrit M. Joseph de Pesquidoux ? Il faut toute- L'auteur de chez nous travaille à la façon des hisfois noter que les points de vue de ces deux auteurs sont si divergents que cela explique bien des contrastes. L'un pour ainsi dire socialement, préoccupé avant tout de

et c'est pourtant

compose pas avec les animaux des personnages vaguement humains ; il n'en fait les acteurs de nulle historiette ; mais son imagination demeure étroitement contenue dans les limites de la réalité, car ici le Pesquidoux qui est précis et minutieux avec une sorte de passion, intervient pour dire au poète Pesquidoux que rien ne vaut dans les matières qu'il traite la pure et nue vérité.

et c'est le citadin, M. Halévy

leur valeur dans l'Etat. L'autre

toriens : il rassemble ce qu'il sait, le complète, s'il

y a lieu, en s'informant avec une patience et un soan - considère ses héros d'érudit, puis il vit la scène, la recrée et l'écrit. Son

art est remarquablement serré, honnête, austère même. Il s'intendit tout ornement, tout adjectif de pur luxe, tout mot inutile. Ses -phrases courtes sont sévèrement ébranchées : il n'en garde que le nécessaire ; il est la conoision même. Et chacun d nas chapitres, plean &

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(1) Histoire de France, VII, I, p. 333 sq. 3) Le Grand Siècle, p. -lni

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craquer, semble dur et inaltérable comme un minéral hospitaliers et bien jolis. Avouons-le : la convention du précieux. C'est un mot dont il ne faut pas abuser, mais jardin à l'anglaise est tout aussi défendable que

celle je crois bien pouvoir dire que Chez nous est un chef du jardin à la française ; et peut-être serait-il raisond'ouvre. Oui, vraiment, nos petits neveux liront A la nable, équitable de reconnaître que certains paysages

, poursuite de l'isard, la Course landaise et les Bergers certains styles d'architecture ne s'accommodent plus du de la montagne ; du moins je le crois.

tout de parterres réguliers, de terrasses parallèles, d'escalier JACQUES BOULENGER. liers, de bassins à margelles et de boulingrins. La pers- .

pective «.pittoresque » qu'offre aux yeux la longue

pelouse incurvée qui, par exemple, s'étend, au parc MonLes Arts

ceau, entre le boulevard de Courcelles et l'allée qui

réunit le boulevard Malesherbes à l'avenue Hoche, nous Les Jardins semble une vue de jardin tout aussi réussie

que celle

par exemple, que l'on peut voir aux Tuileries, sous de Avant la mi-août, l'été a déjà, cette année, consommé vieux marronniers malades, et qui est faite d'une grala ruine des jardins. L'haleine du feu a desséché les cieuse pelouse en contre-bas, disposée comme un petit feuilles, transformé les pelouses en tapis-brosse, les stade, avec son banc en hémicycle et ses charmantes Stafleurs penchent et s'étiolent comme des jeunes filles aux tues. Nous connaissons des jardins anglais délicieux, pâles couleurs. Nous n'assisterons pas à la lente et belle où la verdure n'a pas été moins amendée, moins burna mort végétale de l'automne, qui permet à chaque arbre nisée que dans les plus beaux jardins à la française

, une vieillesse pacifique et vénérable, qui accorde aux et qui possèdent un attrait romanesque que

l'on

peut branchages, avant leur fin, une splendeur dernière sou- préférer, certains jours et certaines heures, à l'attrait vent plus magnifique que leur jeunesse, que leur matu- intellectuel d'un noble agencement de parterres et de rité. Les jardins ressemblent aujourd'hui à ces bois que degrés. nous vîmes, pendant la guerre, élimés, corrodés, détruits

Aimons Versailles et Vaux, mais aussi Ermenonville par les gaz asphyxiants. Les feuilles n'ont plus de

et Mortefontaine ; ne sacrifions pas ceux-ci à ceux-là sève, plus de transparence ; recroquevillées, convulsées,

Aurions-nous l'idée de méconnaître les beautés d'un elles sont pareilles à des beignets empoisonnés.

« nocturne » de Chopin, d'un « harmonie » de LamarIl faut donc, dans le fond des chambres fraîches où

tine, parce que tel Concerto de Bach, telle Ode de l'on fuit la cruauté de la saison, trouver un moyen de se Malherbe nous a beaucoup plu? consoler de tant de sécheresse. En songeant aux jardins

Mais puisque, avec M. André Véra, c'est de jardins tels qu'ils devraient être, ne parviendrons-nous pas à

réguliers qu'il s'agit, oublions un instant les sinueuses oublier les jardins tels qu'ils sont ? Un livre récent nous

perspectives des << jardins de la nature » et examinons permettra de pénétrer dans les jardins que l'on fait au

un peu les lois réfléchies et motivées qu'un excellent jourd'hui en s'inspirant pour cela des jardins que l'on

jardinier moderne veut bien exposer pour nous. faisait autrefois. Gorgeons-nous de nostalgie ; tout à

La profession de foi de M. André Véra est peut-er l'heure, lorsque nous pousserons les volets clos, il est

incluse dans cette petite phrase : « La nature, très possible que notre pauvre jardin brûlé nous attendrisse et nous touche, car on préfère à toutes les princes

nous, écrit-il, cst au jardin ce que le modèle est ses, à toutes les « riches beautés », lorsqu'elles sont des

tableau pour le peintre, et de même qu'il ne donne

l'illusion du volume et de la coloration dans ses compi fantômes, une humble et modeste paysanne, mais qui vit.

sitions décoratives, nous n'essayons pas de donner l'illa. sion de l'espace dans notre jardin. » Et un peu plus

loin, M. Véra nous propose cette définition «U Le luxueux volume de M.M. André et Paul Véra (1) jardin est un appartement pour la vie au grand air. " est consacré à imaginer et à décrire des jardins luxueux On a coutume de nommer « architectes-paysagistes comme lui. Par lui, nous apprendrons comment un ceux qui s'occupent spécialement de l'art des jardins homme de goût conçoit et choisit aujourd'hui un jardin. jardin. Si nous ne nous trompons pas, il nous semble que

M. Il s'agit là de jardins créés de toutes pièces, destinés à

André Véra est plus « architecte » que « paysagiste entourer des châteaux, des villas ou des maisons mo- Pour ses constructions végétales, la nature est seulement dernes. Ces jardins modernes ne sont pas des jardins un « matériaux » de plus. Qu'il s'agisse de « jardin au futuristes ; toutefois, M. André Véra, s'il s'inspire du soleil » ou de la « résidence d'été », de « roseraie » op passé, est fort résolu à ne le point pasticher.

du is théâtre de verdure », du « stade » ou du « petit On pense bien qu'à notre époque de cubisme, quand jardin », du « jardin du solitaire », du « jardin de partout on parle de « construction », de « volume », l'aviateur », du « jardin d'amour », M. Véra ne permet d'« architecture », il ne s'agira pas de tracer dans un jar- tra jamais au caprice de la nature d'avoir le pas su din des lignes courbes, d'y ménager des pentes douces,

la volonté de l'homme. Les dessins qui accompagnen d'y faire flâner des « rivières serpentines ». Dans les l'exposé de ses opinions ressemblent à des épures. Consi plans que MM. Verdeau et Paul Véra, ont dessinés pour dérez, par exemple, le plan du « jardin méditerranéen » accompagner le texte de M. André Véra, vous cherche- sauf deux hémicycles, un cercle et un ovale, vous n' riez en vain une allée tournante, une pelouse déclive, un verrez. que des lignes droites, se coupant à angle bouquet d'arbres qui n'eût point, sur une pelouse recti

droits, et toutes ces lignes droites, tous

ces angle ligne, son inexorable « pendant ». D'après M. André droits se répéteront de part et d'autre d'une ligne m Véra, les jardins d'aujourd'hui seront géométriques; ou diane avec une symétrie inflexible qui décèle un déda ne seront pas. C'est le triomphe, si l'on peut dire, du absolu des accidents et des nécessités qui tiennent à “ jardin à angles » sur le « jardin anglais ». Pauvres structure du terrain. jardins anglais où nous fûmes élevés, aurons-nous l'in- M. Véra traite un peu la nature comme les artis gratitude de vous condamner tout à fait ? Certes, vous décorateurs actuels traitent le mobilier. Ses exemples n'étiez pas, peut-être, selon une expression de M. Lucien | jardins font assez songer à ces « ensembles » que Corpechot (fort compétent en la matière), « les Jardins voit au Salon d'Automne et au Salon du Pavillon de l'Intelligence », mais vous étiez quand même bien Marsan. Les << ensembliers » (nous n'aimons pas plus

vous ce néologisme) élaborent des salons, des salle (1) LES JARDINS, par André Véra, un volume illustré par manger, des chambres à coucher, où, depuis les che Paul Véra (Emile Paul frères éditeurs).

jusqu'à la descente de lit, tout a été conçu, créé ei

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caté pour cet « ensemble ». Il faut donc admettre que tendance à « s'écouter écrire », c'est que la musique de

« le client qui achètera cet ensemble-là ne possède pas ses phrases est fort agréable à entendre, et ses images a un seul objet lui" venant de famille, auquel il tient, évoquer

. et dont il ne se séparerait pas sans chagrin. De même,

Il est tout naturel qu'un bon jardinier-paysagiste soit on ne peut se représenter les jardins de M. André Véra

aussi un peu poète. Les lignes que M. Véra consacre aux que si on les exécute sur un terrain nu comme un billard, rosiers sont fort jolies : « Non seulement le parfum de one in ay aura, avant la venue de l'architecte-paysa- la rose est d'une suavité enchanteresse, mais la plante où il n'y

, giste

, pas un arbre, pas un cours d'eau, pas un accident elle-même est d'une distinction particulière : sa fleur ne de terrain. Si les circonstances font que vous achetiez va jamais jusqu'à s'étaler au point de prendre l'appzune propriété boisée, où passe une rivière, où une inop- rence d'une livrée; le feuillage reste prépondérant et, portune petite colline lève le coude sous le gazon, il fau- comme à l'abondance il joint l'obscurité, il est à côté des dra d'abord, pour que le joli jardin de M. Véra soit

roses comme le ciel à côté des étoiles. Un rosier est une possible, qu'on ne tienne compte ni de ces arbres, ni de nuit étoilée. Doit-on s'étonner alors qu'il suscite des des eaux, ni de ces ondulations géologiques. On peut rêves ? La rose possède en outre sur les autres fleurs jouer à de pareils jeux quand on est Louis XIV; quand l'agréable avantage de produire sur les cours les charon est un simple particulier, il est peut-être plus tentant, mes les plus certains, et d'évoquer le merveilleux dans plus raisonnable de soumettre son jardin aux éléments les souvenirs... existants sur le terrain. La création de toutes pièces,

Le livre de M. Véra, lui, évoque dans les souvenirs dans les arts d'agrément contemporains, nous a tou- tous les jardins où l'on s'est arrêté un moment, en jours semblé ennemie de leur succès. Nous avons pro

voyage, tous les jardins qu'en passant on a vus au delà posé ailleurs aux «« ensembliers » décorateurs de renon- d'un mur bas, et dans lesquels on aurait aimé vivre : jarcer à ces « ensembles » exceptionnellement réalisables, dins d'Ile-de-France, où la noblesse est toujours accomet qui sont à l'ameublement pratique ce que la calli

pagnée par la grâce; jardins de Provence, où l'on savoure graphie est à l'écriture ; et nous émettons le souhait des avant-goûts transalpins; jardins d'Italie, au-dessus qu'une année, à l'exposition du Pavillon de Marsan, de la mer, au-dessus des vallées toscanes, au-dessus de au lieu de nous montrer ces opulents et platoniques la campagne romaine; jardins d'Espagne, où les laua ensembles », on confiát, à chacun des excellents ar

riers-roses sont emprisonnés dans des réseaux hydrautistes qui exposent là, quelques meubles anciens, autour liques; jardins persans, où chaque fleur est le nid d'un desquels et pour lesquels il fallût créer un « entourage ». oiseau enchanté; tous les jardins du rêve, aussi, les plus

parents peut-être de ceux que M. Véra nous décrit dan's un livre à la fois agréable comme un passe-temps et

sérieux comme un cours technique. Un tableau, une sonate, un poème naissent tout entiers à la vie; mais, sauf chez les rois et chez les mil

JEAN-LOUIS VAUDOYER. liardaires, un appartement contiendra presque toujours soit une commode, soit une armoire, soit un lit qui a été de la commode de votre grandmère, l'armoire de votre La Curiosité. oncle, le lit où vos parents sont morts; et vous souhaitez

tout naturellement conserver ce lit, cette armoire et cette &

commode. A l'artiste-décorateur de comprendre, de res. pecter et d'exaucer un souhait pareil, lequel dépend

Fausses porcelaines

Dans un dîner, où le hasard se plaît à rapprocher des Or, on peut très bien comparer à un meuble de famille,

éléments disparates et les fait réagir parfois plus vivele vieil arbre centenaire qui s'élève au hasard sur ce

ment que ne le souhaiterait la maîtresse de maison, terrain que vous voulez transformer en jardin. L'inconnu

un membre de l'Académie des Inscriptions et Belles qui a planté cet arbre travaillait pour vous; et c'est pour

Lettres, foudroyait en ces termes un paisible amateur vous aussi que cette rivière coule au milieu de cette prai

de porcelaines Tie, pour vous que ce brusque petit vallon coupe en deux

Enfin, monsieur, dix heures de lecture suffisent nier-paysagiste consistera à composer son jardin en ce bois léger. Ne croyez-vous pas que le devoir du jardi- / pour apprendre à discerner le Sèvres ancien et ce n'est

pas trop de toute une existence pour savoir quelque tenant compte de cet arbre qui n'est pas dans l'axe, en

chose en épigraphie ! tenant compte de cette rivière qui dérange l'ordre des

Le savant confondait deux méthodes. L'épigraphie parterres, en tenant compte de cette faille de terrain qui

est une science exacte qui peut s'enseigner dans les ma

nuels. Aucun traité de l'art de discerner les fraudes ne boulingrins? Les jardins que remplacera, si l'on veut devenir connaisseur, cette édu

cation de l'oeil qui demande dix ans de pratique et que certains, et non des moindres, n'acquièrent jamais. Souvenez-vous de Michel Chasles et de ses autographes de Ponce-Pilate et de Jules César.

La porcelaine est peut-être de toutes les branches de des, des verrues, des infirmités, mais comme des points débutants et même pour les vieux routiers de la curio

la curiosité la plus fertile en chausse-trapes pour les sité. Tous les modèles des anciens ateliers sont copiés

avec une habileté très suffisante pour tromper un amal'amateur, le solitaire ou l'amoureux, de qu’un Le Nôtre, raison indiscutables. Une maison renommée de l'avenue

teur novice quand il n'a pas à côté de pièces de compa

de l'Opéra, qui s'est fait une spécialité des reproducCette réserve faite, on avouera volontiers que le livre Cloud, Mennecy, Chantilly, Vincennes, Tournay, Capo

tions d'anciennes porcelaines,
di Monte, Saxe, Chelsea, Derby, Worcester - et qui les

vend loyalement comme telles, possède dans son assortides développements; mais si M. Véra a ici et là quelque bélier, le vase à tête d'éléphant de la colleotion Wallade,

ment la baratte à lait de Marie-Antoinette, aux têtes de

autant de l'intelligence que du cæur.

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interdit la reversibilité aux

l'on fait en Angleterre (et qui n'ont rien de commun k jardin anglais »), sont de bon exemple : les présents avec ce que l'on appelle communément chez nous une de la nature n'y sont jamais refusés; toutes les circonstances particulières qui naissent du site, de la fiore, de la sylve y sont considérées non point comme des obstade départ, comme des conditions formelles et indiscutables, inclus dans le programme à accomplir. Nous

tendant ou pour un roi.

toutes proportions gardées, pouvait faire pour un surin

de M. André Véra est d'une lecture fort attachante, et l'ouvrage d'un excellent écrivain. L'ingéniosité des théoTies est parfois affaiblie par la facilité et la redondance

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