7bis, place du Palais-Bourbon, Paris, VII Arrondissement. - Téléph.: Littré 51-92. Compte chèques postaux 718-59 Les abonnements partent du 1er de chaque mois. On peut Bouscrire dans tous les bureaux de poste et chez les libraires. A Rédaction. Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. Pour la publicité, s'adresser aux bureaux du jour. Pour les changements d'adresse, prière de joindre O fr. 75 en timbres-poste et la dernière bande du journal. Paiement sur demande en deux échéances: 1/2 en souscrivant, 1/2 à six mois de date CHAMPIONNATS DE TENNIS LES GRANDES RAQUETTES INTERNATIONALES. LES GRANDS PRIX DE TIR AUX PIGEONS LES MEILLEURS FUSILS DU MONDE MONTE CARLO L'ASSURANCE contre les ACCIDENTS est aujourd'hui une NÉCESSITÉ pour tous A tous moments, chacun peut être victime d'un accident: chacun peul Causer un accident à autrui, soit par lui-même, soit par ses domestiques, ses chevaux, ses voitures, etc. Chacun peut enfin être responsable des accidents éprouvés par son personnel. (Autant de risques journaliers, incessants, compliqués de procès à soufenir et de dommages-intérêts souvent considérables à payer. Contre ces risques, ces ennuis, ces dépenses de temps et d'argent qui peuvent parfois compromettre une situation ou un crédit, il y a un remède şûr, efficace à votre portée, c'est l'ASSURANCE. Adressez-vous à LA PROVIDENCE-ACCIDENTS Société Anonyme au Capital de 10 Millions Siège Social: 56, rue de la Victoire, PARIS La Providence règle 180.000 accidents par an. Si vous voulez un beau portrait photographique d'un écrivain, d'un homme politique, d'un personnage connu qui vous intéresse, adressez-vous au Service de Librairie de Popinion qui vous le procurera franco de port, moyennant 80 francs. BANQUE DE L'UNION PARISIENNE Société anonyme fondée en 1904 Capital Social: CENT CINQUANTE MILLIONS de francs 7, rue Chauchat et 16, rue Le Peletier, PARIS (9°) Téléphone: Bergère 44-53. -44-54; Gutenberg 39-78-39-84; Louvre 46-35 -46-36 Adresse Télégraphique: Parunion-Paris La Banque de l'Union Parisienne exécute pour le compte de sa clientèle toutes opérations courantes de banque et de bourse : Comptes de chèques, Comptes de dépôts à préavis et à échéances, Lettres de crédit, Opérations de change, Ordres de Bourse, Souscriptions, Opérations sur titres, Garde de titres, Prêts sur titres, Encaissement de tous coupons, Garantie contre le risque de remboursement au pair et de non vérification de tirages, Renseignements financiers, Surveillance de portefeuilles, etc... La clientèle est assurée de recevoir au Service des Comptes Spéciaux, tous les renseignements qui peuvent lui être nécessaires. La Banque de l'Union Parisienne met à la disposition du public ses coffres-forts modernes installés dans des caves blindées. Ces coffres, divisés en compartiments de dimensions différentes, présentent les plus complètes garanties. Conditions de location des coffres de dimensions courantes : Hauteur Largeur Profondeur 3 mois 6 mois 1 an [ qui paye et qui vote, celui à qui l'auteur désire plaire. On est donc fondé à y chercher autant le goût du public que le goût de l'auteur. Visiblement, les partis souhaitent aujourd'hui rassurer l'opinion plus que l'étonner. Même dans les programmes avancés il y a des prudences significatives. Les temps d'Hernani sont passés. Tel s'efforce d'avoir un air classique, modéré, bourgeois qui, hier, arborait encore une toison romantique. Le << réalisme > se portera beaucoup cette L est probable, sinon certain, que le débat financier académique peut ne pas être inutile. Et puis il fauait tout de même évita", lorsqu'au jour le jour on juge assemblées, de les corner tantôt pour trop d'agitation tantôt pour trop de c A supposer que la discussion ésente ne casse rien, 1-servateurs ne devraient-ils pas in réjouir ? Elle a permis d'ailleurs à des hommes experts - il y en même au Parlement, de présenter leurs idées personlles et aux partis d'exposer leurs thèses. En ce sens, mme écrit M. Georges Bonnet, elle a la valeur d'une tition générale à la veille des élections. Les répétitions générales ne servent pas seulement à faire nnaître la pièce à un public choisi. Elles sont une mise point pour le public du lendemain, le seul, le vrai, celui Le réalisme c'est la recherche de la méthode substituée au culte des principes. Lorsque M. Herriot disait, en 1919 : << Nous aurons désormais un plus vif besoin de méthodes que de principes », il prévoyait ce que nous commençons de voir. L'expérience Poincaré a donc eu des résultats psychologiques et il se pourrait que ces résultats fussent pour l'avenir aussi importants que les résultats techniques. Poursuivie par les voies de l'empirisme organisateur, elle a montré la vanité dangereuse des formules livresques. Elle a été une leçon de choses, à quoi le public français demeure très sensible. Et, certes la période électorale n'en reste pas moins une rude épreuve de résistance pour la sagesse nationale. Mais elle ne paraît pas maintenant au-dessus de ses forces. M. C. M. Clemenceau aime errer seul dans les rues de Paris. C'est ainsi que l'autre après-midi profitant d'un rayon de soleil il se promenait dans les jardins du Trocadéro. 11 croisa, près du boulevard Delessert, un gardien de la paix qui est de son village vendéen. Il lui serra la main et lui parla un peu du pays natal : Alors on m'a dit que ton frère allait se porter au Conseil général... On le dit, Monsieur le Président, et il a des chances, m'a-t-on affirmé, d'être élu... Il faudra que j'aille le voir quand il sera élu pour lui demander un service... qui... Vous n'y pensez pas, Monsieur le Président, vous Je sais ce que je dis... L'autre jour l'huissier du préfet demandait à une dame que j'avais envoyée : « Qui c'est çà ce monsieur. >>> Comme vous avez donc dû être vexé... Au contraire ravi. On m'a oublié et c'est la seule chose que j'aie réussie dans ma longue carrière. voile, de peur qu'il ne tombe violemment, mais petit petit descende. L'homme doncq se doibt mesurer avec grandeur de la voile. >> Une espèce de parachute moins parfaite, il est que celle qu'employa Garnerin, mais d'un emploi po sible néanmoins, était donc décrite 185 ans avant la tas tative heureuse du célèbre aéronaute. Politesse. Peut-être ne sommes-nous pas assez polis, mais pe être exagérait-on la politesse au dix-huitième siècle. Il existait alors des livres de Réponses et réparties qu'on mettait aux mains des jeunes gens, et qu'on le faisait réciter avant de les introduire dans ans le monde. Vous rencontrez un ami qui vous demande : « Con ment vous portez-vous ? » Il faut lui répondre, dit de ces livrets : « Avec plus de crainte que jamais de vou déplaire. » Ou bien : « Comme ne voulant vivre qu pour vous aimer. >> Quelqu'un vous prie de passer le premier dans 500 salon; vous résistez en disant : « Ne m'empêchez pas, vous prie, de vous rendre les hommages que je vou dois. » Il vous presse davantage; vous résistez encore, vous dites : « N'insistez pas, Monsieur, et gardez le por voir que vous avez sur moi pour une autre occasion. Cependant, votre hôte se tient toujours à la porte, vou offrant le passage, et il faut enfin céder. Vous entrez alot d'un pas rapide, en courbant la tête et en disant : << B bien, soit, Monsieur, car je vous honore trop pour appeler de vos ordonnances. » Ou bien : « Que cela ainsi; car si je ne savais pas vous obéir, je ne serais votre serviteur. >>> Le 30 février 1928. donc 1928 sera une année bissextile ; il y aura 20 février. Il y aura même un 30 février, car ceux q traverseront le Pacifique à minuit le 29 février bénéfic ront d'un 30 février, comme le comprendront tous ce qui ont lu le Tour du Monde en quatre-vingts jours qui se rappellent comment Philéas Fogg arriva en Angl terre un jour plus tôt qu'il ne s'y attendait. Ce qui e une grave mésaventure, si on est sujet britannique, c'es de naître un 30 février à bord d'un navire; car, alon à moins de refaire des voyages dans les mêmes cond tions, et d'en informer ses amis, on ne reçoit jamais de cadeau pour son anniversaire. Quant à notre grand argentier, il se réjouit des anné bissextiles ; d'une part, ses fonctionnaires travaillent jour de plus sans paiement supplémentaire et, d'autre part, le Trésor reçoit de l'argent pendant un jour de plus. 1 FFAIRES EXTERIEURES Le sixième congrès panaméricain L'ambassadeur de France a remis samedi dernier à . Kellogg la réponse du Quai d'Orsay à la note amérine du 11 janvier laquelle, on s'en souvient, opposait un atre-projet au projet français de « mise hors la loi » de guerre. Le Cabinet de Paris accepte la transformation en vention multilatérale du pacte purement franco-amériin qu'il avait d'abord rêvé. Mais il maintient qu'une telle vention ne saurait interdire que les « guerres d'agresn>; aller plus loin risquerait de mettre le nouvel accord contradiction avec le pacte de la Société des Nations. C'est maintenant, au gouvernement américain de répone: amant alterna camana. Il est douteux que cette réponse soit très satisfaisante. La ale mention de la Société des Nations fait tomber les gens Washington en transes. Sans doute, se bornera-t-on prosoirement à conclure entre la France et les Etats-Unis un ité d'arbitrage qu'on coiffera d'un préambule amical et offensif. Le gouvernement américain n'aime pas qu'on lui parle la Société des Nations qu'il considère comme une mécaque essentiellement européenne, c'est-à-dire inefficace et eine de pièges. Mais, de son côté, il apporte actuellement tous ses soins la construction d'une sorte de Société des Nations amériine qui, conçue aux U. S. A., serait par définition effie, pratique et hautement morale. C'est là, le véritable objet du 6° congrès panaméricain s'est ouvert à La Havane le 16 janvier. L'institution des congrès panaméricains remonte à 1889, and le premier du genre fut convoqué à Washington. avant-dernier s'est tenu en 1923 à Santiago-du-Chili. Conçue à Washington, la formule inspiratrice de ces agrès a toujours été celle de la doctrine de Monroe : l'Amérique aux Américains ». Mais, comme on le sait, te formule, surtout depuis Mac Kinley et Roosevelt, tend Agnifier: « l'Amérique aux Etats-Unis ». Sensibles aux prestiges de la grandeur yankee et à ceux la politique du dollar, les Etats de l'Amérique Centrale de l'Amérique du Sud sont d'abord volontiers entrés ans le jeu que leur proposait Washington. Mais l'occupation militaire de Cuba, de Saint-Domind'Haïti, de Panama, du Honduras, du Nicaragua et nfiltration financière moins apparente, mais aussi redouble, qui s'est produite ailleurs ont fini par ouvrir tout grands les yeux de l'Amérique latine sur les dangers que présente l'amitié tutélaire de l'Oncle Sam. Certes, les révoltes ont été rares. On ne se brouille pas impunément avec le géant du Nord. Mais enfin une tendance à la résistance s'est manifestée particulièrement sous l'impulsion du Mexique, de la République de Salvador et aussi de l'Argentine. Le gouvernement américain qui, pour des raisons finan cières et pour des raisons électorales, reste plus que jamais fidèle à sa politique continentale, a tout mis en œuvre pour que cette résistance ne se manifeste pas à La Havane avec trop de vigueur. D'abord il s'est soigneusement arrangé pour que les hommes politiques cubains chargés de l'organisation du Congrès fussent choisis parmi les partisans des Etats-Unis. Des faveurs consenties à propos et des éloignements opportuns lui ont donné tous apaisements à cet égard. Il s'est ensuite employé à désarmer l'opposant le plus actif, le Mexique. Un nouvel ambassadeur des Etats-Unis a été envoyé à Mexico; on ne sait trop ce qu'il a dit au président Calles, ni de quels arguments il s'est servi, mais le. fait est que le dictateur mexicain, jusque là farouchement anti-yankee, est devenu brusquement partisan d'une entente avec la grande République voisine. Enfin, les Etats-Unis n'ont rien négligé pour assurer le prestige et l'autorité de leur délégation au Congrès de La Havane. Cette délégation compte quatre-vingt-trois membres, tous politiciens influents, hauts fonctionnaires, ou hommes d'affaires considérables. Elle est présidée par le juge Hughes, ancien candidat à la présidence et une des têtes du parti républicain. Et M. Coolidge lui-même est venu assister à l'ouverture du Congrès. Elle est d'ailleurs curieuse la harangue prononcée par Calvin Coolidge le jour de l'inauguration du congrès. Les amateurs de statistiques nous apprennent qu'elle s'est composée de 4.000 mots. C'est beaucoup pour un homme qui se vante d'être appelé « le silencieux »>. Les idées y sont infiniment moins nombreuses que les phrases et un fait y est passé entièrement sous silence, le seul, cependant, que tous les auditeurs ont eu constamment présent à l'esprit : le protectorat de fait que les Etats-Unis tendent à exercer sur le reste de l'Amérique. Le discours présidentiel apparaît comme une longue homélie à la gloire de la civilisation du continent américain, civilisation qui représente « une prospérité matérielle supérieure à aucune de celles dont ait jamais joui la race humaine » et qui constitue « la grande marée du progrès humain » montant vers « le havre de justice et de vérité ». Le couplet en l'honneur des principes démocratiques ne fait pas défaut, ni celui en l'honneur des socs de charrue qu'on forgera avec des épées, ni d'ailleurs celui en l'honneur du droit intangible des peuples à se gouverner eux-mêmes. << La souveraineté des petites nations doit être respectée », déclara M. Coolidge, « et nous autres Américains nous sommes parfaitement convaincus que les peuples de ces intrigues européennes qu'à la crainte de perdre une entière liberté d'action économique en Amérique du Sud. Tout ce qui pourra se dire ou se déclamer à La Havane ne sera vraisemblablement que vains bruits et faux semblants. La seule chose qui pourrait peut-être et encore dans une assez faible mesure modifier la politique des Etats-Unis en Amérique latine serait le retour, à la suite des prochaines élections présidentielles, du parti démocratique au pouvoir. Mais ce retour n'est rien moins que certain. Le candidat démocrate Al Smith, maire de New-York, a contre lui le fait qu'il est catholique et celui surtout qu'il est l'homme des immigrés de fraîche date, de la << racaille > irlandaise, italienne et slave et des « Américains au-dessous de 100 % ». Le Ku-Klux-Klan mène contre lui une campagne acharnée; et cette campagne est largement subventionnée par les princes de la finance et de l'industrie. Le handicap du parti républicain est que M. Coolidge ne semblant décidément pas vouloir se représenter, il n'a pas de très bon candidat à opposer à Al Smith. Celui qui paraît avoir actuellement le plus de chance semble être M. Hoover. Mais, M. Hoover représente surtout les intérêts de l'Ouest et comme tel il n'est pas persona gratissima auprès de la finance new-yorkaise. Certains journaux viennent de lancer le nom de Mme Coolidge, femme remarquable, véritable inspiratrice et animatrice de son silencieux et morose mari. Mais, quel que soit le progrès du féminisme aux EtatsUnis, il n'est pas encore tout à fait tel qu'une femme puisse aspirer à s'asseoir dans le fauteuil de George Washington. Aussi bien, même si un démocrate venait à s'installer à la Maison Blanche, les Républiques de l'Amérique latine n'y gagneraient vraisemblablement pas grand'chose. La force centripète qui les attire dans l'orbite politique et économique des Etats-Unis est trop violente pour que les jeux électoraux puissent beaucoup l'altérer. Rome a conquis l'Europe sans que le Sénat romain l'ait voulu. Les Etats-Unis annexeront l'Amérique entière de fait sinon juridiquement -même en dépit de leur propre nations sont plutôt faits pour se gouverner eux-mêmes que pour être gouvernés de l'extérieur. » Ce passage fut accueilli par des applaudissements particulièrement chaleureux. Il est, toutefois, regrettable que, tandis que le président Coolidge le prononçait, plusieurs 'dizaines de patriotes du Nicaragua soient tombés sous les balles et sous les bombes du corps expéditionnaire américain. Et, le lendemain, le représentant des Etats-Unis imposait au Parlement du Nicaragua le vote d'une loi stipulant que, lors des prochaines élections législatives, tous les collèges électoraux seraient présidés par un citoyen des Etats-Unis. Mais, on étonnerait et on peinerait sans doute le prési'dent Coolidge si on lui faisait remarquer la contradiction existant entre ses paroles et les actes de son gouvernement. Il répondrait probablement qu'une telle contradiction n'existe pas et que la divine Providence a investi les EtatsUnis de la mission d'appeler les petits Etats américains, au besoin par la force, à la pleine conscience de leurs droits souverains. M. Coolidge s'est rembarqué pour les Etats-Unis et le Congrès continue. Sans doute, quelques délégations — celle 'du Salvador, notamment y marquent-elles certaine répugnance à s'incliner devant les exigences yankees. Mais M. Hughes est habile; il sait dorer la pilule et rendre aisées des capitulations qui, aussi bien, sont inévitables : tout le monde sait qu'en définitive, en dépit de toutes les protestations, ce seront le « big stick » et le dollar qui auront raison. On se tromperait, d'ailleurs, si on l'on croyait que les Etats-Unis cherchent à établir sur le reste de l'Amérique un protectorat formel, avec résidents et corps d'occupation. C'est là une formule périmée. Le gouvernement de Washington est probablement sincère quand il déclare qu'il a hâte de retirer ses compagnies de débarquement des pays où il en a envoyé. Ce qu'exige Washington, c'est le contrôle économique et financier du nouveau monde tout entier : c'est moins onéreux que le contrôle militaire, aussi sûr, et plus profitable. On peut dire que, dans son dernier avatar, la doctrine de Monroe signifie l'interdiction faite au capital européen de s'investir dans des entreprises américaines et la constitution de ces entreprises en chasse gardée au profit de Wall Street. La Cité de Londres en sait quelque chose, qui a vu au cours de ces dernières années les emprunts brésiliens et argentins l'abandonner pour aller se placer à New-York. Les pétroliers britanniques le savent aussi qui ont éprouvé les effets de la guerre acharnée que leur livrent au Mexique et au Venezuela, avec l'appui du gouvernement américain, les groupes affiliés à la Standard Oil. Et on peut se demander si l'aversion témoignée par le parti républicain des Etats-Unis à l'égard de la Société des Nations ne tient pas moins à la crainte d'être mêlé aux gouvernement. L'Europe ne doit pas se faire d'illusions sur ce point. Il lui reste seulement à s'organiser pour que cette terrible force d'attraction ne vienne pas exercer son effet de ce côté-ci de la << mare aux harengs ». JACQUES CHASTENET. Gagnez du temps et faites une économie en achetant tous vos livres au SERVICE de LIBRAIRIE de l'OPINION qui vous servira intelligemment III??135 |