| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1808 - 228 páginas
...d'une extrême inj ustice. J 'étoia fort troublée, et malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyois assez clairement la vérité. Je me flattai pourtant que ce singulier mouvement d'humeur se dissiperoit promptement, et je sentis que tout ce que j'avois de mieux à faire étoit de n'avoir pas... | |
| Victor Donatien de Musset (called Musset-Pathay), Victor-Donatien Musset-Pathay - 1821 - 564 páginas
...répondu, d'union très-aigre, qu'il » n'était plus temps. — Ce n'est pas ma faute, repris-je. » — Non sans doute, dit-il, avec un sourire ironique et...beaucoup; elle était » d'une extrême injustice (i). J'étais fort troublée ; et, » malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyais assez » clairement... | |
| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 424 páginas
...répondit d'un ton trèsaigre qu'il n'étoit plus temps. « Ce n'est pas ma faute, » repris-je. « Non, sans doute, » dit-il avec un sourire ironique...et forcé. Cette réponse me blessa beaucoup ; elle étoit d'une extrême injustice. J'étois fort troublée; et, malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyois... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 424 páginas
...répondit d'un ton très -aigre qu'il n'étoit plus temps. « Ce n'est pas ma faute, « repris-je. « Non, sans doute, » dit-il, avec un sourire ironique...et forcé. Cette réponse me blessa beaucoup; elle étoit d'une extrême injustice. J'étois fort troublée ; ét^ malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyois... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 420 páginas
...d'une extrême injustice. J'étois fort troublée ; et, malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyois assez clairement la vérité. Je me flattai pourtant que ce singulier mouvement d'humeur se dissiperoit promptement, et je sentis que tout ce que j'avois de mieux à faire, étoit de n'avoir... | |
| Victor-Donatien Musset-Pathay - 1827 - 496 páginas
...Non sans doute, dit-il, avec un sourire iro« nique et forcé. Cette réponse me blessa beau« coup; elle était d'une extrême injustice '. J'étais «...«j'entrevoyais assez clairement la vérité. Je me « flattais pourtant que ce singulier mouvement «d'humeur se dissiperait promptement , et je sen«... | |
| Victor Conatien de Mussett - 1827 - 508 páginas
...Non sans doute , dit-il, avec un sourire iro« nique et forcé. Cette réponse me blessa beau« coup; elle était d'une extrême injustice '. J'étais «...j'entrevoyais assez clairement la vérité. Je me « flattais pourtant que ce singulier mouvement « d'humeur se dissiperait promptement, et je sen«... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 508 páginas
...sans doute , dit-il , avec un sourire iro« nique et forcé. Cette réponse me blessa beauee coup; elle était d'une extrême injustice '. J'étais «...«j'entrevoyais assez clairement la vérité. Je me « flattais pourtant que ce singulier mouvement « d'humeur se dissiperait promptement, et je sen«... | |
| 1878 - 488 páginas
...répondit d'un ton très-aigre qu'il n'était plus temps. « Ce n'est pas ma faute, » reprise-je. « Non, sans doute, » dit-il, avec un sourire ironique...faire était de n'avoir pas l'air de le remarquer. Ou leva la toile ; le spectacle commenca. Je ne fus plus occupée que de la pièce , qui réussit complétement.... | |
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