... avait peu semé, et ce peu fut ravagé. La cherté des vivres devint extrême. On espérait que les Anglais rétabliraient un peu d'ordre et de sécurité, et que les vivres deviendraient moins rares; au contraire, il y eut famine. «Quand venoient... Revue de Rouen et de Normandie - Página 221editado por - 1840Vista completa - Acerca de este libro
| Jules Michelet - 1840 - 594 páginas
...deviendraient moins rares; au contraire, il y eut famine. « Quand venoient huit heures, ilyavoitsi grande presse à la porte des boulangers, qu'il faut...croire... Vous auriez entendu dans tout Paris des lamentations*pitoyables des petits enfants qui crioient: 1 Je meurs de faim. » On voyoit sur un fumier,... | |
| Jules Michelet - 1852 - 440 páginas
...deviendraient moins rares; au contraire, il y eut famine. « Quand venoient huit heures , il y avoit si grande presse à la porte des boulangers, qu'il...des lamentations pitoyables des petits enfants qui 1 Comme il fut trouvé par les curés de paroisses , Monstrelet , t: IV, p. 119.— Ceux qui faisoient... | |
| Académie nationale de Metz - 1853 - 846 páginas
...Ibid., II, 35. En 1419 il y eut famine. « Quand venaient huit heures, si grande presse il y avait à la porte des boulangers , qu'il faut l'avoir vu...des lamentations pitoyables, des petits enfants qui criaient : je meurs de faim ; on voyait sur un fumier, vingt , trente enfants , garçons et filles... | |
| Jules Michelet - 1861 - 438 páginas
...deviendraient moins rares ; au contraire, il y eut famine. « Quand venoient huit heures, il y avoit si grande presse à la porte des boulangers, qu'il...fumier vingt, trente enfants, garçons et filles, qui mouroient de faim et de froid. Et il n'y avoit pas de cœur si dur, qui, les entendant crier la nuit... | |
| Victor Duruy - 1862 - 654 páginas
...rendu plus vif. On lit dans le Journal d'un bourgeois de Paris, à la date des années 14181421 : it Vous auriez entendu dans tout Paris des lamentations pitoyables, des petits enfants qui criaient : « Je meurs de « faim ! » On voyait sur un fumier vingt, trente enfants, garçons et filles,... | |
| Victor Duruy - 1868 - 776 páginas
...des lamentations pitoyables, des petits enfants qui criaient : a Je meurs « de faim ! i On voyait sur un fumier vingt, trente enfants, garçons et filles, qui mouraient de faim et de froid. On mourait tant et si vite qu'il fallait faire, dans les cimetières, de grandes fosses où on les... | |
| Victor Duruy - 1868 - 776 páginas
...rendu plus vif. On lit dans le Journal d'un bourgeois de Paris, à la date des années 14181421 : t Vous auriez entendu dans tout Paris des lamentations pitoyables, des petits enfants qui criaient : « Je meurs « de faim! i On voyait sur un fumier vingt, trente enfants, garçons et filles,... | |
| Jules Michelet - 1872 - 860 páginas
...deviendraient moins rares; au contraire, il y eut famine. « Quand venoient huit heures, il y avoit si grande presse à la porte des boulangers, qu'il faut l'avoir vu pou:1 le croire... Vous auriez entendu dans tout Paris des lamentations pitoyables des petits enfants... | |
| Emile Gebhart - 1876 - 352 páginas
...disparaître. En 1419, « quand venoient huit heures, écrit le Bourgeois de Paris, il y avoit si grande foule à la porte des boulangers, qu'il faut l'avoir vu pour le croire. Vous auriez entendu les gémissements des petits enfants qui crioient : Je meurs de faim! On voyoit sur un fumier vingt,... | |
| Jules Michelet - 1879 - 712 páginas
...deviendraient moins rares ; au contraire, il y eut famine. « Quand venoient huit heures, il y avoit si grande presse à la porte des boulangers, qu'il faut l'avoir vu pour le eroire... Vous auriez entendu dans tout Paris les lamentations pitoyables des petits enfants qui erioient... | |
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