Mémoires d'HadrienAnalyse : Roman historique. |
Dentro del libro
Resultados 1-3 de 86
Página 211
Je rassemblai mes pensées : Antinoüs était mort . Enfant , j'avais hurlé sur le cadavre de Marullinus déchiqueté par les corneilles , mais comme hurle la nuit un animal privé de raison . Mon père était mort , mais un orphelin de douze ...
Je rassemblai mes pensées : Antinoüs était mort . Enfant , j'avais hurlé sur le cadavre de Marullinus déchiqueté par les corneilles , mais comme hurle la nuit un animal privé de raison . Mon père était mort , mais un orphelin de douze ...
Página 217
des marchands , aux exactions des fonctionnaires , aux prostitutions , au désordre , aux lâches qui pleurent leurs morts avant de les oublier . L'apothéose était vaine : ces honneurs si publics ne serviraient qu'à faire de l'enfant un ...
des marchands , aux exactions des fonctionnaires , aux prostitutions , au désordre , aux lâches qui pleurent leurs morts avant de les oublier . L'apothéose était vaine : ces honneurs si publics ne serviraient qu'à faire de l'enfant un ...
Página 300
enfants morts . L'image des monnaies de Bithynie , le profil du garçon de quinze ans , aux boucles flottantes , au sourire émerveillé et crédule qu'il a si peu gardé , pend au cou des nouveau - nés en guise d'amulette ; on la cloue dans ...
enfants morts . L'image des monnaies de Bithynie , le profil du garçon de quinze ans , aux boucles flottantes , au sourire émerveillé et crédule qu'il a si peu gardé , pend au cou des nouveau - nés en guise d'amulette ; on la cloue dans ...
Comentarios de la gente - Escribir un comentario
No encontramos ningún comentario en los lugares habituales.
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
aimé années arrivé assez aurait avaient avant beau belle bord cesse changé chargé choses commençait compte continuer corps côtés coup cours d'autres d'être d'Hadrien dernier devant dieu divine donner dure époque facile faisait femme figure fils fond force forme garde gens goût grave grec guerre Hadrien heures homme humaine j'ai j'avais j'étais jeune jours jusqu'à l'amour l'empereur l'État l'homme l'un laisser lieu livre loin long longue Lucius m'avait main malade médecin ment mieux mois monde mort mourir n'avait n'était nouvelle nuit parfois passé Patrocle peine pensée père petite peut-être place plaisir plein porte pourtant pouvoir première présence presque pris propre qu'à qu'un refus regard reste retrouver rien romaine Rome route s'était sage savais secrets semblait sens sentais serait servir seul siècle simple soir songes sorte souvent surtout tard temple terre tête tombe traiter Trajan trouver venait vieille Villa ville visage voyage