Revue des deux mondes, Volumen12François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, René Doumic, Francis Charmes, André Chaumeix Au bureau de la Revue des deux mondes., 1922 |
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Pasajes populares
Página 85 - France, mère des Arts, des Armes et des Lois, Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle: Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois.
Página 83 - Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil, Que vice déguisé, qu'une cérémonie, Qu'un bruit de tambourins, qu'une étrange harmonie, Et de rouges habits un superbe appareil : Si je descends en banque, un amas et recueil De nouvelles je trouve, une usure infinie, De riches Florentins une troupe bannie, Et de pauvres...
Página 838 - Aix, en Savoie, courir après quelqu'un qui se moque de moi, peut-être; une de ces femmes aristocratiques que vous avez en horreur sans doute; une de ces beautés angéliques auxquelles on prête une belle âme, la vraie duchesse, bien dédaigneuse, bien aimante, fine, spirituelle, coquette, rien de ce que j'ai encore vu! un de ces phénomènes qui s'éclipsent et qui dit m'aimer, qui veut me garder au fond d'un palais à Venise...
Página 75 - Je pleurais Du Bellay qui était de mon âge, De mon art, de mes mœurs et de mon parentage, Lequel après avoir d'une si docte voix Tant de fois rechanté les Princes et les Rois, Est mort pauvre, chétif, sans nulle récompense, Sinon du fameux bruit que lui garde la France.
Página 838 - ... la vraie duchesse, bien dédaigneuse, bien aimante, fine, spirituelle, coquette, rien de ce que j'ai encore vu ! un de ces phénomènes qui s'éclipsent, et qui dit m'aimer, qui veut me garder au fond d'un palais, à Venise... (car je vous dis tout à vous!) et qui veut que je n'écrive plus que pour elle ; une de ces femmes qu'il faut absolument adorer à genoux quand elles le veulent, et qu'on a tant de plaisir à conquérir; la femme des rêves! jalouse de tout ! Ah!
Página 77 - Les traits ailez de la françoise gloire , Que sur ton luth hautement tu accordes. Fameux harpeur et prince de nos odes , Laisse ton Loir, hautain de ta victoire , Et vien sonner au. rivage de Loire De tes chansons les plus nouvelles modes. , Enfonce l'arc du vieil Thebain archer...
Página 827 - ... ravissante de grâce, de style et d'amitié. Le grand Borget a vu démolir mon projet. Il n'est plus question de voyageurs. Quant au papier, je vous enverrai un échantillon. Quant au carrick de mon commissaire, il est parti sérieusement ; j'ai le reçu de la diligence. Quant à la femme, il s'en présente quelques-unes, mais je ne me lierai qu'à bon escient. Et, si je suis riche, comptez que j'aurai le moins de valets possible, que je vivrai pachaliquement dans une terre et que je ne serai...
Página 81 - L'antique orgueil, qui menaçait les cieux, Ces vieux palais, ces monts audacieux, Ces murs, ces arcs, ces thermes et ces temples, Juge, en voyant ces ruines si amples, Ce qu'a rongé le temps injurieux, Puisqu'aux ouvriers les plus industrieux Ces vieux fragments encor servent d'exemples.
Página 76 - L'un aux clameurs du palais s'étudie ; L'autre le vent de la faveur mendie. Mais moi , que les grâces chérissent , Je hais les biens que l'on adore , Je hais les honneurs qui périssent, Et le soin qui les cœurs dévore : Rien ne me plaist, fors ce qui peut déplaire Au jugement du rude populaire.
Página 838 - Pyrénées, je vous aurais vue ; mais il faut que j'aille grimper à Aix, en Savoie, courir après quelqu'un qui se moque de moi, peutêtre ; une de ces femmes aristocratiques que vous avez en horreur, sans doute; une de ces beautés angéliques auxquelles on prête une belle âme...